Exposé complet sur la vie et la philosophie de Sigmund Freud

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Introduction

  1. BIOGRAPHIE
  1. BIBLIOGRAPHIE
  1. CONCEPTS CLE
  2. Concepts (psychanalyse)
  3. Conscient (inconscient, préconscient)
  4. Le moi, ça, surmoi
  5. Le refoulement
  6. Les névroses
  7. Transfert
  8. Rêve

Conclusion

Introduction

Sigmund Freud est un philosophe allemand qui a vécu de 1856-1939 soit 83 ans.

Sa philosophie est influencée sur le psychisme de l’Homme. Dans sa psychanalyse, il démontre les actes psychismes de l’homme et leurs causes. Pour ce fait, sa philosophie est analytique et expérimentale. Ses œuvres sont en ampleur surtout celui de la psychanalyse qui fera l’ossature de notre travail.

  1. BIOGRAPHIE

Né en 1856 en Moravie (République Tchèque), Sigmund Freud s’installe avec sa famille à vienne en 1860.

Après des études de médecine à l’université de vienne, Freud accomplit un stage à Paris, dans le Service de Charcot, spécialiste des maladies nerveuses.

Freud quittera l’Autriche au moment de l’Anschluss en 1938 pour aller s’installer en Angleterre. Il meurt à Londres le 23 septembre 1939 d’un cancer de la mâchoire dont il souffrait depuis longtemps.

  1. BIBLIOGRAPHIE

Sigmund Freud est un philosophe qui a publié beaucoup d’œuvres parmi lesquelles on peut citer :

  • 1er : Etude sur l’Hystérie publiée en 18695
  • 2ème : l’interprétation des rêves publiée en 1999
  • 3ème : Totem et tabou en 1913
  • 4ème : la psychanalyse en 1917. Celui-ci est son œuvre la plus importante. Il a publié bien d’autres œuvres.
  1. CONCEPTS CLE
  1. Définition

Selon le petit Robert, c’est l’ensemble des théories de Freud et de ces disciples concernant la vie psychique consciente dt inconsciente.

Freud a donné plusieurs définitions de la psychanalyse dont un est particulièrement explicité. Psychanalyse est le nom d’un procédé pour l’investigation de processus  mentaux à peu près inaccessibles autrement.

  • D’une méthode Bondée sur cette investigation pour le traitement de désordrenévrotique.
  • D’une série de conceptions psychologues acquises par ce moyen et qui s’accroissent ensemble pour former progressivement une nouvelle discipline scientifique.
  • Concepts (psychanalyse)
  1. Conscient (inconscient, préconscient)
  • Conscience

Capacité de se décrire, de se définir et de choisir. La conscience est la capacité de se percevoir, s’identifier, de penser et de se comporter de manière adaptée. Elle est ce que l’on sent et…

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Exposé de philosophie sur le travail

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Introduction

  1. Définition
  2. Le travail comme malédiction et comme servitude
  3. La tradition gréco-romaine
  4. La tradition judéo-chrétienne
  5. Le travail, une activité humaine par excellence
  6. La division sociale du travail
  7.  La fonction humanisante de la division sociale du travail
  8. Le travail déshumanisant et aliénant.
  9. Travail et Loisir
  10. Opposition entre travail et loisir
  11. Complémentarité entre travail et loisir

Conclusion

Introduction

Le travail est considéré comme nécessaire dans les sociétés humaines, il est ce qui permet notamment de gagner un salaire et donc d’être indépendant nancièrement parlant. Le travail a des effets sur l’homme : s’il est parfois vécu comme une contrainte ou une dépendance, le travail permet de former l’homme d’un point de vue moral et de lui apprendre à vivre avec les autres. C’est par son travail et sa maîtrise de la technique que l’être humain a été capable de transformer la nature. Le travail se pense souvent par rapport à la question de la liberté : permet-il de libérer l’homme, ou au contraire est-il une entrave à sa liberté ?

  1. Définition

Dans la plupart des sociétés humaines actuelles, le travail est une nécessité pour beaucoup d’êtres humains, puisqu’il est le seul à permettre une rémunération nancière. Il existe toutefois d’autres formes de travail que le travail rémunérateur : le travail domestique ou le travail dans les études. En philosophie, on considère que le travail est ce qui transforme la nature pour satisfaire les besoins de l’être humain.

  1. Le travail comme malédiction et comme servitude

Si aujourd’hui on parle moins facilement de travail lorsqu’il n’y a pas de rémunération en échange, le travail en tant que travail salarié est pourtant récent dans l’histoire de l’humanité. D’un point de vue étymologique, lorsqu’on parle du travail, on l’associe souvent à l’idée de contrainte. En effet, on dit souvent qu’étymologiquement, « travail » signie « contrainte » ou même « moyen de torture » (tripalium en latin). Pourtant, cette étymologie a plusieurs fois été remise en cause. Le travail ne serait donc pas uniquement synonyme de souffrance, labeur et fatigue.

