Exposé sur la littérature et ses fonctions

Introduction 

I.Définition de la littérature 

II.Fonctions de la littérature

  1. Divertissement : 
  2. Exploration de l’expérience humaine :
  3. Réflexion critique :
  4. Transmission culturelle :
  5. Expression artistique :
  6. Exploration de la psychologie humaine :
  7. Plaisir esthétique :

Conclusion

 

Introduction

 

La littérature est un domaine vaste et complexe qui englobe un large éventail de formes d’expression écrite, telles que les romans, les poèmes, les pièces de théâtre, les essais et bien plus encore. Elle occupe une place centrale dans la culture et la société, et remonte à des milliers d’années dans l’histoire de l’humanité. Dans cet exposé, nous allons explorer la nature de la littérature et examiner certaines de ses fonctions clés.

 

I.Définition de la littérature 

 

La littérature peut être définie comme l’ensemble des œuvres écrites, telles que les romans, les poèmes, les pièces de théâtre et les essais, qui sont reconnues pour leur valeur artistique, esthétique et littéraire. Elle est caractérisée par l’utilisation créative du langage pour exprimer des idées, des émotions et des expériences humaines, et elle offre souvent une réflexion profonde sur la condition humaine. La littérature est une forme d’expression artistique qui peut divertir, éduquer, émouvoir et stimuler la réflexion critique.

 

II.Les fonctions de la littérature 

 

  1. Divertissement : 

 

La littérature offre aux lecteurs une évasion de la réalité quotidienne en leur permettant de s’immerger dans des mondes imaginaires ou de vivre des expériences émotionnelles intenses à travers des personnages et des histoires fictives. Les romans, les nouvelles et les poèmes sont souvent appréciés pour leur capacité à divertir et à captiver les lecteurs.

 

  1. Exploration de l’expérience humaine :

 

 La littérature permet d’explorer et de représenter la vaste gamme des expériences humaines, des émotions et des dilemmes auxquels nous sommes confrontés. Elle nous aide à mieux comprendre les aspects complexes de la condition humaine en nous mettant en contact avec des personnages et des situations qui reflètent notre propre réalité ou qui nous permettent de découvrir d’autres perspectives.

 

  1. Réflexion critique :

 

 La littérature peut être un moyen puissant d’aborder des questions sociales, politiques et philosophiques. Les écrivains utilisent souvent la fiction pour commenter ou critiquer les problèmes et les injustices de leur époque. Les œuvres littéraires peuvent susciter la réflexion critique, remettre en question les normes établies et stimuler le débat sur des questions importantes.

 

  1. Transmission culturelle :

 

 La littérature joue un rôle essentiel dans la transmission et la préservation de la culture. Les mythes, les légendes et les contes populaires sont transmis de génération en génération par le biais de récits littéraires. Les écrivains peuvent également explorer et représenter les valeurs, les traditions et les modes de vie spécifiques à une culture donnée, contribuant ainsi à la diversité culturelle et à la préservation du patrimoine.

 

  1. Expression artistique :

 

 La littérature est une forme d’expression artistique qui utilise le langage écrit pour créer des œuvres d’art. Les écrivains jouent avec les mots, les sonorités, les rythmes et les structures pour créer des effets esthétiques et émotionnels. La poésie, en particulier, est souvent considérée comme une forme littéraire hautement artistique en raison de son utilisation de techniques poétiques telles que la rime, le rythme et la métaphore.

 

  1. Exploration de la psychologie humaine :

 

 La littérature offre un accès privilégié aux pensées et aux émotions des personnages, permettant ainsi d’explorer la complexité de la psychologie humaine. Les écrivains peuvent décrire les motivations, les conflits internes et les tourments émotionnels des personnages de manière à susciter l’empathie et à offrir des perspectives nouvelles sur la nature humaine.

 

  1. Plaisir esthétique :

 

 La littérature peut être appréciée pour son plaisir esthétique. Les lecteurs peuvent être attirés par la beauté des mots, des descriptions évocatrices et des images poétiques. La lecture peut être une expérience plaisante en soi, un moyen de s’immerger dans la musicalité du langage et de savourer les qualités artistiques d’une œuvre littéraire.

Conclusion

En somme, la littérature est bien plus qu’un simple ensemble d’œuvres écrites. Elle est un reflet de notre humanité, capturant les expériences, les émotions et les questions qui nous traversent en tant qu’êtres humains. À travers ses diverses fonctions, la littérature divertit, enseigne, inspire et provoque la réflexion critique. Elle nous transporte dans des mondes imaginaires, nous invite à explorer la complexité de la psychologie humaine et nous permet de nous connecter avec les autres, en créant ainsi des ponts entre les cultures et les époques. La littérature est un art intemporel qui continue de nous influencer, de nous éclairer et de nous enrichir. En la célébrant et en l’appréciant, nous embrassons la puissance des mots et la beauté de l’expression artistique, tout en nous invitant à une exploration perpétuelle de nous-mêmes et du monde qui nous entoure.

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Exposé complet sur les Conflits armés en Afrique ( Causes, conséquences et perspectives de résolution )

 

Introduction
I. Contexte historique des conflits armés en Afrique
   1-Héritage colonial et frontières artificielles
   2-Lutte pour l’indépendance et instabilité post-coloniale
   3-Influence des puissances étrangères dans les conflits

II. Causes des conflits armés en Afrique
   1-Facteurs politiques, économiques et sociaux
   2-Ressources naturelles et conflits économiques
   3-Discrimination ethnique, religieuse et politique
   4-Faiblesses institutionnelles et corruption

III. Exemples de conflits armés en Afrique
   1-Guerre civile en République démocratique du Congo
   2-Conflits au Soudan et au Soudan du Sud
   3-Insécurité dans la région du Sahel
   4-Guerre contre Boko Haram en Afrique de l’Ouest

IV. Conséquences des conflits armés en Afrique
   1-Pertes humaines et déplacements massifs de populations
   2-Destruction des infrastructures et de l’économie
   3-mpact sur le développement social et les droits de l’homme
   4-Effets régionaux et internationaux des conflits

V. Initiatives de résolution des conflits en Afrique
   1-Médiations régionales et internationales
   2-Missions de maintien de la paix et interventions militaires
   3-Promotion de la bonne gouvernance et de la démocratie
   4-Réconciliation nationale et justice transitionnelle

Conclusion
Introduction

Les conflits armés désignent des affrontements violents entre différentes entités, tels que des États, des groupes rebelles, des milices ou des factions ethniques, qui utilisent la force militaire pour atteindre leurs objectifs politiques, territoriaux, économiques ou idéologiques. Ces conflits se caractérisent par l’utilisation d’armes conventionnelles, telles que les armes à feu, les explosifs, les véhicules blindés, ainsi que parfois des armes non conventionnelles comme les mines terrestres et les armes chimiques. Les conflits armés en Afrique ont connu une certaine prévalence et ont eu des conséquences profondes sur la région. L’étude des conflits armés en Afrique revêt une importance capitale en raison de leur fréquence et de leur impact dévastateur sur les populations et les pays concernés. Cet exposé se propose d’explorer les conflits armés en Afrique en examinant leurs causes, leurs conséquences et les perspectives de résolution.

