Exposé complet sur l’Empire du Gwiriko et du Kénédougou

NB: Les documents mis à disposition sur ce site sont des documents à exploiter, autrement dit des compléments pour parfaire votre travail. Ils ne sont pas faits pour être présentés à l’état.

Introduction

  1. Origine
  2. Situation géographique
  3. Organisation
  4. Organisation économique
  5. Organisation sociale
  6. Organisation religieux
  7. Evolution
  8. Apogée- Déclin
  9. L’apogée
  10. Le déclin
  11. LE ROYAUME DU KENEDOUGOU
  12. Origine
  13. Déclin

Conclusion

Introduction

L’empire Gwiriko est créé vers 18èsiècle dans la partie Ouest du Burkina Faso par un prince Dioula du nom de Famangan OUATTARA petit frère de Sékou OUATTARA fondateur du royaume de Kong en pays Senoufos dans le Nord de la côte d’Ivoire. Le Gwiriko était un royaume vassal de Kong. LE royaume avait pour objectifle contrôle des routes commerciales qui reliaient Kong au site du fleuve Niger.

  1. Origine du Royaume GWIRIKO

Les gens s’interrogent de plus en plus aujourd’hui sur la signification réelle du nom « Gwiriko »  Quelle est son origine ? Etait-ce vraiment le nom d’un royaume comme l’avait fait croire Dominique Traoré ? Quelle était l’étendue de ce royaume ? Ou s’agit-il simplement d’un mythe ?

Pour comprendre l’origine du nom Gwiriko, il faut remonter à l’expansion commerciale et politique de Kong au début du XVIIe siècle. Cetteexpansion commerciale est le fait des Jula dont les ancêtres, les Wangara, étaient en activité dans les savanes Ivoiriennes et Ghanéennes depuis au moins le XVe siècle et avaient fondé les cités marchandes de Boron (Côte d’Ivoire) et de Bégho (ghana). A la faveur du commerce atlantique, ces cités tombent en déclin, et leurs populations se dirigent vers Kong qu’elles transforment, avec d’autres marchands venus d’horizons divers, en une métropole commerciale.

  1. Situation géographique

Le « Gwiriko » vaste empire ensemble qui s’étend de la Comoé au Niger, passe, vers 1714, sous lautorité de Famanga Ouattara, conquérant venu du Kong, qui réalisa son unité.Banfora, Gaoua, Ouagaye et Safané étaient des marchés internationaux Bobo était la plus grande métropole de la boucle du Mouhoun.

  1. Organisation
  2. Organisation économique

L’utilisation de la terre guiri pour designer ces pays ne s’explique pas autrement. Au-delà de cedésert sur la route en direction de Dlenné se trouve à L’ouest de la falaise dans une région relativement populaire. Sya, la future Bobo-Dioulasso, d’où le nom de guiriko, qu’ils appliquèrent a cette contrée ou ils pouvaient…

Pour obtenir l’exposé complet contactez le  +226 56196345 (WhatsApp Uniquement)

google.com, pub-1512247895966591, DIRECT, f08c47fec0942fa0

Exposé complet sur l’Egypte Pharaonique

NB: Les documents mis à disposition sur ce site sont des documents à exploiter, autrement dit des compléments pour parfaire votre travail. Ils ne sont pas faits pour être présentés à l’état.

Introduction

A/ Histoire et Géographie

  1. Histoire

II- Géographie

B/ Héritage de l’Egypte Pharaonique

  1. Écriture

II- Sciences et technologies

III- Croyances religieuses

IV- Culture

V-Art égyptien

VI- Agriculture

VII- Le legs de l’Egypte pharaonique

Conclusion

Introduction

L’Égypte, en forme longue la République arabe d’Égypte, en arabe et GumhuriyyaMiṣr al-Arabiyya, est un pays d’Afrique du nord est situé sur la côte orientale de la Méditerranée : le bassin Levantin. La partie nord-est du pays constituée par la péninsule du Sinaï se situe cependant en Asie. Sa capitale est Le Caire (al-Qâhira,), sa langue officielle est l’arabe, sa langue parlée est l’égyptien (arabe dialectal) et le siwi, sa monnaie est l’égyptienne. Cependant elle demeure mondialement connue pour ses richesses archéologiques présentes dans de prestigieux musées internationaux, mais quels est l’héritage de l’Egypte pharaonique ? La présente question posée serait l’objet de notre travail à venir.