  1. La tradition gréco-romaine

Dans la pensée occidentale antique, les termes labor en latin et ponos en grec désignent la peine. … Le travail est également associé à la nature et à la vie, qui sont en quelque sorte la contrepartie de la peine éprouvée en travaillant.

  • La tradition judéo-chrétienne

Selon la conception judéo-chrétienne, le travail n’avait donc pas de valeur en soi, mais devait être effectué pour le prochain et…

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Exposé de philosophie sur la mort

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INTRODUCTION

  1. LA MORT, UN FAIT NATUREL ? –ESSAI DE DEFINITION

A- LA MORT, UNE LOI NATURELLE ?

1) La mort un événement nécessaire… mais contingent !

2) La mort, une loi naturelle pas comme les autres : « la » mort, « ta » mort, et « ma » mort

a) ma mort

b) la mort de nos proches

  1. LA MORT COMME L’IMPENSABLE ET L’INIMAGINABLE
  2. LA MORT COMME RENCONTRE DIFFICILE

CONCLUSION

INTRODUCTION

L’idée que nous pouvons nous faire de la mort est à première vue purement négative : biologiquement, la mort est l’état définitif d’un organisme qui a cessé de vivre ; pour l’individu, c’est la fin de son existence. Il n’y a rien au-delà de ce terme définitif dont nous puissions faire l’expérience, car, pour nous, avoir une expérience, sentir, penser, supposent toujours la vie. La mort n’est donc pas l’objet d’une intuition, et, si elle est quelque chose, nous ne pouvons-nous la représenter autrement que comme un état de non-vie ou de non-conscience.

  1. LA MORT, UN FAIT NATUREL ? –ESSAI DE DEFINITION


Nous voulons savoir si la mort est quelque chose que nous pouvons penser de façon claire. Il nous faut donc essayer de dégager un concept de la mort, l’ensemble des caractéristiques de cette notion. Qu’est-ce que la mort ?

A- LA MORT, UNE LOI NATURELLE ?

1) La mort un événement nécessaire… mais contingent !

La mort est d’abord un événement nécessaire. Nécessaire : qui ne peut pas être autrement. C’est une loi du vivant/ de la nature. Nul ne vit éternellement.

Qui dit nécessaire, ne dit pas non contingent : la contingence désigne ce qui peut arriver par hasard, ce qu’on ne saurait prévoir (ou bien, mais ici ce n’est pas en ce sens là : ce qui peut être autrement qu’il n’est). Ce que l’on ne saurait déduire d’aucune loi.

Tout comme il est nécessaire que tout corps obéit à la loi de la chute des corps, on ne peut déduire de cette loi le moment où la pierre va quitter son lieu, va être déplacée, ou bouger, et donc, obéir effectivement à la chute des corps. De même, on ne peut déduire de la nécessité de la mort le moment où Pierre va mourir. Pierre mourra un jour ou l’autre, mais ce moment est indéterminé. C’est un événement. La mort est donc quelque chose qui…

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Exposé de philosophie sur la foi et la raison

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PLAN

INTRODUCTION

  1. DEFINITION
  2. MISE EN CONTEXTE
  3. REFLEXIONS SUR LA FOI
  4. Selon Kant
  5. Selon Kiekegaard
  6. Paradoxe de la foi
  7. REFLEXIONS SUR LA RAISON
  8. Différence entre la raison et la foi
  9. La raison et le rationnel
  10. Différence entre rationnel et raisonnable
  11. PEUT-ON RECONCILIER RAISON ET FOI ?

CONCLUSION

INTRODUCTION

La nature de la foi et de la raison et le conflit éventuel entre les deux sont des sujets de réflexion sur la religion et même en dehors du champ dit « religieux ». Les premiers textes cherchant à les concilier ou à en expliquer l’opposition datent de la pensée médiévale latine des xiie et xiiie siècles1. Les développements ultérieurs peuvent être trouvés, par exemple, dans l’affaire Galilée, ou chez Luther, Descartes, Spinoza et Kant. Sur un plan épistémologique contemporain, pour certains auteurs un auteur comme Jacques Derrida, dans Foi et savoir  ou Jacques Bouveresse, dans Peut-on ne pas croire ? il est question de déterminer si l’on peut se dispenser de croire pour savoir, s’il est légitime de croire au savoir, ou encore s’il est légitime de croire ce que l’on affirme par ailleurs ne pas pouvoir savoir.

