Exposé complet sur le Coronavirus (origine, symptomes, traitement)

NB: Les documents mis à disposition sur ce site sont des documents à exploiter, autrement dit des compléments pour parfaire votre travail. Ils ne sont pas faits pour être présentés à l’état.

PLAN

INTRODUCTION

  1. ORIGINE DU CORONAVIRUS
  2. CARACTERISTIQUES DU CORONA
  3. MODE DE TRANSMISION
  4. SYMPTOMES ET EVOLUTION DE LA MALADIE
  5. Symptômes
  6. Evolution
  7. PREVENTION ET TRAITEMENT DE LA MALADIE
  8. Prévention
  9. Traitement de la maladie

Conclusion

INTRODUCTION

Les coronavirus constituent une famille de virus dont certains peuvent infecter les humains, entraînant le plus souvent des symptômes bénins de type rhume. Néanmoins, trois épidémies mortelles sont déjà survenues au 21e siècle, dont celle en cours. Elles impliquent des coronavirus émergents, hébergés par des animaux et soudain transmis à l’homme : les SRAS-CoV et le MERS-CoV.

Alors que l’épidémie liée au coronavirus SARS-CoV-2 s’est propagée dans le monde, la recherche se mobilise pour accélérer la production des connaissances sur ce virus, sur la maladie qu’elle provoque (Covid-19) ainsi que les moyens de la guérir et de la prévenir.

  1. ORIGINE DU CORONAVIRUS

Les coronavirus sont des  virus à ARN enveloppé appartenant à la famille des Coronaviridae, genre betacoronavirus. Chez l’homme, 4 espèces de coronavirus étaient habituellement connues (229E, NL63, OC43, et HKU1) : elles circulent habituellement chez l’homme de façon saisonnière, mais elles sont essentiellement responsables de rhumes (10 à 15% des cas dans le monde) et de pathologies respiratoires bénignes.

  1. CARACTERISTIQUES DU CORONA

Le taux de mortalité du nouveau virus fluctue en moyenne autour de 1%, supérieur à celui d’une grippe saisonnière (entre 0,1% et 0,3%) mais loin des 9,6 % du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-1), qui a tué 774 personnes en 2002-2003, et très loin des plus de 30% du coronavirus du Mers (selon le Journal of Medical Virology).

Ce nouveau virus (SARS-CoV-2) est en revanche plus contagieux que ce que les premières données indiquaient début janvier. La contagiosité du virus (ou taux de reproduction de base – R0) est estimée en moyenne entre 2,2 et 2,68 (NB : ce taux est variable en fonction de facteurs spatio temporels), ce qui signifie qu’en moyenne, chaque personne malade va infecter entre 2.2 et 2.68 nouvelles personnes. Pour comparaison, le SARS-CoV-1 avait une contagiosité estimée entre 2 et 5 (NB : la grippe est à 1,3, la varicelle est à 8,5 et la rougeole à 9). Mais surtout, ce qui fait la différence entre les deux SARS-CoV, c’est que le 1 ne donnait que des formes cliniques sévères (et donc repérables) et que les patients infectés n’étaient contagieux que 3 jours après l’apparition des signes cliniques (laissant donc le temps de mettre en place des mesures d’isolement), ce qui n’est pas du tout le cas pour le 2 (voir ci après).

La période d’incubation pour le SARS-CoV-2, c’est-à-dire le délai entre l’infection et l’apparition des symptômes, n’est pas précisément connue mais varierait de 2 à 14 jours avec une durée moyenne de 5.2 jours et un 95e percentile à 12.5 jours (NB : Selon une étude chinoise sur les mille premiers malades hospitalisés à Wuhan, la durée d’incubation se situerait entre 0 et 24 jours avec une médiane de 3 jours et selon une étude réalisée sur 181 cas d’infection confirmée par le SRAS-CoV-2 détectés à l’extérieur de la province du Hubei avant le 24 février 2020, elle serait de 4 à 4,9 jours, semblable à celle du SRAS : 5 jours). Le  temps de doublement de l’épidémie serait de 6,4 à 7,5 jours (Sources : ProMED-Mail, ECDC, CDC, OMS).