I. Contexte historique des conflits armés en Afrique
1-Héritage colonial et frontières artificielles
L’histoire coloniale de l’Afrique a joué un rôle majeur dans la genèse des conflits armés sur le continent. Les puissances coloniales ont souvent tracé des frontières arbitraires sans tenir compte des réalités ethniques, culturelles et politiques des populations africaines. Lorsque les pays africains ont accédé à l’indépendance, ces frontières artificielles ont créé des tensions et des revendications territoriales, alimentant ainsi les conflits.
2-Lutte pour l’indépendance et instabilité post-coloniale
La période de décolonisation en Afrique a été marquée par des luttes pour l’indépendance, qui ont souvent débouché sur des conflits armés. Les rivalités politiques et les luttes de pouvoir qui ont suivi l’indépendance ont également contribué à l’instabilité dans de nombreux pays. Les mouvements de libération nationale, souvent issus de ces luttes, se sont parfois transformés en groupes armés engagés dans des guerres civiles et des rébellions.
3-Influence des puissances étrangères dans les conflits
Les puissances étrangères ont joué un rôle significatif dans les conflits armés en Afrique, tant pendant la période coloniale que post-indépendance. Les rivalités géopolitiques et les intérêts économiques ont conduit à l’ingérence de pays étrangers, qui ont soutenu différents acteurs dans les conflits africains. Cela a souvent exacerbé les tensions et prolongé les conflits, créant un environnement propice à l’escalade de la violence.
II. Causes des conflits armés en Afrique
1-Facteurs politiques, économiques et sociaux
Les conflits armés en Afrique sont souvent alimentés par des facteurs politiques, économiques et sociaux interconnectés. Les rivalités politiques pour le contrôle du pouvoir et des ressources sont fréquentes et peuvent conduire à des affrontements violents. Les compétitions électorales contestées, la corruption, les abus de pouvoir et l’exclusion politique peuvent également contribuer à l’escalade des conflits. Sur le plan économique, la pauvreté, l’inégalité des revenus, le manque d’opportunités économiques et l’accès inéquitable aux ressources naturelles peuvent également être des facteurs déclencheurs de conflits.
2-Ressources naturelles et conflits économiques
L’Afrique est riche en ressources naturelles telles que le pétrole, le gaz, les minéraux et les terres arables, ce qui en fait un enjeu important pour les acteurs nationaux et internationaux. La concurrence pour le contrôle et l’exploitation de ces ressources peut déclencher des conflits armés. Les revenus générés par l’exploitation des ressources peuvent également être utilisés pour financer les groupes armés, prolongeant ainsi les conflits et créant un cycle de violence.
3-Discrimination ethnique, religieuse et politique
Les conflits armés en Afrique sont souvent marqués par des tensions ethniques, religieuses et politiques. La discrimination, l’exclusion et la marginalisation basées sur ces identités peuvent créer des divisions profondes au sein des sociétés africaines, conduisant à des affrontements violents. Les rivalités ethniques et religieuses peuvent être exploitées par des acteurs politiques ou des groupes armés pour mobiliser un soutien et justifier la violence.
4-Faiblesses institutionnelles et corruption
La faiblesse des institutions étatiques, y compris les forces de sécurité, la justice et l’administration publique, peut créer un environnement propice à l’émergence et à la persistance des conflits armés. L’absence de mécanismes de gouvernance solides, la corruption généralisée et l’impunité pour les violations des droits de l’homme peuvent miner la confiance des citoyens dans l’État et conduire à des tensions sociales et politiques.
III. Exemples de conflits armés en Afrique
1-Guerre civile en République démocratique du Congo
La République démocratique du Congo (RDC) a été le théâtre de l’un des conflits armés les plus complexes et meurtriers en Afrique. La guerre civile en RDC a débuté en 1996 et a impliqué plusieurs acteurs nationaux et étrangers. Les causes du conflit comprennent les rivalités ethniques, les luttes pour le contrôle des ressources naturelles riches du pays, la faiblesse des institutions étatiques et l’interférence des pays voisins. Le conflit a entraîné des pertes humaines massives, des déplacements de population et une déstabilisation régionale significative.
2-Conflits au Soudan et au Soudan du Sud
Le Soudan et le Soudan du Sud ont été touchés par des conflits armés prolongés. Au Soudan, la guerre civile entre le gouvernement central et les régions périphériques, notamment le Darfour, a été marquée par des violences ethniques, des déplacements massifs et des crimes contre l’humanité. Finalement, en 2011, le Soudan du Sud a obtenu son indépendance, mais le pays a rapidement sombré dans une guerre civile interne. Les causes du conflit comprennent des rivalités politiques, des tensions ethniques, la lutte pour le pouvoir et le contrôle des ressources pétrolières.
3-Insécurité dans la région du Sahel
La région du Sahel en Afrique de l’Ouest est confrontée à une insécurité croissante résultant de la présence de groupes terroristes tels que Boko Haram, Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) et l’État islamique au Grand Sahara (EIGS). Ces groupes exploitent les vulnérabilités socio-économiques, les tensions ethniques et les faiblesses institutionnelles pour mener des attaques et instaurer un climat de terreur. La lutte contre ces groupes armés a impliqué des opérations militaires conjointes et des efforts régionaux de coopération pour restaurer la sécurité et la stabilité.
4-Guerre contre Boko Haram en Afrique de l’Ouest
Boko Haram, un groupe extrémiste basé au Nigeria, a mené une campagne de violence dévastatrice dans la région du lac Tchad, qui comprend le Nigeria, le Niger, le Tchad et le Cameroun. Les actions de Boko Haram comprennent des attaques terroristes, des enlèvements de masse et des crimes contre l’humanité. Les causes du conflit comprennent la marginalisation économique, la radicalisation religieuse, la faiblesse des institutions et les tensions ethniques. Les efforts de lutte contre Boko Haram ont impliqué une coopération régionale et des opérations militaires pour affaiblir et éradiquer le groupe.
IV. Conséquences des conflits armés en Afrique
Les conflits armés en Afrique ont des conséquences dévastatrices sur les populations et les pays touchés. Voici quelques-unes des principales conséquences :
1. Pertes humaines et déplacements de population :
Les conflits armés entraînent la perte de vies humaines, y compris des civils innocents. Les populations sont souvent contraintes de fuir leurs foyers, ce qui entraîne des déplacements massifs à l’intérieur des pays ou des réfugiés cherchant asile dans d’autres pays. Les conditions de vie précaires dans les camps de déplacés ou de réfugiés peuvent conduire à des crises humanitaires, notamment en termes de santé, de sécurité alimentaire et d’accès à l’éducation.
2. Destruction des infrastructures :
Les infrastructures essentielles telles que les écoles, les hôpitaux, les routes, les ponts et les installations économiques sont souvent détruites pendant les conflits, entravant le développement économique et social à long terme. La reconstruction de ces infrastructures après la fin des hostilités est un défi majeur pour les pays touchés.
3. Crises humanitaires :
Les conflits armés entraînent souvent des crises humanitaires, avec des difficultés d’accès aux soins de santé, à l’eau potable, à l’assainissement et à la nourriture. Les populations civiles, en particulier les plus vulnérables, comme les enfants, les femmes et les personnes âgées, sont souvent les plus touchées par ces crises humanitaires.
4. Impact économique :
Les conflits armés ont un impact dévastateur sur les économies africaines. La destruction des infrastructures, la perturbation des activités commerciales, l’effondrement du secteur agricole et la fuite des investissements étrangers entravent la croissance économique et la réduction de la pauvreté. Les pays touchés par les conflits ont du mal à se remettre sur pied et à reconstruire leurs économies une fois la paix instaurée.
5. Instabilité régionale :
Les conflits armés en Afrique ont souvent des répercussions régionales, avec des flux de réfugiés, des mouvements transfrontaliers de groupes armés et des tensions entre pays voisins. L’instabilité dans une région peut se propager et déstabiliser d’autres pays, créant ainsi un cercle vicieux de violences et de conflits.
6. Traumatisme et division sociale :
Les conflits armés laissent des séquelles psychologiques et émotionnelles profondes sur les individus et les communautés. Les traumatismes liés à la violence, aux déplacements forcés et à la perte de proches sont durables et nécessitent des mesures de soutien psychosocial. De plus, les conflits peuvent semer la division et la méfiance entre les groupes ethniques, religieux ou politiques, ce qui peut compromettre la réconciliation et la construction de sociétés inclusives.
V. Initiatives de prévention et de résolution des conflits en Afrique
Face aux défis des conflits armés en Afrique, de nombreuses initiatives ont été mises en place pour prévenir et résoudre ces conflits. Voici quelques exemples d’initiatives importantes :
1. Médiation et diplomatie :
Des efforts diplomatiques et de médiation sont déployés pour faciliter le dialogue et la négociation entre les parties en conflit. Les médiateurs régionaux, tels que l’Union africaine (UA), la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et l’Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD), jouent un rôle clé dans la promotion de la paix et la résolution des conflits. Des initiatives de médiation ont été mises en œuvre avec succès dans des pays tels que le Soudan, la République démocratique du Congo et la Côte d’Ivoire.
2. Opérations de maintien de la paix :
Les missions de maintien de la paix des Nations Unies sont déployées dans les zones de conflit en Afrique pour protéger les civils, faciliter les processus de paix et soutenir la reconstruction post-conflit. Des exemples de missions de maintien de la paix en Afrique comprennent la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) et la Mission des Nations Unies au Soudan du Sud (MINUSS).
3. Renforcement des capacités institutionnelles :
Des efforts sont déployés pour renforcer les institutions étatiques, y compris les forces de sécurité, la justice et l’administration publique, afin de prévenir les conflits et de maintenir la stabilité. Cela comprend la formation et le renforcement des capacités des acteurs nationaux dans le domaine de la gouvernance, de la gestion des conflits, de la consolidation de la paix et de la réforme du secteur de la sécurité.
4. Promotion de la bonne gouvernance et de l’état de droit :
La promotion de la bonne gouvernance, de la transparence, de la responsabilité et de l’état de droit est essentielle pour prévenir les conflits et promouvoir la stabilité en Afrique. Des initiatives visant à lutter contre la corruption, à promouvoir la participation politique inclusive et à renforcer les institutions démocratiques sont mises en œuvre pour créer des sociétés plus justes et résilientes.
5. Développement économique et réduction de la pauvreté :
La réduction de la pauvreté et la promotion du développement durable sont des éléments clés de la prévention des conflits en Afrique. Des programmes de développement économique, tels que la promotion de l’emploi, l’amélioration des infrastructures et l’accès à l’éducation, sont mis en place pour créer des opportunités et réduire les inégalités socio-économiques.
6. Sensibilisation à la paix et à la réconciliation :
Des initiatives de sensibilisation à la paix, à la réconciliation et à la tolérance sont menées pour promouvoir la compréhension mutuelle, le respect des droits de l’homme et la coexistence pacifique entre les communautés. L’éducation à la paix, les activités interculturelles et les dialogues communautaires sont utilisés pour surmonter les divisions et les préjugés et favoriser la réconciliation.
Conclusion
En conclusion, les conflits armés en Afrique représentent un défi majeur pour la paix, la stabilité et le développement durable sur le continent. Cependant, malgré ces défis, de nombreuses initiatives ont été mises en place pour prévenir et résoudre les conflits en Afrique. La prévention et la résolution des conflits en Afrique sont des processus à long terme qui exigent un engagement continu, une coopération régionale et internationale, ainsi qu’une volonté politique durable. En investissant dans la paix et la stabilité, l’Afrique peut réaliser son potentiel et ouvrir la voie à un avenir meilleur pour ses peuples.


