Exposé complet sur les pesanteurs sociales dans Une si longue lettre de Mariama Ba

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INTRODUCTION
I- ÉTUDE DE L’AUTEUR ET DE L’ŒUVRE
1- Auteur
– Bibliographie
2- Résumé de L’œuvre
II- ÉTUDE des personnages
1. Les personnages principaux
2. Les personnages secondaires :
III- ÉTUDE THEMATIQUE
1- Thème principal: Les pesanteurs sociales
2- Thèmes secondaires
IV- STYLE DE L’AUTEUR
CONCLUSION


INTRODUCTION
Dans une si longue lettre le thème de l’éducation occupe une place de choix et cela on ne s’aurait l’amputer au métier de l’auteur qui est à la fois enseignante et écrivaine. En effet l’acception globale de l’éducation montre quelle peut être conçue comme l’enseignement des règles de conduites, sociales et formation des facultés physiques, morales et intellectuelles qui président la formation de la personnalité de l’homme. Ainsi dans notre analyse, nous nous évertuerons de montrer à travers une si longue lettre que l’école, la famille et la société sont des lieux privilégiés de transmission des connaissances. Nonobstant les tares de cette société l’artiste doit porter son regard critique et constructif sur la transmission des valeurs sociétales sans lesquelles l’humanité serait en décadence.
I- ETUDE DE L’AUTEUR ET DE L’ŒUVRE
1- Auteur
– Biographie
L’auteur Mariama Bâ est né en 1929 au Sénégal. Ayant perdu sa mère, et son père étant ministre de la santé, elle est élevée par ses grands-parents dans un souci de strict respect de la religion musulmane traditionnelle. Ces grands parents sont aisés, son grand père est Lébou de Dakar. Ils possèdent même une grande mosquée. Mariée, divorcée, puis remariée, elle a été l’épouse du député Obeye Diop. Ces deux unions lui ont donné neuf enfants.

Au niveau de ces études, elle fait ces classes primaires à l’école des filles. Après avoir eu son certificat d’étude, généralement une jeune fille arrête l’école. Mais elle veut être secrétaire. Cependant, la directrice de l’école des filles la retire de la cour pour qu’elle s’inscrive à l’école Normale de Rufisque afin qu’elle devienne institutrice car elle sait que Mariama Bâ a d’énorme capacités intellectuelles. La directrice devra pourtant se battre contre la famille de la jeune fille pour qu’ils la laissent continuer ses études. Elle obtiendra son diplôme d’institutrice en 1947 et elle gardera de cette époque un immense lien avec la directrice de l’école Normale, Mme Legoff ainsi que toutes les jeunes filles qui passeront dans son école. Ainsi des années plus tard se crée l’amicale Germaine Legoff, une amicale composée de toutes les anciennes normaliennes pour que le nom de leur ancienne directrice soit donné à l’école, ce qui est accepté par les autorités Sénégalaises.

Au niveau professionnel, après avoir obtenu son diplôme elle fait ses premiers pas dans l’enseignement à l’école de Médine. Elle va enseigner pendant douze ans jusqu’au moment où elle tombe malade et qu’elle est affectée à l’inspection régionale fde l’enseignement du Sénégal.
Elle y travaille toujours quand elle publie son livre.
Au même moment, elle fait partie de plusieurs associations féministes comme Soroptimiste International, le Club de Dakar, et le Cercle Fémina. En effet Mariama Bâ…

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