La période de contagiosité n’est pas encore bien définie et il est possible qu’une personne puisse être contagieuse au moins 24h avant l’apparition des symptômes.

Il se déroule en moyenne 5 à 8 jours entre l’infection par le virus et la possibilité de le transmettre à un tiers, que l’on développe des symptômes ou non. Le risque de transmission est maximal à l’apparition de ces symptômes (lorsqu’on en a), mais il débute en moyenne 2 à 3 jours avant. Ce risque diminue ensuite progressivement à partir du 7e jour suivant l’apparition des symptômes. Il devient limité au-delà de 10 jours et exceptionnel après 14 jours. Attention, ces durées ne sont que des moyennes et peuvent varier selon la lignée du virus considéré : globalement, plus les symptômes sont sévères et persistent, plus la possibilité de transmettre le virus se prolonge

  1. MODE DE TRANSMISION

Le SARS-CoV-2 se transmet depuis une personne infectée vers une personne non infectée par deux voies principales :

  • le contact direct avec la personne infectée ou une surface qu’elle a contaminée ;
  • la transmission aérienne (ou aéroportée) du virus via des gouttelettes ou un aérosol émis par la personne infectée

Des gouttelettes (1 µm à 1 mm) sont émises par notre bouche et notre nez lorsque nous parlons, crions, chantons, toussons ou éternuons. Les aérosols correspondent quant à eux à des suspensions de particules plus petites (quelques nanomètres à 100 µm), à l’image de la vapeur produite par notre respiration par temps froid. Il existe en réalité un continuum entre gouttelettes et aérosol qui, dans la pratique, rend artificielle la distinction entre ces deux modes de vectorisation du virus.

Concrètement, en l’absence de masque, une personne infectée émet des gouttelettes chargées de virus, dont les plus grosses se déposent par gravité sur les surfaces à proximité immédiate. Une personne saine peut alors s’infecter en touchant la zone contaminée avec les mains puis en les portant à sa bouche, son nez ou ses yeux. Le virus peut persister plusieurs heures sur une surface inerte contaminée. La durée de sa persistance varie selon la nature de la surface, les conditions de température, d’humidité et de luminosité environnantes.

Mais ce n’est pas tout : plus le diamètre des gouttelettes émises par la personne infectée est faible, plus ces gouttelettes peuvent être entraînées à distance par l’air ambiant, et y rester en suspension. Le virus peut ainsi s’accumuler dans l’air intérieur d’un local mal ventilé et conduire à sa transmission aéroportée

Le virus est rarement présent dans le sang, le sperme, les sécrétions vaginales, les urines ou les selles. En réalité, cette situation concernerait essentiellement des personnes qui ont développé une forme grave de la maladie. Quoi qu’il en soit, aucun cas de transmission par ces différentes voies n’a été rapporté. Par ailleurs, les cas de transmission intra-utérine (au cours d’une grossesse, voir plus loin) sont exceptionnels et le virus n’a pas été identifié dans le lait maternel.

  1. SYMPTOMES ET EVOLUTION DE LA MALADIE
  2. Symptômes

La façon dont se manifeste la Covid-19 est très hétérogène et une part non négligeable des personnes qui sont infectées ne développent pas de symptômes. Il est difficile d’évaluer exactement cette proportion, puisque, par définition, aucun signe clinique ne permet de les identifier. Néanmoins…..

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Exposé complet sur le commerce mondial

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PLAN

INTRODUCTION

I-LE LES MECANISMES DU COMMERCE MONDIAL

1-importation

2-exportations et balance commercial

a-importation

b-exportation

c-balance commercial

3-le rôle des bourses de valeur et des bourse de commerce

a-Bourse de valeur

b-bourse de commerce

4-le commerce équitable

II-POLITIQUE COMMERCIAL A L’ECHELLE MONDIALE

1-le libre échange

2-le protectionnisme

3-le rôle l’OMC

4-l’Entente douanière

III-LA PLACE DE L’AFRIQUE ET DU BURKINA FASO DANS LE COMMERCE MONDIAL

1-place de l’Afrique et du Burkina Faso

2-difficultés commerciales

3-politique de développement

4-perspective

CONCLUSION

INTRODUCTION

Le commerce international est l’échange de biens, de services entre pays. Ce type de commerce existe depuis des siècles (cf. route de la soie), mais il connaît un nouvel essor du fait de la mondialisation économique.