Sources :
1. [Afrique : Les conflits et la violence sont une menace pour les droits humains | Human Rights Watch](https://www.hrw.org/fr/news/2023/01/12/afrique-les-conflits-et-la-violence-sont-une-menace-pour-les-droits-humains)
2. [Introduction à une géographie des conflits… en Afrique](https://journals.openedition.org/com/6263?lang=en)
3. [Chapitre 1. Conflits et stabilité régionale en Afrique du Nord et de l’Ouest | Réseaux de conflit en Afrique du Nord et de l’Ouest | OECD iLibrary](https://www.oecd-ilibrary.org/sites/6451e649-fr/index.html?itemId=/content/component/6451e649-fr) 

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Exposé complet sur « MPSR 1 et MPSR 2 » du Burkina Faso


Introduction :

Le terme « MPSR 1 et MPSR 2 » fait référence au Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration (MPSR) qui est une junte militaire au pouvoir au Burkina Faso depuis le coup d’État de janvier 2022. Dans cet exposé, nous examinerons le contexte, l’histoire, l’évolution et les objectifs du MPSR 1 et MPSR 2.
I. Histoire
Le Burkina Faso est actuellement dans une période de transition politique depuis le coup d’État de 2022. Le pays a connu une série de manifestations et d’émeutes qui ont conduit à la chute du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), le parti politique dominant, en 2014. Depuis lors, le pays a connu une transition vers une autocratie électorale dirigée par l’armée. Cependant, malgré cette transition, il est prévu que des élections auront lieu en 2024 dans le cadre du plan de l’armée visant à stabiliser la situation sécuritaire en renforçant les opérations de lutte contre le terrorisme.

II. Contexte  :
1) Définition du MPSR 1 :
Le MPSR 1, ou Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration, est une junte militaire qui a pris le pouvoir au Burkina Faso lors du coup d’État de janvier 2022. Il a été initialement dirigé par Paul-Henri Sandaogo Damiba, mais il a été renversé par des membres mécontents de la junte lors du coup d’État de septembre 2022.
2) Formation du MPSR 1 :
Le MPSR 1 a été formé à la suite du coup d’État de janvier 2022 au Burkina Faso. Il a pris le contrôle du gouvernement et a établi une junte militaire pour gouverner le pays.
3) Premier coup d’État :
Le premier coup d’État a eu lieu en janvier 2022, lorsque le MPSR 1 a renversé le gouvernement que Roch Marc Christian KABORE en place au Burkina Faso. Ce coup d’État a conduit à l’installation du MPSR 1 au pouvoir avec Paul-Henri Sandaogo Damiba comme président.
4) Les objectifs du MPSR 1 :
Appart la sauvegarde et la restauration de l’integrité du territoire national,  Les objectifs du MPSR 1 ne sont pas clairement définis dans les sources consultées. Cependant, en tant que junte militaire, il est probable que le MPSR 1 cherche à maintenir le contrôle du gouvernement et à restaurer la stabilité dans le pays.

