Exposé complet sur le secteur primaire du Burkina (forces et faiblesses)

NB: Les documents mis à disposition sur ce site sont des documents à exploiter, autrement dit des compléments pour parfaire votre travail. Ils ne sont pas faits pour être présentés à l’état.

PLAN

INTRODUCTION

  1. L’AGRICULTURE
  2. PRODUCTIONS
  3. ATOUTS
  4. CONTRAINTES
  5. L’ELEVAGE
  6. ATOUTS
  7. CONTRAINTES
  8. PERSPECTIVES POUR DEVELOPPER LE SECTEUR
  9. LA CHASSE
  10. ATOUTS
  11. LES FAIBLESSES DE LA CHASSE
  12. POLITIQUES DE DEVELOPPEMENT DU SECTEUR
  13. LA PECHE
  14. LES ATOUTS
  15. CONTRAINTES
  16. POLITIQUES DE DEVELOPPEMENT DU SECTEUR

CONCLUSION

INTRODUCTION

Le secteur primaire est fortement dominé par l’agriculture et l’élevage, faisant ainsi du Burkina Faso un pays à vocation agropastorale. Ces deux sous-secteurs occupent plus de 85% de la population et représentent environ 76% des recettes d’exportations en valeur sur la période 2003-2007. Le taux de progression du secteur a été de 3,1% entre 2000 et 2008. Sa part dans la formation de la valeur ajoutée depuis 2000 était en moyenne de 32,4%. La valeur ajoutée du secteur qui avait augmenté de 17% en 2001 et de 11,8% en 2005 a connu un repli de 4,3% en 2007, liée à une baisse de la production du coton et à une mauvaise répartition des pluies dans l’espace et dans le temps.

  1. L’AGRICULTURE
  1. PRODUCTIONS

L’agriculture burkinabè représente plus de 70% des recettes d’exportation. C’est un secteur important de l’économie. En raison de sa dépendance aux aléas climatiques, elle demeure fragile avec des performances qui fluctuent d’une année à l’autre. Ce sous-secteur contribue pour environ 58,8% à la formation de la valeur ajoutée du secteur primaire. Une distinction peut être faite entre agriculture de rente et agriculture vivrière.

  • ATOUTS

L’agriculture occupe une très large majorité de la population active burkinabé et contribue pour plus d’un tiers au produit intérieur brut (PIB). Les productions agricoles comprennent une gamme relativement limitée de cultures vivrières subsahariennes traditionnelles (céréales, oléagineux, légumineuses à graines, tubercules…) et maraîchères, ainsi que des produits de l’élevage et beaucoup plus marginalement de la pêche, mais aussi et surtout plusieurs cultures commerciales de rente, dont la plus importante est le coton. Le Burkina Faso était d’ailleurs, jusqu’en 2008, le premier exportateur cotonnier africain. Les évolutions du marché…

Vous avez fini de lire le contenu gratuit, pour télécharger la totalité de l’exposé il faut payer 3€ (2000 FCFA) , taxes inclues. Vous pouvez payer par Mobile Money ou Carte bancaire en cliquant ici sur :


Un souci ? Contactez le service client au +226 56011423 (WhatsApp Uniquement)