La théorie du commerce international est la branche de l’économie qui étudie et modélise le commerce international.

Par ailleurs, il existe un « droit des opérations de commerce international », formalisé notamment par les incoterms de la Chambre de commerce internationale.

I-LE LES MECANISMES DU COMMERCE MONDIAL

1-importation

L’importation c’est l’action d’acheter à un pays étranger des matières premières ou des biens de consommation et de les faire pénétrer dans le territoire national. Une importation est une entrée dans un pays de biens ou services provenant d’un autre pays.

2-exportations et balance commercial

a-importation

L’importation possède des avantages pour le consommateur (plus grand choix de produits, meilleure concurrence sur les prix) et un aiguillon de compétitivité pour les producteurs. Du fait de la mondialisation économique, les deux flux sont souvent liés (par exemple, importation de matières et composants et réexportation de produits finis) : les ressources obtenues par les producteurs d’un pays en vendant avec succès dans un autre seront a priori utilisées à quelque chose par la suite.

b-exportation

L’exportation est l’action de vendre à l’étranger une partie de la production de biens ou de services d’un ensemble économique, pays ou région. C’est un terme miroir de celui…

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Exposé complet sur l’alcool et la drogue en milieu scolaire(causes conséquences solutions)

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Introduction

            I) L’alcool

  1. Définition
  2. Origine
  3. Cause
  4. Conséquence
  5. Lutte contre l’alcool

II) La drogue

  1. Définition
  2. Origine
  3. Cause
  4. Conséquence
  5. Lutte contre la drogue

                                               Conclusion

Introduction Dans les années 1970, la consommation problématique (Alcool ; Tabac ; Drogue) explose dans les pays occidentaux pour devenir un problème de santé publique alors que dans le même temps se met en place une réglementation internationale. La toxicomanie est considérée comme un phénomène de société ayant des conséquences sur l’individu et sur la société en général. Le toxicomane de l’époque était alors…

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Exposé complet sur l’aide au developpement (enjeux et procédés)

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INTRODUCTION

  1. AIDE BILATERALE
  2. Définition de l’aide bilatérale
  3. Mes formes d’aide bilatérale
  4. Les pays bénéficiaires
  5. AIDE MULTILATERAL
  6. Définition
  7. Formes
  8. Pays bénéficiaires de l’aide multilatéral

LE ROLE DES INSTITUTIONS INTERNATIONALES (BM

  1. /FMI)
  2. Banque mondiale
  3. Fond monétaire international
  4. ONGs

CONCLUSION

INTRODUCTION

L’aide au développement désigne une action volontaire par un acteur extérieur pour impulser le développement d’un pays tiers (pays en développement). Les conceptions du développement sont nombreuses, les différentes formes de l’aide le sont tout autant.

Vers la fin des années 1960, sur la base d’études avérées les Nations Unies ont adoptées (1969) une résolution invitant les pays développés à consacrer 0,7% de leur PNB à l’aide au développement. Ceci avec l’espoir d’insuffler une dynamique de développement dans les pays bénéficiaires. Cette disposition n’a pu être respectée à ce jour que par quelques pays nordiques (Danemark, Finlande, Norvège et Suède). 

  1. AIDE BILATERALE
  2. Définition de l’aide bilatérale

Aide qu’un état accorde à un autre état. Si cette aide est apportée sous conditions, il s’agit d’une aide bilatérale liée, si elle n’est pas soumise à conditions, c’est une aide bilatérale non liée. Dans ce dernier cas, on parle également d’aide désintéressée.

  • Mes formes d’aide bilatérale

Il apparaît, en fait, que sur le terrain même du développement, il n’existe pas de véritable opposition entre ces deux formes de l’aide : elles marchent véritablement, et depuis longtemps déjà, de concert. Il ne convient certainement pas de les opposer dans une relation qui verrait inéluctablement les Etats transférer leurs efforts financiers du bilatéral ou multilatéral. Pour un Etat donateur, il ne suffit jamais de mobiliser des financements conséquents en faveur des programmes multilatéraux : encore faut-il aussi pouvoir influencer la manière dont ces programmes vont être instruits, conçus et surtout mis en œuvre.