III. Évolution :
1) Formation du MPSR 2 :
Le Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration (MPSR) est une junte militaire qui gouverne le Burkina Faso depuis le coup d’État de janvier 2022. À l’origine, il était dirigé par Paul-Henri Sandaogo Damiba, mais il a été renversé par des membres mécontents de la junte lors du coup d’État de septembre 2022. Le capitaine Ibrahim Traoré a ensuite été installé comme figure principale.
2) Membres du MPSR 2 :
Mis à part Traoré et Sorgho (le porte-parole officiel du groupe), les autres membres du MPSR ne sont pas connus du public.
3) Deuxième coup d’État :
Le deuxième coup d’État a eu lieu en septembre 2022, lorsque des membres mécontents de la junte ont renversé Paul-Henri Sandaogo Damiba et ont installé le capitaine Ibrahim Traoré comme figure de proue du MPSR 2.
4) Les objectifs du MPSR 2 :
Le MPSR 2 a pour objectifs de consolider les acquis du MPSR 1, de travailler a la restauration de l’intégrité du territoire national, la souveraineté et au développement économique du Burkina Faso.


Conclusion :
Le MPSR 1 est une junte militaire qui a pris le pouvoir au Burkina Faso lors du coup d’État de janvier 2022. Il a été formé dans le but de sauvegarder et de restaurer la stabilité dans le pays. Le MPSR  2 a adopté une charte de transition qui prévoit la tenue d’élections d’ici juillet 2024. Le président par intérim, Paul-Henri Sandaogo Damiba, a été renversé par Ibrahim Traoré, son collègue militaire, en septembre 2022. Après le renversement, le MPSR 2 a déclaré qu’il acceptait l’accord précédent sur la tenue d’élections d’ici juillet 2024, mettant ainsi fin au débat sur le calendrier. Les factions militaires en compétition ont été influencées par les préférences des citoyens, ce qui a favorisé la nomination de M. Traoré en tant que président.


Sources :
1. [Patriotic Movement for Safeguard and Restoration – Wikipedia](https://en.wikipedia.org/wiki/Patriotic_Movement_for_Safeguard_and_Restoration)
2. [NESDIS Suspected Oil : Marine Pollution Surveillance Reports (MPSR) Metadata | InPort](https://www.fisheries.noaa.gov/inport/item/52380)
3. [Burkina Faso restores constitution, names coup leader president | Politics News |  Jazeera](https://www.aljazeera.com/news/2022/1/31/burkina-faso-restores-constitution-names-coup-leader-president)

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Exposé complet sur le Japon Impérialiste

 

 

INTRODUCTION

 

Lorsque la seconde guerre mondiale débuta la 1er Septembre 1939 en Europe, le Japon était déjà en guerre depuis un certain temps. La guerre sino-japonaise avait commencé en 1937, et la présence militaire japonaise sur le continent asiatique fut incorporée à la guerre de 1939-1945, lors de l’attaque japonaise sur Pearl Harbor. La participation du Japon à cette guerre ne serait donc qu’une étape inévitable dans le processus d’expansion qu’il s’est établi.

En tenant compte de la position du Japon au début du XXe siècle, alors qu’il devenait une puissance mondiale des suites de son ouverture au monde au siècle dernier, le début de l’expansion japonaise sur le continent asiatique sera exposé. Ensuite, la monopolisation du pouvoir effectif du Japon par les militaires pendant les années 1930 sera présentée comme étant la raison de l’apogée de la politique étrangère expansionniste, qui permettra au Japon de mettre la main sur la Mandchourie, une bonne partie de la Chine, et des colonies européennes, forçant alors la participation à la Deuxième Guerre mondiale.

 

 

  1. I) LE JAPON AU DEBUT DU XXEME SIECLE

 

1- Héritage du XIXème siècle

 

Depuis l’arrive de Perry à Edo en 1853, le Japon à subi de grandes transformations au sein de sa société, conséquences de l’ère Meiji qui ouvrit le pays au monde occidental. L’influence de cette ouverture aux modèles occidentaux (notamment prussien). Cependant, l’âme japonaise ne fut pas aussi rapide à s’adapter aux changements. Le shogunat ne fut abolit qu’en 1867 et la mentalité guerrière plus que millénaire des japonais ne s’effaça pas automatiquement pour autant. Les valeurs militaires restèrent donc bien en vue, et furent incorporé au nouveau gouvernement, tout en gardant une certaine autonomie.

Sur le plan économique, l’ouverture du Japon et sa réorientation vers une économie de production industrielle entraînant une certaine période de prospérité pour le pays. Ce furent surtout les clics financières (Zaïbatsu) qui en profitèrent, plutôt que le peuple, mais le pays s’enrichi graduellement. C’est alors que certains besoins se firent sentir pour ce petit pays. Une démographie trop importante pour ses capacités, additionnée à la monté de puissance du Japon (en tant que pays asiatique le plus moderne), redonnant une volonté expansionniste à ce pays retiré, afin de combler ses divers besoins en matières premières et pour installer sa population.

 

2- l’expansionnisme sur le continent asiatique

 

La première victime du japon fut la Corée, qu’il débarrassa des Qing de la chine en 1895, et y établie une sorte de protectorat avant de l’annexer purement et simplement en 1910.Il y eu aussi la guerre avec les Russes en 1904-05, qui fut gagné par les Japonais à la surprise de tous, et qui plaça le Japon comme une puissance d’envergure sur le plan mondiale. A ce moment, une certaine mentalité commençait déjà à se propager parmi les mentalités japonaises, comme quoi le Japon devrait instaurer un ordre nouveau en Asie. Etablissement d’une ‘’sphère de coprospérité en Asie orientale’’ fit donc tranquillement son chemin comme raison de l’expansionnisme japonais .

La première guerre mondiale donna une bonne poussée au Japon qui, en se plaçant au coté des Alliés, réussit à mettre la main sur les possessions allemandes en Asie, ce qui permit d’installer une plus grande présence japonaise sur le continent (notamment sur les rives de la mer jaune).A partir de ce moment, les Occidentaux prirent conscience de la réelle puissance (ou menace) du Japon en Asie, et commencèrent à s’y intéresser un peu plus.

Pendant cette période, le pays fut assez bien contrôlé par le parlement dont il s’était doté en 1890.Alors que la prospérité des années 1920 permettait cette façon de gouverner sans trop de résistance, la crise économique de 1929 allait remettre en question la nouvelle société industrielle et parlementaire japonaise. Pour se protéger d’une telle situation désastreuse pour ce pays dépendant du marché international, le retour aux valeurs traditionnelles guerrière était dans l’ordre des choses. L’expansion était donc la meilleur solution pour résoudre les problème du Japon impérial, soit l’instauration d’un nouveau ordre impérial en Asie, soit l’Asie aux asiatiques( sous la gouverne du Japon…).

Cette sphère de coprospérité asiatique avait aussi des origines économiques. Les zaïbatsu avaient beaucoup investi en Chine (plus particulièrement en Mandchourie), et en leur qualité de trusts financier géant, affiliés de prêts à l’armée japonaise en tant que fournisseurs privilégier de produits et services, il n’en fallait pas beaucoup plus pour que les militaires entreprennent de nouvelles conquêtes pour leurs ‘’ commanditaires’’, tout en répondant a leurs instincts guerriers.