A/ Histoire et Géographie

I- Histoire

C’est vers le début du Néolithique que des tribus commencent à se rassembler dans la fertile vallée du Nil, pour aboutir à la constitution de deux royaumes politiquement distincts mais étroitement liés par une culture commune : la Haute-Égypte au sud, et la Basse-Égypte au nord (le Nil coule du sud vers le nord, d’où ces appellations). La tradition attribue au royaume du sud mené par Narmer l’unification du pays et l’établissement des premières institutions pharaoniques.

Le découpage de l’histoire de l’Égypte en grandes périodes et en trente et une dynasties est hérité du prêtre-historien Manéthon qui vivait dans l’Égypte du IIIe siècle avant notre ère, alors sous domination macédonienne. Les anciens Égyptiens ne faisaient pas cette distinction : pour eux la monarchie était continuelle.

  • Jusqu’au –XXXIe siècle : peuplement le long du Nil et période prédynastique. Progressivement se constituent deux royaumes rivaux : le Nord (Basse-Égypte) et le Sud (Hau8te-Égypte).
  • En -3100 : L’écriture hiéroglyphique naît en Égypte.
  • D’environ -3100 à -2650 : période thinite. Les rois du sud envahissent le delta du Nil et unifient le pays. Ils fondent laIre dynastie et s’établissent à Thinis, près d’Abydos.
  • De -2650 à -2150 : l’Ancien Empire, « âge d’or » de l’Égypte. Période très longue (environ 500 ans) où sont posées les bases de la civilisation égyptienne : arts, philosophie, religions, institutions politiques… C’est l’époque où l’on met en œuvre des chantiers gigantesques pour bâtir les premières pyramides.
  • De -2150 à -2060 : première période intermédiaire ; contestation de l’autorité royale et soulèvement des gouverneurs de province (nomarques). La crise politique aboutit à une guerre civile entre le nord et le sud. MontouhotepII finit par imposer la dynastie thébaine du sud.
  • De -2060 à -1785 : durant le Moyen Empire le pays retrouve une certaine sérénité propice à de nouveaux engagements militaires et à la floraison d’un art sobre et élégant. Règne des Senouseret (Sésostris) dont s’inspirera le célèbre « conte de Sinouhé ».
  • De -1785 à -1580 : Deuxième Période Intermédiaire ; peu à peu, un peuple d’envahisseurs venus de l’Est s’installe dans le delta du Nil pour finalement fonder son propre État. Bénéficiant d’une certaine avance technologique (ils introduisent les chevaux et le char de guerre), les Hyksôs occupent le nord, fondent leur propre dynastie et soumettent les provinces du sud.
  • De -1580 à -1085 : Nouvel Empire. Les efforts conjugués de trois rois thébains (SéqénenrêTaâ, Kamosé et Ahmôsis Ier) sont nécessaires pour chasser les Hyksôs hors d’Égypte. Le renouveau qui s’ensuit donne lieu à l’apogée de la puissance égyptienne. Son influence s’étend et sa culture rayonne jusqu’aux frontières de la Mésopotamie. Les arts deviennent extrêmement raffinés, les temples de Karnak et Louxor sont agrandis ; naissent ainsi les somptueuses tombes de la vallée des rois, les temples d’Abou SimbelXVIIIe et XIXe dynasties : les Amenhotep (Aménophis en grec), Thotmès (Thoutmôsis), Ramsès (de Ier à XI), ainsi qu’Hatchepsout, Akhénaton et Toutânkhamon

Vous avez fini de lire le contenu gratuit, pour télécharger la totalité de l’exposé il faut payer 3€ (2000 FCFA), taxes inclues. Vous pouvez payer par Mobile Money ou Carte bancaire en cliquant ici sur :


Un souci ? Contactez le service client au +226 56196345 (WhatsApp Uniquement)

google.com, pub-1512247895966591, DIRECT, f08c47fec0942fa0

Exposé complet sur les conquêtes et Résistances au Burkina Faso

NB: Les documents mis à disposition sur ce site sont des documents à exploiter, autrement dit des compléments pour parfaire votre travail. Ils ne sont pas faits pour être présentés à l’état.