  • Les pays bénéficiaires

L’aide bilatérale a baissé depuis 1994, en passant de 985 millions de francs en 1994 à 895 millions de francs en 1996 et 841 millions de francs en 1997. Les bases de travail pour orienter la coopération bilatérale relevant de la DDC sont les papiers de réflexion stratégiques par thèmes ou secteurs (politique de promotion de l’artisanat et de l’industrie, ou développement urbain par exemple), les programmes par pays (PPP, programmes sur cinq ans établis par la DDC et l’OFAEE) et les programmes annuels.  Il concerne entre autres : Mozambique, Niger, Tanzanie, Tchad ; Amérique latine : Bolivie, Nicaragua, le Burkina Faso, la Cote d’Ivoire, le Benin, etc.

  1. AIDE MULTILATERAL
  2. Définition

Aide accordée par un pays développé à un pays en voie de développement, par l’intermédiaire d’organismes internationaux ou de…

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Exposé complet sur la sexualité irresponsable

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INTRODUCTION

  1. SEXUALITE RESPONSABLE ET IRRESPONSABLE
  2. Définition
  3. Définition de la sexualité responsable
  4. Définition de la sexualité irresponsable
  5. Causes de la sexualité irresponsable
  6. Sujet Tabou.
  7. La Modernité.
  8. La Société.
  9. Les Medias et Internet.
  10. La pauvreté.
  11. Conséquences de la sexualité irresponsable
  12. Les grossesses précoces.
  13. Rupture du cursus scolaire et chômage
  14. Les maladies sexuellement transmissibles (MST) :
  15. AVORTEMENT
  16. Définition
  17. Causes
  18. Conséquences
  19. METHODE POUR UNE SEXUALITE RESPONSABLE

CONCLUSION

Introduction

L’éducation sexuelle des jeunes demeure un sujet tabou dans nos sociétés. En Afrique, la sexualité reste toujours la chasse gardée des hommes et des femmes « mûrs », malgré les multiples campagnes de sensibilisation visant à amener certains parents à comprendre que les choses ont beaucoup évolué. Le débat est beaucoup plus sérieux dans les contrées les plus reculées où les sujets liés au sexe sont l’apanage des personnes âgées. Bref, on ne parle pas du sexe à l’enfant.

  1. SEXUALITE RESPONSABLE ET IRRESPONSABLE
  2. Définition
  3. Définition de la sexualité responsable

« Avoir une sexualité responsable, c’est pouvoir être acteur de sa vie, ne pas subir, et pour cela, se connaître pour mieux s’aimer et aimer l’autre ; savoir anticiper. Prendre le temps. Avant d’avoir une relation sexuelle, c’est se demander : « suis-je prêt(e)? Et l’autre ? Qu’est-ce que j’engage dans cette relation ? », et réfléchir aux enjeux tant sur le plan affectif que physique avec les risques liés aux IST, ou à une grossesse. L’information technique est là, mais c’est souvent la réflexion qui manque ».

  • Définition de la sexualité irresponsable

La notion de sexualité irresponsable désigne l’ensemble des comportements sexuels induisant une prise de risque pour la santé (individuelle ou publique) ; que la prise de risque soit « délibérée » et « consciente » ou non.

  • Causes de la sexualité irresponsable

Plusieurs raisons expliquent un tel phénomène, mais les essentielles sont :

  1.  Sujet Tabou.

 «Le sexe chez les adolescentes est encore considéré comme un sujet tabou et très peu de personnes en parlent. Il devrait y avoir plus de discussions sur le sujet. Les programmes d’éducation sexuelle devraient aussi être renforcés et soutenus dans les écoles secondaires.»Les jeunes garçons quant à eux grandissent trop vite sexuellement. Il est difficile, voire quasiment rare, de voir des parents éduquer sexuellement leurs enfants, leur parler de la sexualité, de ce qu’elle représente, de ses contours, mais surtout…

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Exposé complet sur la sexualité juvénile (causes conséquences solutions)

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INTRODUCTION

I.            LE PHENOMENE DE LA SEXUALITE JUVENILE 

II.         CAUSES DE LA SEXUALITE JUVENILE

1)   Sujet Tabou.