 

  1. II) L’ARMEE AUX COMMANDES DU PAYS

 

1- La Mandchourie

 

 

Depuis la guerre sino-russe la présence japonaise a Mandchourie se faisait plus courante’ et elle prit de plus en plus d’importance à partir de la première guerre mondiale. La construction des chemins de fer en Mandchourie, et la possession japonaise nécessitait une ’’ protection’’ de l’armée impériale, dont la division du Kwantung allait s’occuper avec grand plaisir. En fait, l’armée du Kwantung allait tout simplement prendre de plus en plus place, et d’autorité sur les régions où elle était situé. Elle devint de plus en plus indépendante de Tokyo (et plus puissante), et agissait en fonction autonome sans tenir compte du parlement. Les militaires agissaient pour leur pays mais son consentement !

Dans la nuit du 18 septembre 1931, un incendie près de Mukden, la capitale de la Mandchourie, servit de casus belli au japonais pour prendre le contrôle de la région, et permit à l’armée de ce déployer ‘’ en toute légalité’’ afin de mieux protéger les intérêt japonais. En quelques mois la Mandchourie était entièrement en leur contrôle. En février 1932, L’ETAT du Mandchoukouo était créé avec l’ancien empereur chinois Pu-Yi à sa tête, sous la protection du Japon, afin de légaliser la position des attaquants sur le plan international. En réalité, se territoire était maintenant considéré par les Japonais au même titre que la Corée, soit une possession de l’empire. La réaction Chinoise fut assez faible, en raison de la guerre civile en Chine. L’invasion et la prise de possession de la Mandchourie avait totalement réussit pour le Japon. L’annexion de la province voisine de Jehol en 1933 permis de stabiliser les frontières au détriment de la Chine. Avec des incursions en Chine du Nord, et de nouvelles revendications Japonaises, les nationalistes faibles ne peuvent qu’accepter l’ingérence de l’envahisseur dans l’administration, en nommant des Japonais pour les postes de hautes décision dans cette région. Les Japon a donc réussit à mettre la main sur d’immenses territoires regorgeant des ressources naturelles indispensables pour l’économie japonaise. De plus, il étant par la même occasion son hégémonie sur une plus grande surface.

 

 

 

 

2- La Chine

 

Le nouvel incident près du pont Marco Polo le 7 Juillet 1937 servi les intensions (toujours) expansionnistes des Japonais, qui décidèrent de déclancher une véritable guerre, en espérant pouvoir en finir une foi pour toute avec les Chinois. L’avancé Japonaise fut fulgurante, alors que l’armée prenait le contrôle des voies de communications et des grandes ville, tel que Pékin, Shanghai (qui résista pendant trois mois), et finalement Nankin, la capitale provisoire (au prix de terribles massacres). Tchang Kai-Chek la déplaça plus à l’Est sur le fleuve Yangtsé, à Hankow : depuis son alliance forcé avec les communistes en 1936, les Chinois offrais maintenant un front assez unis conte les Japonais mais leur grand nombre d’effectif compensait difficilement le sous équipement des troupes Chinoises. Les Japonais pouvaient ainsi s’enfoncer à l’intérieur du pays assez facilement alors que les Chinois fuyaient, en espérant que la grandeur de leurs territoires avale les troupes ennemies.

Alors que la résistance Chinoise s’organisait, les Japonais eux croyaient pouvoir convaincre assez rapidement les Chinois de rejoindre l’ordre nouveau de l’Asie. Ils tentèrent à quelques reprise de mettre un terme à la guerre qu’ils avaient provoqué, afin d’instaurer la ‘’sphère de coprospérité asiatique’’ d’une façon paisible, mais sans succès. Le Japon se retrouvait pris à son propre jeu, et se devait de continuer dans la voie qu’il s’était choisie. En effet, trop de capitaux et d’hommes avait été investi da cette entreprise de conquête et il n’était pas question d’arrêter les frais et de revenir au statu quo ante bellum ; sans perde la face devant le monde

(Ce qui est impensable pour les Japonais), et des capitaux faramineux engloutis dans cette aventure.

 

  1. Les possessions occidentales

 

Cependant, après la chute de Canton en octobre 1938, les Japonais se rapprochèrent de l’Indochine Française, et des colonies anglaises et néerlandaises. Les militaires avaient comme but de poursuivre cette lancée de conquêtes territoriales, ce qui leur permettrait de mettre la main sur plusieurs sources de pétrole, et de matières brutes (comme le caoutchouc) indispensable à l’industrie militaire et a l’économie du pays. Les Européens commençaient à voir d’un mauvais œil la présence Japonaise si près de leur intérêt en Asie et dans le pacifique, mais leur attention se détourna assez rapidement vers la situation sur le continent Européen, avec la monté d’Hitler, et le risque grandissant d’une nouvelle guerre.

Voyant les hésitations des Européens, les Japonais attendirent un dénouement pour se prononcer. Lorsque l’Allemagne conquis l’Europe de l’ouest à la fin du printemps 1940, le Japon décida de prendre le contrôle des colonies Européennes, privé d’un support de leur colonisateur terrasser. C’est ainsi que l’Indochine permit aux militaires Japonais l’utilisation de bases navales et surtout d’aéroports, essentiel pour la suite de l’invasion Japonaise du pacifique du sud-ouest.

Ce fut les Japonais eux même qui aidèrent la cause des occidentaux en attaquant les Etats-Unis, forçant du même coup l’entré de l’Amérique dans la deuxième guerre mondiale. Depuis les premiers accrochages en Asie entre Chinois et Japonais, les Américains essayaient de ne pas s’en préoccuper, les partisans de l’isolationnisme étant trop puissant au pays. Malgr2 sa volonté de remettre le Japon à sa place, ou tout au moins de contenir, le présidant Franklin D. Roosevelt avait les mains liées par le congrès. Ce n’est qu’après un intense lobbying de la part de Shang Keit-Chek pour la cause Chinoise, ainsi qu’une prise de conscience du ‘’péril jaune’’ du pacifique, que les Etats Unis commencèrent à imposer des restrictions économiques, et un blocus sur certains matériels d’usage militaire ainsi que le carburant. Une telle position prenait le Japon à la gorge car sa marine dépendait grandement du carburant américain : il lui fallait donc utiliser la force pour s’en emparer.Tout en essayant de faire revenir les Etats-Unis sur leur décision en usant de diplomatie, le Japon mit sur pied un plan d’attaque contre eux. Malgré des pour parlé qui durèrent des mois, la décision de s’attaque au géant américain était presque incontournable. Une attaque du style blitzkrieg dans le pacifique lui permettrait de mettre la main sur les îles du pacifique ouest, tout en supprimant la présence américaine dans l’immédiat. Les Japonais espéraient ainsi placer les Etats-Unis devant le fait accompli avant que sa puissante industrie se mette en marche, l’obligeant à accepter l’ordre nouveau imposé par le Japon sana s’y attaquer. Un tel plan concevait une attaque rapide et destructrice, qui ne rendait possible aucune erreur qu’en ta son application.

Il fallait vraiment que le Japon soit dans une situation difficile pour prendre une telle décision. Les japonais y voyaient ainsi une occasion de se venger de leur plus grand rival dans l’océan pacifique, en les faisant disparaître de la carte. Il comptaient sur l’isolationnisme traditionnel de l’Amérique, et déclenchèrent finalement une attaque aérienne sur Pearl Harbor le 07 décembre 1941 .Après avoir tenter pendant plusieurs années d’imposer la ‘’pax japonica’’ , le japon se devait de conquérir militairement ce qui le repoussait en Asie, ou qui essayait par tous les moyens de le retenir. Il se plaçait donc directement en position de conflit avec les occidentaux, notamment les américains , qui empêchaient la ‘’sphère de coprospérité’’.