  1. DEFINITION

La foi, écrit le Vocabulaire technique et critique de la philosophie d’André Lalande est un acte de la volonté par lequel on adopte comme vraie une vision du monde « qui n’est ni rationnellement démontrable ni évidente ». Mais le même dictionnaire ajoute une note du philosophe Maurice Blondel où celui-ci plaide pour son caractère raisonnable. Le terme peut recouvrir d’autres significations que la foi religieuse (avoir foi en quelqu’un, en l’avenir, au monde comme le dit Maurice Merleau-Ponty.

La foi n’est pas une conviction rationnelle, elle est une conviction intime. La foi religieuse est, dans les mots de Pascal « un pari » sur Dieu. Pari par lequel l’homme aurait tout « à gagner », la vie éternelle, le paradis, et bien peu à perdre : sa misérable existence. Le pari implique cependant qu’il est toujours possible de perdre dans la mesure où l’objet de la foi n’est pas perceptible, en tous cas pas accessible à la raison.

Le temps de la foi sans la raison était fondé sur la conviction que « La raison était alors impuissante à penser le mystère de Dieu »7. Le mystique tentera de se rapprocher de ce mystère par des voies qui ne sont pas celles de la raison.

  1. MISE EN CONTEXTE

Le problème de la foi et de la raison (c’est-à-dire de la nature de leur relation : sont-elles compatibles ou incompatibles ? Doivent-elles nécessairement agir de concert ? Laquelle doit commander à l’autre ?) est le problème central de la philosophie du bas Moyen Âge. Alors que les siècles ayant précédé la scolastique ont été surtout le siège d’un important mysticisme d’influence néoplatonicienne qui se passait de la raison (inspiré notamment de Boèce et de Denys l’Aréopagite), la redécouverte d’Aristote dans le cadre des traductions latines du XIIe siècle, la rencontre de deux traditions monastiques émergentes (celle des Franciscains passionnés et celle des…

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Exposé complet sur la vie et la philosophie de Saint Augustin

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PLAN

Introduction

I-Biographie de l’auteur

II-Bibliographie de l’auteur

III-La philosophie de l’auteur

Quelques citations

IV-Les auteurs qui l’ont influencé

V-Les auteurs qu’il a influencés

VI- Les œuvres les plus célèbres

Conclusion

Introduction

Saint AUGUSTIN (354-430 av JC) est un philosophe penseur exigeant dans tous les sens du terme. Homme clé de l’émergence du moi en occident, il a également joué un rôle de premier plan dans l’évolution de la notion de Justice. Etant le père de l’église Augustin était un de foi et vérité et ce qui faisait lui charismatique.Quels sont les idéologies lui ont-elles valu cette popularité ?

I – Biographie de saint Augustin


Saint Augustin Hipone naît le 13 novembre 354 à Thagaste en Numidie (aujourd’hui Souk Ahras en Algérie). C’est un romain d’Afrique, issu d’une famille assez modeste : son père, Patricius, est un petit propriétaire foncier. L’éducation à donner au jeune Augustin cause de la tension entre les parents car le père reste attaché à la religion du paganisme romain alors que sa mère, Monique, est une fervente chrétienne (l’Eglise la fera Sainte Monique). Augustin sera élevé dans la religion maternelle. Augustin reçoit une formation intellectuelle solide et envisage un temps de devenir avocat mais, en réalité, devient professeur dans sa ville natale, puis à Carthage, où il fonde une école de rhétorique, et enfin à Rome et Milan. Pendant cette période, au désespoir de sa mère, il s’éloigne de la religion de son enfance, menant une vie intense, une vie de débauche, dira-t-il dans les Confessions, une vie tourmentée, divisée entre son amour pour la femme avec laquelle il est lié depuis l’âge de 17 ans (et dont il a, en 372, un fils, Adéodat), sa passion pour la littérature et le théâtre et ses inquiétudes métaphysiques. Il découvre la philosophie vers 15 ans, en lisant Cicéron, mais c’est d’abord au manichéisme qu’il se convertit. Cette religion connaît à cette époque une grande expansion. Elle enseigne une vision dualiste et tragique du monde (le conflit entre le Bien et le Mal) et préconise une morale ascétique par laquelle l’âme ferait son salut en s’arrachant au monde mauvais. Augustin, déchiré par ses conflits internes, est séduit par cette doctrine et y adhère pendant 9 ans. A son arrivée à Milan, il s’éloigne déjà du manichéisme. Il subit alors l’influence du grand théologien chrétien Ambroise (plus tard Saint Ambroise) qui lui fait découvrir le néo-platonisme. Il se tourne alors vers le christianisme, mais cette adhésion intellectuelle n’est pas encore décisive. C’est dans un jardin de Milan que lui vient-la révélation. Il entend une voix qu’il…

