Exposé complet sur les enfants soldats dans l’œuvre Allah n’est pas obligé d’Ahmadou Kourouma

3000 CFA

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PLAN

INTRODUCTION

  • ETUDE DE L’AUTEUR ET DE L’ŒUVRE
  • L’auteur
  • Biographie
  • Bibliographie
  • L’œuvre
  • Titre de l’œuvre
  • Résumé
  • ETUDE DES PERSONNAGES
  • Personnages principaux
  • Personnages secondaires
  • ETUDE THEMATIQUE : LES ENFANTS SOLDATS
  • STYLE DE L’ŒUVRE

CONCLUSION

 

INTRODUCTION

Dans l’œuvre « Allah n’est pas obligé » , Ahmadou Kourouma explore le thème des enfants soldats et leur représentation.  Le narrateur, Birahima, est un enfant de 10 ans qui est enrôlé de force dans un groupe armé en Afrique de l’Ouest. Le récit est raconté du point de vue de Birahima, ce qui permet au lecteur de comprendre les horreurs et les traumatismes vécus par les enfants soldats.

L’œuvre d’Ahmadou Kourouma met en lumière les conséquences dévastatrices de la guerre sur les enfants, qui sont souvent recrutés de force, privés de leur enfance et forcés de commettre des actes violents. Le roman explore également les raisons complexes qui poussent les enfants à rejoindre les groupes armés, notamment la pauvreté, les conflits ethniques et les pressions sociales. Au cours de notre exposé nous verrons tout cela plus en détail.

  • ETUDE DE L’AUTEUR ET DE L’ŒUVRE
  • L’auteur
  • Biographie

Ahmadou Kourouma est né de parents guinéens d’éthnie malinké, une ethnie présente dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest. Son nom signifie « guerrier » en langue malinké. Son père est un marchand de noix de kola. Il vit une partie de son enfance à Togobala en Guinée3. Ce lieu a constitué un des cadres de Les soleils des indépendances, sa première œuvre. Sous la responsabilité de son oncle Fondio, il fréquente l’école rurale de Boundiali, à partir de l’âge de sept ans, dès 1935. Il poursuit ses études à l’école régionale de Korhogo (1942), à l’école primaire supérieure de Bingerville (1943) et à l’école technique supérieure de Bamako (1947). Deux années plus tard, il est renvoyé de l’école pour avoir conduit des mouvements estudiantins et retourne en Côte d’Ivoire en tant que tirailleur au Bataillon autonome de Côte d’Ivoire à Bouaké3. Cette période coïncide avec les luttes pour l’indépendance des colonies africaines. Il est arrêté pour insubordination après avoir refusé de prendre part à des interventions visant la répression des manifestations de Rassemblement démocratique africain (RDA). Comme sanction, il est emprisonné, dégradé et forcé de se rendre en Indochine.

En 2000, son quatrième roman, Allah n’est pas obligé, raconte l’histoire d’un enfant orphelin qui, parti rejoindre sa tante au Liberia, y devient enfant soldat. Ce livre obtient le Prix Renaudot et le Prix Goncourt des lycéens. La même année, il est récompensé par le grand prix Jean-Giono pour l’ensemble de son œuvre.

Lorsqu’en septembre 2002, la guerre civile éclate en Côte d’Ivoire, il prend position contre l’ivoirité, « une absurdité qui nous a menés au désordre » et pour le retour de la paix dans son pays.

Au moment de sa mort, il travaillait à la rédaction d’un nouveau livre, Quand on refuse on dit non, une suite d’Allah n’est pas obligé : le jeune héros, enfant soldat démobilisé, retourne en Côte d’Ivoire à Daloa, et vit le conflit ivoirien. Ce roman est publié à titre posthume en 2004.

Kourouma est marié à une Française rencontrée pendant son séjour à Lyon, et il est père de quatre enfants. Onze ans après sa mort, en novembre 2014, sa dépouille est transférée de Lyon en Côte d’Ivoire

  • Bibliographie

 

 

  • L’œuvre
    • Titre de l’œuvre

Le titre est un raccourci de l’affirmation qui rappelle qu’«Allah n’est pas obligé d’être juste dans toutes ses choses ici-bas», phrase qui revient comme un leitmotiv dans l’œuvre.

  • Résumé

Birahima a une douzaine d’années et vit à Togobala, en Côte d’Ivoire. C’est un enfant des rues comme il le dit lui-même, « un enfant de la rue sans peur ni reproche ». Après la mort de sa mère, infirme, on lui conseille d’aller retrouver sa tante au Liberia. Personne ne se dévoue pour l’accompagner mis à part Yacouba « le bandit boiteux, le multiplicateur des billets de banque, le féticheur musulman ». Les voilà donc sur la route du Liberia. Très vite, ils se font enrôler dans différentes factions, où Birahima devient enfant soldat avec tout ce que cela entraîne : drogue, meurtres, viols. Yacouba arrive facilement à se faire une place de féticheur auprès …..

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