 

III) OPPOSITIONS

 

1- De l’intérieur

 

Il y’a eu effectivement une opposition de l’intérieur du Japon quant à leur politique expansionniste en Chine. Certains militaires ont affirmés qu’ils faisaient de ceux qui se sont opposés mais désavoués par l’Etat majore de l’armée impériale. L’opposition émergeait généralement se sont plaints de l’attitude désobéissante des militaires. Cela a causé la mort du 1er ministre Japonais INUKAI, assassiné en 1932 pour avoir désapprouvé dans un discours l’envoi de nouvelles troupes en Chine, et a occasionné des attaques préméditées de certains membres du gouvernement. L’armée étant au pouvoir, elle a outre passé ces oppositions en justifiant ses actions et ses décisions prises comme étant dans l’intérêt de tous les Japonais.

 

2- De l’extérieur

 

De l’extérieur, les occidentaux se sont opposés à l’expansionnisme japonais pour protéger leurs intérêts commerciaux et par conformisme à l’opinion internationale qui condamnait le Japon. Les Etats-Unis par exemple ont prévu un plan de guerre ‘‘orange’’ au cas où le Japon attaquerait les Philippines. Aussi, deux traités ont été signés en vue de limiter l’armement et les effectifs maritimes Japonais. L’opposition se voit aussi à travers la condamnation du Japon par la SDN (Sociétés Des Nations) en 1932. Après ces tentatives échouées, les occidentaux vont s’allier et s’opposer.

 

CONCLUSION

 

En conclusion, la participation de l’Empire Japonais à la Seconde Guerre mondiale était la conséquence logique de la politique étrangère qu’il a suivie depuis le début au XXe siècle. La confrontation avec les Etats-Unis et les puissances occidentales était inévitable en raison du ut poursuivi par les Japonais, soit de créer un ordre nouveau en Asie oriental, une ‘‘sphère de coprospérité’’ regroupant les Japonais les Occidentaux. Cette vision expansionniste avait profité de la montée du Japon pendant les trente premières années du XIXe siècle pour s’affirmer face aux autres nations dans le Pacifique Ouest. De là, l’invasion en règle de la Chine entrait dans la deuxième phase du plan, ce qui amènerait tôt ou tard à une confrontation avec les puissances japonaise, elles n’ont jamais été capables de le faire reculer.

 

 

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Exposé complet sur l’alcoolisme (causes conséquences solutions)

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INTRODUCTION

  • CAUSES DE L’ALCOOLISME
  • CONSEQUENCES DE L’ALCOOLISME
  • PROPOSITIONS DE SOLUTIONS

CONCLUSION

 

INTRODUCTION

Dans notre société, l’alcool, qui est un liquide incolore et volatile obtenu par la distillation de jus sucrés fermentés affiche son omniprésence : des fêtes aux repas jusqu’ à certains rites religieux. Il n’est donc pas surprenant que ses dangers soient sous-estimés voire ignorés. Aussi selon notre sondage 91% des lycéens ont déjà consommé de l’alcool dont 19 % boivent régulièrement.

Ce constat nous incite alors à nous interroger sur les effets et conséquences de l’alcool dans notre société.

Nous évoquerons d’abord les effets de l’alcool sur l’organisme puis ses conséquences sur le comportement et enfin nous verrons que l’alcool est une drogue sous-estimée.

  • CAUSES DE L’ALCOOLISME

L’alcoolisme ou « trouble de l’usage d’alcool » est une affection médicale. Bien que la cause exacte de l’alcoolisme soit inconnue, des études ont montré qu’il est de plus en plus prouvé que la prédisposition à cette maladie peut être héréditaire et que les risques d’en être atteint augmentent de façon importante chez les familles dont des membres (notamment les parents et les frères et sœurs) ont une dépendance à l’alcool.

Les autres facteurs de risque comprennent…

 

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Exposé complet sur l’illusion, la désillusion et la délinquance dans Maimouna d’Abdoulaye Sadji

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PLAN
INTRODUCTION :
I- BIOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE DE L’AUTEUR
1- Biographie
2- Bibliographie
II- Résumé de l’œuvre
III- PRESENTATION DES PERSONNAGES
1) Les personnages principaux
2) Les personnages secondaires
IV- ANALYSE THEMATIQUE DE L’ŒUVRE
1. Les thèmes principaux : l’illusion, la désillusion et la délinquance.
2. Les thèmes secondaires
V- LE CADRE SPATIO-TEMPOREL
1- L’espace
2- Le temps
VI- LE STYLE DE L’AUTEUR
CONCLUSION :


INTRODUCTION :


Maimouna est un roman écrit par un très grand auteur africain qui a su marqué son temps de par ses œuvres. En effet ABDOULAYE Sadji a appartenu au courant de la négritude mais a su poursuivre sa lutte jusqu’au bout mais de manière littéraire. . Assurément, Maimouna pure puis égarée, à l’innocence violée, est l’allégorie d’une Afrique en transition qui à la veille des indépendances se devait de se ressaisir. C’est le cas de l’histoire de la jeune innocente Maimouna, qui fait l’objet de notre étude aujourd’hui.


I- BIOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE DE L’AUTEUR


1- Biographie
Son père Demb Sadji, marabout, est originaire de Latminguè, un village sérère situé dans la région de Kaolack, et sa mère Oumy Diouf est issue d’une famille musulmane léboue ancrée dans la tradition animiste.
Après des études coraniques, il rejoint les bancs de l’école française à l’âge de onze ans, puis fréquente le Lycée Faidherbe avant d’intégrer l’École normale William Ponty. Il devient en 1929 l’un des premiers instituteurs africains et exerce en Casamance, à Thiès, Louga, Dakar et Rufisque, où il occupe ensuite le poste de directeur d’école et d’inspecteur Primaire de 1959 à sa mort, en 1961. En 1932 il défie les autorités coloniales en devenant le deuxième bachelier sénégalais.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Abdoulaye Sadji se lance dans le combat pour l’indépendance de son pays et devient un des pionniers de la Négritude. Loin de la « Négritude du Quartier latin », il pratique la « Négritude intérieure », et c’est à ce titre que Léopold Sédar Senghor dit de lui :
« (…) Abdoulaye Sadji appartient, comme Birago Diop, au groupe des jeunes gens, qui, dans les années 1930, lança le mouvement de la Négritude. Abdoulaye Sadji n’a pas beaucoup théorisé sur la Négritude : il a fait mieux, il a agi par l’écriture. Il fut l’un des premiers jeunes Sénégalais, entre les deux guerres mondiales, à combattre la thèse de l’assimilation et la fausse élite des « évolués ». Il a, pour cela, multiplié, au-delà des discussions, articles et conférences. »


2- Bibliographie


Son œuvre compte entre autres des articles dans Présence africaine, Paris-Dakar et dans de nombreuses revues africaines. Il est également l’auteur d’essais et de contes tels que Tounka (1952), Modou Fatim (1960) ou encore Leuk-Le-Lièvre (1953), en collaboration avec Léopold Sédar Senghor (qui en assure la partie grammaticale). Ces ouvrages témoignent de son attachement et de son intérêt pour la culture africaine.
Ses ouvrages les plus connus et les plus étudiés demeurent Maimouna (1953) et Nini, mulâtresse du Sénégal (19542), deux romans qui relatent le parcours de jeunes femmes africaines qui, à l’image d’un continent en transition, connaissent espoir, doutes et désillusions. Dans ces deux ouvrages, Sadji se livre à une analyse sans complaisance de la société africaine. Il n’en est pas moins un ardent défenseur de son pays et de sa culture (notamment par la création de la première station radio en langue nationale). Cette culture, il la veut perméable et ouverte sur les autres civilisations. En témoignent sa germanophilie (inédite pour l’époque) et le syncrétisme religieux qu’il a ….