INTRODUCTION

  1. LES PRINCIPAUX EXPLORATEURS DU BURKINA

II . LA SITUATION SOCIO-POLITIQUE DU BURKINA A LA VEILLE DE

LA PENETRATION COLONIALE

II .1. Dans l’Oubritenga

II .2. Dans le Gourma

II .3. Dans le Yatenga.

II . 4. A Tenkodogo

III . LA PENETRATION COLONIALE DU BURKINA

III .1 . La pénétration coloniale du Gulmu ou de l’Est.

III .2 . La pénétration coloniale du Mogho et le pays gourounsi

III .3 . La pénétration coloniale de l’Ouest

III .4 . La pénétration coloniale du Nord

IV . LES RESISTANCES

IV . 1 .Les résistances passives.

IV . 2 .Les résistances actives.

CONCLUSION

Introduction

Le début du XIX s marque le départ de l’impérialisme européen en Afrique. Le Burkina à l’instar des autres territoires africains suscite l’intérêt des européens. La pénétration colonialeest précédée d’une phase d’exploration dirigée par trois puissances de 1853 à 1894.

I.LES PRINCIPAUX EXPLORATEURS DU BURKINA

  • Heinrich Barth : c’est un docteur allemand, il est le premier européen à fouler le sol burkinabé en atteignant Dori en Juillet 1853. Il était membre d’un ordre humanitariste dirigé par un anti- esclavagiste.
  • Le docteur Krause. Parti d’Accra (Ghana) le 12 Mai 1886 , dans le cadre d’une mission scientifique , il arrive à Ouagadougou le 24 Septembre 1886. Il est le premier européen à pénétrer dans la capitale du Mogho.
  • Louis Gustave Binger : c’est un officier français chargé d’étudier les possibilités de rattachement des des territoires français de la boucle de la Côte d’Ivoire à ceux de l’intérieur et préparer des négociations politiques et commerciales, la prise de possession effective de la sphère. Parti de Bamako (Mali) le 30 juin 1887,il atteint Bobo le 25 Avril 1888 puis Ouagadougou où il est reçu par Naba Sanem qui l’interdira de continuer vers le Nord. Il laissa d’importants renseignements sur les peuples du Burkina.
  • Kurt Von François: cet explorateur allemand signa un traité avec le Mampursi , traversa le pays bissa , mais il fut interdit par Naba Sanem d’entrer à Ouagadougou.
  • Le lieutenant Spitzer : il avait pour mission de signer un traité avec le Mogho et le Yatenga, mais il fut contraint de rebrousser chemin à partir de Fio par le chef Amadou Abdoul Balobo.
  • Crozat , il était chargé de signer un traité avec le Mogho pour la France. Parti de Sikasso (Mali) en Août 1890, il est reçu par le MoghoNaba le 21 Septembre 1890 mais il n’obtient par la signature du traité.
  • Monteil , sa mission fut un échec car il n’est pas reçu par l’empereur qui lui intime l’ordre de quitter son territoire le 28 Avril 1891
  • George Eykem Fergusson, ce métis afro britannique venait saluer le MoghoNaba au nom de la Reine Victoria d’Angleterre. il réussit à signer un traité d’amitié et de libre commerce . En retour le MoghoNaba s’engage à n’accepter aucun autre traité sans le consentement des anglais. Pour les français ce traité est usurpé, il est donc nul et non avenu.

A partir de 1895, la compétition devient âpre. Les allemands déléguèrent Gruner, Von Karnap et Von Zech; les anglais envoyèrent Lugard, les français dépêchèrent Alby, Decoeur, Baud, et surtout le capitaine Destenaves aidé des lieutenants Voulet, Margaine,Gaden.

II . LA SITUATION SOCIO-POLITIQUE DU BURKINA A LA VEILLE DE LA PENETRATION COLONIALE

A l’intérieur le territoire était miné par de nombreuses crises et guerres civiles.

II .1. Dans l’Oubritenga Le MoghoNabaWobgo était en lutte contre un tout petit vassal, le chef de canton de Lallé. Incapable de s’imposer et…

Pour obtenir l’exposé complet contactez le  +226 56196345 (WhatsApp Uniquement)

google.com, pub-1512247895966591, DIRECT, f08c47fec0942fa0

Exposé complet sur la conquête coloniale du Burkina Faso

NB: Les documents mis à disposition sur ce site sont des documents à exploiter, autrement dit des compléments pour parfaire votre travail. Ils ne sont pas faits pour être présentés à l’état.