La Modernité

2)   La Société.

3)   Les Medias et Internet.

4)   La pauvreté.

III.      CONSEQUENCES DE LA SEXUALITE JUVENILE

1)   Les grossesses précoces.

2)   Rupture du cursus scolaire et chômage

3)   Les maladies sexuellement transmissibles (MST) :

IV.       SOLUTIONS POUR LUTTER CONTRE LA SEXUALITE JUVENILE

CONCLUSION

INTRODUCTION

L’éducation sexuelle des jeunes demeure un sujet tabou dans nos sociétés. En Afrique, la sexualité reste toujours la chasse gardée des hommes et des femmes « mûrs », malgré les multiples campagnes de sensibilisation visant à amener certains parents à comprendre que les choses ont beaucoup évolué. Le débat est beaucoup plus sérieux dans les contrées les plus reculées où les sujets liés au sexe sont l’apanage des personnes âgées. Bref, on ne parle pas du sexe à l’enfant.

I.            LE PHENOMENE DE LA SEXUALITE JUVENILE 

L’âge moyen du premier rapport sexuel change de pays en pays, de continent en continent, en correspondance avec le contexte social. Certains facteurs tels que les pratiques coutumières comme par exemple les mariages d’enfant (ou mariages précoces), le tourisme sexuel, ou encore la prévalence des viols jouent un rôle déterminant dans la vie sexuelle des adolescents. « Les filles écolières deviennent quasi-totalité prostituées [sic] ». Cette allégation, formulée par un journal musulman soudanais en 1957, témoigne des violentes réactions suscitées par la scolarisation des filles en Afrique occidentale française (AOF). L’assimilation de l’école à un lieu de débauche sexuelle pour les jeunes filles n’était certes pas un phénomène nouveau à la fin des années 1950. Dès l’origine, de telles rumeurs ont accompagné la politique scolaire initiée par l’administration coloniale dans l’entre-deux-guerres. La romancière sénégalaise Mariama Bâ se souvient ainsi que, dans les années 1940, l’école était accusée de transformer « les filles en diablesses qui détournent les hommes du droit chemin » ; et l’historienne Pascale Barthélémy rapporte le conseil formulé par une mère dahoméenne à sa fille en partance pour l’école normale de Rufisque (Sénégal) : « Amélie il faut toujours porter ta culotte hein ! ! ». 

II.         CAUSES DE LA SEXUALITE JUVENILE

Plusieurs raisons expliquent un tel phénomène, mais les essentielles sont :

1)   Sujet Tabou. «Le sexe chez les adolescentes est encore considéré comme un sujet tabou et très peu de personnes en parlent. Il devrait y avoir plus de discussions sur le sujet. Les programmes d’éducation sexuelle devraient aussi être renforcés et soutenus dans les écoles secondaires.»Les jeunes garçons quant à eux grandissent trop vite sexuellement. Il est difficile, voire quasiment rare, de voir des parents éduquer sexuellement leurs enfants, leur parler de la sexualité, de ce qu’elle représente, de…

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Exposé complet sur la problématique des produits énergetiques dans le monde et au Burkina

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PLAN

INTRODUCTION

  1. LES ZONES DE PRODUCTION ET DE CONSOMMATION DES PRODUITSENERGETIQUES
  2. Le pétrole
  3. Définition
  4. Zones de production
  5. Consommation
  6. Gaz naturels
  7. Définition
  8. Production
  9. France 
  10. Pays-Bas 
  11. Norvège 
  12. En Belgique 
  13. Consommation
  14. L’uranium
  15. Définition
  16. Production
  17. La consommation
  18. LES PRODUITS ENERGETIQUES DANS LA GEOPOLITIQUE MONDIALE
  19. LES PROBLEMES ENERGETIQUES DU BURKINA FASO

CONCLUSION

INTRODUCTION

L’énergie est un secteur de première importance pour l’économie. Il comprend la production, le transport, la transformation, la distribution et la commercialisation des diverses sources d’énergie. La production d’énergie primaire est suivie par sa transformation éventuelle en énergie secondaire : production de produits pétrolierspar raffinageproduction d’électricité et de gaz.