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Exposé complet sur l’amour scolaire et ses conséquences dans les Frasques d’ebinto d’Amadou Koné

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PLAN
INTRODUCTION
I- BIOGRAPHIE DE L’AUTEUR
II- BIBLIOGRAPHIE
III- RÉSUMÉ DE L’ŒUVRE
IV- ÉTUDE DES PERSONNAGES :
1- Personnages principaux :
2- Personnages secondaires :
V- ÉTUDE THEMATIQUE :
1- Thèmes principaux
2- Thèmes secondaires

CONCLUSION

INTRODUCTION

Les frasques d’Ebinto (Roman), Paris, Abidjan, Hatier et Ceda, 1978. Ce roman, l’un des plus célèbres en Afrique et dans le monde constitue en fait le second roman d’Amadou Koné. Commencé en 1967 au collège moderne de Grand-Bassam, il est achevé pendant que l’auteur termine le lycée classique d’Abidjan.
Roman d’adolescence, roman d’apprentissage, les Frasques d’Ebinto est l’Histoire d’un garçon doué d’une grande intelligence et aussi d’une grande sensibilité. Ebinto qui rêve d’une réussite éclatante dans la vie voit son rêve brisé après une aventure avec une jeune fille très douce mais qu’il croit ne pas aimer. Obliger d’abandonner ces études pour s’occuper d’une famille qu’il n’avait pas prévue sitôt, Ebinto se transforme en une espèce de monstre. Ce roman a obtenu un très grand succès. Il est au programme des lycées et collèges de la plupart des pays africains francophones.


I- BIOGRAPHIE DE L’AUTEUR
Fils de Dénbiè Soma (dit Mamadou Koné) et de KahouSirima (dite KaridiaKoulibali), Amadou Koné est né en mai 1953 dans le petit village de Tangora dans le cercle de Banfora, au Burkina Faso actuel.
C’est à Kongodjan, la plantation près d’Ayamé, qu’Amadou Koné grandit en compagnie de ses frères et sœurs1. Il commence ses études primaires en 1958, à l’École Primaire Publique d’Assouba (Aboisso). En 1964, il rentre au Collège Moderne de Grand-Bassam. Il obtient son Brevet d’Etudes du Premier Cycle en 1968. Amadou Koné développe son talent d’écrivain très jeune. Déjà en classe de quatrième, il écrit une pièce théâtrale qui retrace la résistance à la conquête coloniale en Afrique : Samory de Bissandougou. En troisième, il écrit un roman au sujet de la traite négrière : Kaméléfata ou les ennemis de la traite. Amadou Koné est surtout connu pour son oeuvre Les Frasques d’Ebinto, un roman dans lequel il présente un jeune lycéen brillant qui a dû abandonné les études pour assumer la paternité d’une grossesse. Il traite également de la sorcellerie dans Jusqu’au seuil de l’irréel. Après l’obtention de son baccalauréat, il poursuit ses études à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’Université d’Abidjan. Il continue dans l’écriture et obtient, en 1972, le quatrième prix du Concours Théâtral Inter-Africain2.
Depuis 1997, Amadou Koné enseigne la littérature, la culture et l’histoire africaines à l’université de Georgetown à Washington.


II- BIBLIOGRAPHIE

• Samory de Bissandougou. Théâtre (DAEC, 1970)
• Kaméléfata ou l’ennemi de la traite. Roman
• Les frasques d’Ebinto. Roman (CEDA, 1975)
• Sa sainteté le charlatan. Théâtre
• La foi et le pouvoir. Théâtre
• Jusqu’au seuil de l’irréel. Roman (NEA, 1976)
• Les confessions d’un sorcier. Roman
• De la chaire au trône. Théâtre
• Le respect des morts. Théâtre
• Téréti. Roman
• Nuits du passé. Contes
• La Force de vouloir. Roman écrit en collaboration avec Mary Lee Martin Koné (CEDA, 1978)
• Les Liens. Nouvelles (CEDA, 1980)
• Traites, sous le pouvoir des Blakoros, I. Récit (NEA, 1980)
• Courses, sous le pouvoir des Blakoros, II. Récit (NEA, 1982)
• Les Canaris sont vides. Théâtre (NEA , 1983)
• Les Canaris sont vides. (CEDA, 1985)
• Les Coupeurs de têtes. Roman (CEDA Sepia, 1999)
• Sigui, Siguila, Siguiya. Théâtre (Malaïka, 2006)
• L’Œuf du monde. Roman (NEI CEDA, 2010)

III- RESUME DE L’ŒUVRE
Les frasques d’Ebinto d’Amadou kone nous parle d’un jeune garçon EbintoMenzan et d’une jeune fille Monique. Ils sont deux adolescents qui ont passé leur enfance ensemble. Ils jouaient souvent ensemble comme un frère et une sœur. Ebinto ne l’avait jamais regardé comme une fille qu’il pouvait désirer. Pour des raisons…

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Exposé complet sur les pesanteurs sociales dans Une si longue lettre de Mariama Ba

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INTRODUCTION
I- ÉTUDE DE L’AUTEUR ET DE L’ŒUVRE
1- Auteur
– Bibliographie
2- Résumé de L’œuvre
II- ÉTUDE des personnages
1. Les personnages principaux
2. Les personnages secondaires :
III- ÉTUDE THEMATIQUE
1- Thème principal: Les pesanteurs sociales
2- Thèmes secondaires
IV- STYLE DE L’AUTEUR
CONCLUSION


INTRODUCTION
Dans une si longue lettre le thème de l’éducation occupe une place de choix et cela on ne s’aurait l’amputer au métier de l’auteur qui est à la fois enseignante et écrivaine. En effet l’acception globale de l’éducation montre quelle peut être conçue comme l’enseignement des règles de conduites, sociales et formation des facultés physiques, morales et intellectuelles qui président la formation de la personnalité de l’homme. Ainsi dans notre analyse, nous nous évertuerons de montrer à travers une si longue lettre que l’école, la famille et la société sont des lieux privilégiés de transmission des connaissances. Nonobstant les tares de cette société l’artiste doit porter son regard critique et constructif sur la transmission des valeurs sociétales sans lesquelles l’humanité serait en décadence.
I- ETUDE DE L’AUTEUR ET DE L’ŒUVRE
1- Auteur
– Biographie
L’auteur Mariama Bâ est né en 1929 au Sénégal. Ayant perdu sa mère, et son père étant ministre de la santé, elle est élevée par ses grands-parents dans un souci de strict respect de la religion musulmane traditionnelle. Ces grands parents sont aisés, son grand père est Lébou de Dakar. Ils possèdent même une grande mosquée. Mariée, divorcée, puis remariée, elle a été l’épouse du député Obeye Diop. Ces deux unions lui ont donné neuf enfants.