PLAN

INTRODUCTION

  1. LES PRINCIPAUX EXPLORATEURS DU BURKINA

II . LA SITUATION SOCIO-POLITIQUE DU BURKINA A LA VEILLE DE

LA PENETRATION COLONIALE

II .1. Dans l’Oubritenga

II .2. Dans le Gourma

II .3. Dans le Yatenga.

II . 4. A Tenkodogo

III . LA PENETRATION COLONIALE DU BURKINA

III .1 . La pénétration coloniale du Gulmu ou de l’Est.

III .2 . La pénétration coloniale du Mogho et le pays gourounsi

III .3 . La pénétration coloniale de l’Ouest

III .4 . La pénétration coloniale du Nord

IV . LES RESISTANCES

IV . 1 .Les résistances passives.

IV . 2 .Les résistances actives.

CONCLUSION

Introduction

Le début du XIX s marque le départ de l’impérialisme européen en Afrique. Le Burkina à l’instar des autres territoires africains suscite l’intérêt des européens. La pénétration colonialeest précédée d’une phase d’exploration dirigée par trois puissances de 1853 à 1894.

I.LES PRINCIPAUX EXPLORATEURS DU BURKINA

  • Heinrich Barth : c’est un docteur allemand, il est le premier européen à fouler le sol burkinabé en atteignant Dori en Juillet 1853. Il était membre d’un ordre humanitariste dirigé par un anti- esclavagiste.
  • Le docteur Krause. Parti d’Accra (Ghana) le 12 Mai 1886 , dans le cadre d’une mission scientifique , il arrive à Ouagadougou le 24 Septembre 1886. Il est le premier européen à pénétrer dans la capitale du Mogho.
  • Louis Gustave Binger : c’est un officier français chargé d’étudier les possibilités de rattachement des des territoires français de la boucle de la Côte d’Ivoire à ceux de l’intérieur et préparer des négociations politiques et commerciales, la prise de possession effective de la sphère. Parti de Bamako (Mali) le 30 juin 1887,il atteint Bobo le 25 Avril 1888 puis Ouagadougou où il est reçu par Naba Sanem qui l’interdira de continuer vers le Nord. Il laissa d’importants renseignements sur les peuples du Burkina.
  • Kurt Von François: cet explorateur allemand signa un traité avec le Mampursi , traversa le pays bissa , mais il fut interdit par Naba Sanem d’entrer à Ouagadougou.
  • Le lieutenant Spitzer : il avait pour mission de signer un traité avec le Mogho et le Yatenga, mais il fut contraint de rebrousser chemin à partir de Fio par le chef Amadou Abdoul Balobo.
  • Crozat , il était chargé de signer un traité avec le Mogho pour la France. Parti de Sikasso (Mali) en Août 1890, il est reçu par le MoghoNaba le 21 Septembre 1890 mais il n’obtient par la signature du traité.
  • Monteil , sa mission fut un échec car il n’est pas reçu par l’empereur qui lui intime l’ordre de quitter son territoire le 28 Avril 1891
  • George Eykem Fergusson, ce métis afro britannique venait saluer le MoghoNaba au nom de la Reine Victoria d’Angleterre. il réussit à signer un traité d’amitié et de libre commerce . En retour le MoghoNaba s’engage à n’accepter aucun autre traité sans le consentement des anglais. Pour les français ce traité est usurpé, il est donc nul et non avenu.

A partir de 1895, la compétition devient âpre. Les allemands déléguèrent Gruner, Von Karnap et Von Zech; les anglais envoyèrent Lugard, les français dépêchèrent Alby, Decoeur, Baud, et surtout le capitaine Destenaves aidé des lieutenants Voulet, Margaine,Gaden.

II . LA SITUATION SOCIO-POLITIQUE DU BURKINA A LA VEILLE DE LA PENETRATION COLONIALE

A l’intérieur le territoire était miné par de nombreuses crises et guerres civiles.

II .1. Dans l’Oubritenga Le MoghoNabaWobgo était en lutte contre un tout petit vassal, le chef de canton de Lallé. Incapable de s’imposer et…

Pour obtenir l’exposé complet coontactez  le +226 56196345 (WhatsApp Uniquement)

google.com, pub-1512247895966591, DIRECT, f08c47fec0942fa0

Exposé complet sur les relations internationnales de 1931 à 1936

NB: Les documents mis à disposition sur ce site sont des documents à exploiter, autrement dit des compléments pour parfaire votre travail. Ils ne sont pas faits pour être présentés à l’état.