  1. LES ZONES DE PRODUCTION ET DE CONSOMMATION DES PRODUITSENERGETIQUES
  1. Le pétrole
  2. Définition

Le pétrole (en latin petroleum, du grec petra, « roche », et du latin oleum, « huile ») est une roche liquide d’origine naturelle, une huile minérale composée d’une multitude de composés organiques, essentiellement des hydrocarbures, piégée dans des formations géologiques particulières. L’exploitation de cette source d’énergie fossile et d’hydrocarbures est l’un des piliers de l’économie industrielle contemporaine, car le pétrole fournit la quasi-totalité des carburants liquides — fioulgazolekérosèneessence,  — tandis que le naphta produit par le raffinage est à la base de la pétrochimie, dont sont issus un très grand nombre de matériaux usuels — plastiquestextiles synthétiquescaoutchoucs synthétiques (élastomères), détergentsadhésifsengraiscosmétiques, etc. — et que les fractions les plus lourdes conduisent aux bitumesparaffines et lubrifiants.

  • Zones de production

Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), les États-Unis vont battre en 2018 leur record de production de brut qui datait de 1970, devenant le deuxième producteur d’or noir derrière la Russie et passant devant l’Arabie saoudite, reléguée au troisième rang. La Russie restera à la première place mais les États-Unis pourraient la rattraper dès 2019 ou 2020 si la tendance se poursuit. Si l’on ajoute au pétrole brut les liquides de gaz naturel, les États-Unis étaient déjà numéro un mondial, devant l’Arabie saoudite et la…

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Exposé complet sur la médécine traditionnelle

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Plan de travail

INTRODUCTION

I. DÉFINITION ET HISTOIRE

II. AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS

A. AVANTAGES et importance

1. Avantage

2. Importance

III. LIMITES ET SOLUTIONS

1. LIMITES

2. SOLUTIONS

IV. CERTAINES PLANTES MÉDICINALES

Conclusion

INTRODUCTION

Pour améliorer ses conditions de vie du côté de la santé, l’homme invente de nombreuses techniques pour guérir ses blessures et assure un corps sacré dans le sens où naissent deux techniques de guérison: la médecine moderne et la médecine traditionnelle. La médecine traditionnelle a été la première à émerger parce qu’elle n’a pas besoin de transformation parce qu’elle est dans la nature.

I- DÉFINITION ET HISTOIRE

1- HISTOIRE La science a, par le passé, considéré les méthodes du savoir traditionnel comme primitives et arriérées. Sous la domination coloniale, les guérisseurs traditionnels étaient interdits parce qu’ils étaient considérés par beaucoup de nations comme des pratiquants de sorcellerie et de magie, et déclarés illégaux par les autorités coloniales, créant une guerre contre des aspects de la culture indigène considérés comme de la sorcellerie. Pendant ce temps, des tentatives ont également été faites pour contrôler la vente de médicaments à base de plantes. Après l’indépendance du Mozambique en 1975, les tentatives de contrôle de la médecine traditionnelle sont allées jusqu’à envoyer des devins-guérisseurs dans des camps de rééducation. Alors que le colonialisme et le christianisme se propageaient à travers l’Afrique, les…

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Exposé complet sur le phénomène de la guerre

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PLAN

INTRODUCTION

  1. LES DIFFERENTES PERCEPTIONS DE LA GUERRE CIVILE
  2. La guerre comme facteur de cohésion sociale.
  3. la guerre comme jeu,
  4. La guerre comme produit co-substantiel de la nature humaine
  5. CONCEPT MODERNE DE LA GUERRE CIVILE
  6. RAPPORT ENTRE LA GUERRE CIVILE ET  D’AUTRES DOMAINES
  7. Guerre civile et économie
  8. Guerre civile et droit

CONCLUSION

INTRODUCTION

La guerre se définit comme un état de conflit armé entre plusieurs groupes politiques constitués, comme des États. Par opposition aux guerres entre États, une guerre peut aussi désigner un conflit armé entre deux factions de populations opposées à l’intérieur d’un même État : on parle alors de guerre civile, de guerre ethnique, de guerre révolutionnaire ou encore de guerre de sécession. Une guerre civile est la situation qui existe lorsqu’au sein d’un État, une lutte armée oppose les forces armées d’un État à des groupes armés identifiables, ou des groupes armés entre eux, dans des combats dont l’importance et l’extension dépasse la simple révolte ou l’insurrection.