Au niveau de ces études, elle fait ces classes primaires à l’école des filles. Après avoir eu son certificat d’étude, généralement une jeune fille arrête l’école. Mais elle veut être secrétaire. Cependant, la directrice de l’école des filles la retire de la cour pour qu’elle s’inscrive à l’école Normale de Rufisque afin qu’elle devienne institutrice car elle sait que Mariama Bâ a d’énorme capacités intellectuelles. La directrice devra pourtant se battre contre la famille de la jeune fille pour qu’ils la laissent continuer ses études. Elle obtiendra son diplôme d’institutrice en 1947 et elle gardera de cette époque un immense lien avec la directrice de l’école Normale, Mme Legoff ainsi que toutes les jeunes filles qui passeront dans son école. Ainsi des années plus tard se crée l’amicale Germaine Legoff, une amicale composée de toutes les anciennes normaliennes pour que le nom de leur ancienne directrice soit donné à l’école, ce qui est accepté par les autorités Sénégalaises.

Au niveau professionnel, après avoir obtenu son diplôme elle fait ses premiers pas dans l’enseignement à l’école de Médine. Elle va enseigner pendant douze ans jusqu’au moment où elle tombe malade et qu’elle est affectée à l’inspection régionale fde l’enseignement du Sénégal.
Elle y travaille toujours quand elle publie son livre.
Au même moment, elle fait partie de plusieurs associations féministes comme Soroptimiste International, le Club de Dakar, et le Cercle Fémina. En effet Mariama Bâ…

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Exposé complet sur la Religion dans une si longue lettre de Mariama Ba

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INTRODUCTION
I- ÉTUDE DE L’AUTEUR ET DE L’ŒUVRE
1- Auteur
– Bibliographie
2- Résumé de L’œuvre
II- Études des personnages
1. Les personnages principaux
2. Les personnages secondaires :
III- ÉTUDE THEMATIQUE
1- Thème principal : La religion
2- Thèmes secondaires
IV- STYLE DE L’AUTEUR
CONCLUSION


INTRODUCTION
Dans une si longue lettre le thème de l’éducation occupe une place de choix et cela on ne s’aurait l’amputer au métier de l’auteur qui est à la fois enseignante et écrivaine. En effet l’acception globale de l’éducation montre quelle peut être conçue comme l’enseignement des règles de conduites, sociales et formation des facultés physiques, morales et intellectuelles qui président la formation de la personnalité de l’homme. Ainsi dans notre analyse, nous nous évertuerons de montrer à travers une si longue lettre que l’école, la famille et la société sont des lieux privilégiés de transmission des connaissances. Nonobstant les tares de cette société l’artiste doit porter son regard critique et constructif sur la transmission des valeurs sociétales sans lesquelles l’humanité serait en décadence.


I- ETUDE DE L’AUTEUR ET DE L’ŒUVRE
1- Auteur
– Biographie


L’auteur Mariama Bâ est né en 1929 au Sénégal. Ayant perdu sa mère, et son père étant ministre de la santé, elle est élevée par ses grands-parents dans un souci de strict respect de la religion musulmane traditionnelle. Ces grands parents sont aisés, son grand père est Lébou de Dakar. Ils possèdent même une grande mosquée. Mariée, divorcée, puis remariée, elle a été l’épouse du député Obeye Diop. Ces deux unions lui ont donné neuf enfants.

Au niveau de ces études, elle fait ces classes primaires à l’école des filles. Après avoir eu son certificat d’étude, généralement une jeune fille arrête l’école. Mais elle veut être secrétaire. Cependant….

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Exposé complet sur la condition de la femme dans Maimouna d’Abdoulaye Sadji

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PLAN
INTRODUCTION :
I- BIOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE DE L’AUTEUR
1- Biographie
2- Bibliographie
II- Résumé de l’œuvre
III- PRESENTATION DES PERSONNAGES
1) Les personnages principaux
2) Les personnages secondaires
IV- ANALYSE THEMATIQUE DE L’ŒUVRE
1. Le thème principal :
2. Les thèmes secondaires
V- LE CADRE SPATIO-TEMPOREL
1- L’espace
2- Le temps
VI- LE STYLE DE L’AUTEUR
CONCLUSION :

INTRODUCTION :
Maimouna est un roman écrit par un très grand auteur africain qui a su marqué son temps de par ses œuvres. En effet ABDOULAYE Sadji a appartenu au courant de la négritude mais a su poursuivre sa lutte jusqu’au bout mais de manière littéraire. . Assurément, Maimouna pure puis égarée, à l’innocence violée, est l’allégorie d’une Afrique en transition qui à la veille des indépendances se devait de se ressaisir. C’est le cas de l’histoire de la jeune innocente Maimouna, qui fait l’objet de notre étude aujourd’hui.


I- BIOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE DE L’AUTEUR


1- Biographie
Son père Demb Sadji, marabout, est originaire de Latminguè, un village sérère situé dans la région de Kaolack, et sa mère Oumy Diouf est issue d’une famille musulmane léboue ancrée dans la tradition animiste.
Après des études coraniques, il rejoint les bancs de l’école française à l’âge de onze ans, puis fréquente le Lycée Faidherbe avant d’intégrer l’École normale William Ponty. Il devient en 1929 l’un des premiers instituteurs africains et exerce en Casamance, à Thiès, Louga, Dakar et Rufisque, où il occupe ensuite le poste de directeur d’école et d’inspecteur Primaire de 1959 à sa mort, en 1961. En 1932 il défie les autorités coloniales en devenant le deuxième bachelier sénégalais.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Abdoulaye Sadji se lance dans le combat pour l’indépendance de son pays et devient un des pionniers de la Négritude. Loin de la « Négritude du Quartier latin », il pratique la « Négritude intérieure », et c’est à ce titre que Léopold Sédar Senghor dit de lui :
« (…) Abdoulaye Sadji appartient, comme Birago Diop, au groupe des jeunes gens, qui, dans les années 1930, lança le mouvement de la Négritude. Abdoulaye Sadji n’a pas beaucoup théorisé sur la Négritude : il a fait mieux, il a agi par l’écriture. Il fut l’un des premiers jeunes Sénégalais, entre les deux guerres mondiales, à combattre la thèse de l’assimilation et la fausse élite des « évolués ». Il a, pour cela, multiplié, au-delà des discussions, articles et conférences. »


2- Bibliographie


Son œuvre compte entre autres des articles dans Présence africaine, Paris-Dakar et dans de nombreuses revues africaines. Il est également l’auteur d’essais et de contes tels que Tounka (1952), Modou Fatim (1960) ou encore Leuk-Le-Lièvre (1953), en collaboration avec Léopold Sédar Senghor (qui en assure la partie grammaticale). Ces ouvrages témoignent de son attachement et de son intérêt pour la culture africaine.
Ses ouvrages les plus connus et les plus étudiés demeurent Maimouna (1953) et Nini, mulâtresse du Sénégal (19542), deux romans qui relatent le parcours de jeunes femmes africaines qui, à l’image d’un continent en transition, connaissent espoir, doutes et désillusions. Dans ces deux ouvrages, Sadji se livre à une analyse sans complaisance de …..

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