PLAN

I-INTRODUCTIONLES CRISES DE 1931 A 1933

1-Une crise économique qui bouleverse tout l’équilibre

2-La conférence sur le désarmement

3-L’arrivée d’Hitler au pouvoir

II-LES CRISES DE 1933 A 1936

1-Crise politique en France

2-1934, une dictature totalitaire et la remilitarisation de la Rhénanie

3-Les problèmes en Asie

CONCLUSION

 

 

INTRODUCTION

La France, puissance victorieuse est le pays le plus touché par la guerre 1914-18. Elle en sort dévastée, appauvrie, endettée. Il faut reconstruire le pays et retrouver la prospérité perdue. Dans les années 1930, la France doit faire face à la crise économique. La période de l’entre deux guerres voit l’alternance au pouvoir des partis de droite et de gauche. Ainsi, entre 1931 et 1939, les régimes ultra-nationalistes sont de plus en plus nombreux et ce que l’on appelle « fascisme » se transforme, en quelque sorte, en un nouveau mot d’ordre. Au cours de notre exposé nous allons nous intéresser a la période 1931-1936.

I-LES CRISES DE 1931 A 1933

1-Une crise économique qui bouleverse tout l’équilibre

2-La conférence sur le désarmement

3-L’arrivée d’Hitler au pouvoir

II-LES CRISES DE 1933 A 1936

1-Crise politique en France

2-1934, une dictature totalitaire et la remilitarisation de la Rhénanie

3-Les problèmes en Asie

CONCLUSION

Au sortir de la Première Guerre mondiale, l’avenir du XXe siècle est donc scellé : ou bien parce que chez les uns la Première Guerre mondiale fait naître une aspiration à la paix universelle que seul permettrait l’avènement du communisme ; ou bien parce que chez les autres elle fait naître un désir de revanche guerrière qu’assouvirait seul l’avènement du fascisme. Dans les deux cas, communisme ou fascisme, la brutalisation des mœurs à laquelle a donné lieu la Grande Guerre enfante dans son sillage deux illusions meurtrières qui vont coûter très cher aux hommes du XXe siècle.

Pour obtenir l’exposé complet coontactez  le +226 56196345 (WhatsApp Uniquement)

google.com, pub-1512247895966591, DIRECT, f08c47fec0942fa0

Exposé complet sur le Royaume d’éthiopie

Plan

INTRODUCTION

I- L’histoire d’Ethiopie

1- Quelques souverainetés éthiopiennes

2- Langue parlée et littérature

3- Peuple éthiopien

4- Les monnaies de royautés

II-Religions éthiopiennes

1-Le christianisme

2-L’Islam

3-Judaïsme

III-Art et culture

Conclusion

Plan

INTRODUCTION

Le nom d’Ethiopie fut donné par les anciens Grecs aux pays du Sud, c’est-à-dire. De façon assez vague à tous ceux de l’Afrique; le mot d’Ethiopiens signifiait en grec quelque chose comme hommes brûlés par le soleil (aithô = brûler, ops = visage). Il se localisa pour désigner spécialement les populations du Sud de l’Egypte, du bassin supérieur du Nil, habitant entre le Sahara(Libye) et la mer Rouge (golfe Arabique). Tandis qu’Homère appelle les Ethiopiens les plus éloignés des habitants de la Terre, résidant depuis l’extrême Orient jusqu’aux régions du couchant, Hérodote applique ce nom aux gens du haut Nil. Mais quelles sont les civilisations du royaume d’Ethiopie ?

I-L’histoire d’Ethiopie

1-Quelques souverainetés éthiopiennes

2-Langue parlée et littérature

3-Peuple éthiopien

4-Les monnaies de royautés

II-Religions éthiopiennes

1-Le christianisme

2-L’Islam

3-Judaïsme

III-Art et culture

Conclusion

En sommes disons que le royaume d’Ethiopie connait une hiérarchie plus noble avec la succession de plusieurs rois. On compte également différentes religions avec le christianisme comme principal religion, l’Islam et le Judaïsme.

Pour obtenir l’exposé complet coontactez  le +226 56196345 (WhatsApp Uniquement)