  1. LES DIFFERENTES PERCEPTIONS DE LA GUERRE CIVILE
  2. La guerre comme facteur de cohésion sociale.

Tant du point de vue de l’attaquant que de l’attaqué, la guerre semble contribuer à maintenir ou restaurer la cohésion sociale d’un groupe ou pays. Dans l’Histoire, il est patent que nombre de guerres se déclenchent au prétexte et dans le but unique (et souvent réussi) de resserrer les rangs derrière le destin supérieur de la patrie : Faire l’« union sacrée », et soutenir celui qui apparaît alors comme son meilleur défenseur : le chef. Ainsi Otto von Bismarck, rêvant de l’unité allemande incite-t-il la guerre franco-prussienne de 1870.

  • la guerre comme jeu,

Harris veut démontrer que les gens, les hommes surtout, sont élevés dans le culte et la croyance de la guerre comme une activité anoblissante, flamboyante et glorieuse, avec un substitut qui est la compétition sportive collective. L’histoire montre qu’on peut être élevé à prendre plaisir à pourchasser d’autres personnes et à les tuer, à les détester et les haïr ou bien à se révolter contre les résultats de tels actes. Si on croit que les valeurs belliqueuses sont sources des guerres, alors le problème crucial et…

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Exposé complet sur le tabac, l’alcool, la drogue : causes et conséquences sur la famille et la société

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PLAN

INTRODUCTION

  1. L’ALCOOL, LE TABAC, LA DROGUE : DEFINITIONS ET ORIGINES.
  2. L’alcool
  3. Le Tabac
  4. La drogue

  II- L’ALCOOL, LE TABAC, LA DROGUE : CAUSES ET  CONSEQUENCES.                                                                                                                                         

  1. CAUSES ET CONSEQUENCES DE L’ALCOOL
  2. Cause de l’alcool
  3. Conséquences de la consommation de l’alcool
  • CAUSES ET CONSEQUENCES DU TABAC
  • Cause
  • Conséquences
  • CAUSES ET CONSEQUENCES DE LA DROGUE.
  • Cause
  • Consequences
  • SOLUTIONS

Conclusion

INTRODUCTION

« L’alcool, le tabac et les drogues sont dangereuses pour la santé ». Cette phrase, tout à fait vraie au demeurant, vous l’avez certainement entendue des dizaines de fois. Mais vous êtes-vous déjà demandés quels sont exactement les mécanismes, physiques et psychologiques, engagés par la consommation de ces produits ? Et ceux-ci sont-ils marginaux ou relativement répandus ?

Voici quelques éclairages pour mieux comprendre l’action de l’alcool, le tabac et la drogue et leurs conséquences sur l’organisme.

  1. L’ALCOOL, LE TABAC, LA DROGUE : DEFINITIONS ET ORIGINES.
  1. L’alcool :

Il y a six mille ans, une femme en Mésopotamie (actuellement l’Irak, dans un village d’agriculteurs où l’on cultivait l’orge) aurait oublié une bouillie de céréales près du fleuve. Quelques jours plus tard, elle retrouva sa bouillie qui avait fermenté. En la diluant dans l’eau, on fabriqua pour la première fois de la bière. Quant au vin, les tombes des pharaons et la Bible nous apprennent que cette boisson était déjà consommée dans ces temps reculés.

Ce sont les Arabes qui ont donné son nom à l’alcool. Jusqu’à ce qu’ils se mettent à distiller le vin, au début du Moyen Age, ils utilisaient l’alambic pour produire le khôl, le fard à paupières des femmes des harems, à partir d’une poudre noire. L’alcool étant issu du même procédé, il a hérité du même nom.

  • Le Tabac :

Le mot tabac, désignant à l’origine, pour les Européens, à la fois la plante et le cigare confectionné avec ses feuilles, vient de l’espagnol tabaco, lui-même emprunté à un mot arawak désignant une sorte de pipe, un instrument à deux tuyaux. IL est attesté sous sa forme espagnole depuis la première moitié du XVIe siècle. La culture du tabac trouve son origine en…

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