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Exposé complet sur le socialisme

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Introduction

  1.  Définitions
    1. Le socialisme au plan social
    1. Le socialisme au plan économique
    1. Le socialisme au plan politique
  2.  Origines
    1. Origine étymologique
    1. Origine idéologique

III.  Différentes forme de socialisme

  1.  La social-démocratie scandinave
    1.  Autres formes de socialisme     

IV.  Évolutions et divisions du socialisme européen

  1. Diffusion des idées et naissance des partis politiques

2)  Diffusion du socialisme hors d’Europe

 Les idées socialistes se diffusent par ailleurs hors d’Europe : 

Conclusion

Introduction

Socialisme et socialiste sont des termes qui, en raison de leur connotation, ont été revendiqués et diffusés depuis leur création dans de nombreux contextes, et ont acquis une mosaïque de significations différentes, bien que des lignes directrices communes s’en dégagent. Le socialisme naît d’une philosophie de l’histoire occidentale, qui repose sur l’idée de progrès, c’est-à-dire de la transformation du monde dans un sens positif3 : dans son acception la plus large, il condamne les inégalités sociales et l’exploitation de l’homme par l’homme9 et défend le progrès social

I) Définitions

  • Le socialisme au plan social

Le mot socialisme recouvre un ensemble très divers de courants de pensée et de mouvements politiques1, dont le point commun est de rechercher une organisation sociale et économique plus juste. Le but originel du socialisme est d’obtenir l’égalité sociale, ou du moins une réduction des inégalités2, et notamment pour les courants d’inspiration marxiste, d’établir une société sans classes sociales. Le but originel du socialisme est d’obtenir l’égalité sociale, ou du moins une réduction des inégalités2, et notamment pour les courants d’inspiration marxiste, d’établir une société sans classes sociales. Plus largement, le socialisme peut être défini comme une tendance politique, historiquement marquée à gauche, dont le principe de base est l’aspiration à un monde meilleur, fondé sur une organisation sociale harmonieuse et sur la lutte contre les injustices.

  • Le socialisme au plan économique

Sur le plan économique, le mot socialisme désigne à l’origine un ensemble de doctrines fondées sur la propriété collective ou « propriété sociale » des moyens de production, ou du moins la critique de la propriété privée de ceux-ci ; par opposition à la vision capitaliste. Élie Halévy résume le socialisme par la possibilité de « remplacer la libre initiative des individus par l’action concertée de la collectivité dans la production et la répartition des richesses » : ainsi défini, le socialisme est vu comme un système de valeurs opposées à celles du libéralisme.

  • Le socialisme au plan politique

Sur le plan politique, le socialisme s’affirme en Europe au XIXe siècle, en même temps que le libéralisme et l’aspiration démocratique. Si le socialisme se veut porteur d’une démocratie universelle, socialisme et démocratie ne sont cependant pas synonymes sur les plans politique, économique et social. En effet, de par ses contraintes particulières, le socialisme peut se trouver en contradiction avec la démocratie. Plus largement, le socialisme peut être défini comme une tendance politique, historiquement marquée à gauche, dont le principe de base est l’aspiration à un monde meilleur, fondé sur une organisation sociale harmonieuse et sur la lutte contre les injustices.

  1.  Origines
    1. Origine étymologique

Le mot socialisme apparaît dans la langue française à la même époque, sans rentrer pour autant immédiatement dans le langage commun. Étymologiquement, le terme dérive du mot latinsocius, nom commun signifiant compagnon, camarade, associé, allié, confédéré et adjectif signifiant joint, uni, associé, allié, mis en commun, partagé. Le mot socius dérive du verbe sequi : suivre. Sa première utilisation remonte à l’abbé Sieyès qui dans les années 1780 évoque un « traité du socialisme » devant parler « du but que se propose l’homme en société et des moyens qu’il a d’y parvenir ». Dans cette utilisation éphémère, le mot signifie alors « science de la société ».

  • Origine idéologique

L’idée d’une organisation harmonieuse de la société remonte à la haute Antiquité, bien avant l’apparition du mot « socialisme » lui-même. Des ancêtres lointains et indirects du socialisme bien que l’emploi du mot soit très anachronique  comme du communisme dans son sens premier de société sans propriété privée se trouvent sur plusieurs continents : en Grèce chez Platon, qui imagine dans La République et Les Lois des modes idéaux d’organisation de la cité; en Asie dans certains courants de pensée du confucianisme et de l’islam qui…

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Exposé complet sur la renaisssance

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INTRODUCTION

  1. DELIMITATION TEMPORELLE DE LA PERIODE DE LA RENAISSANCE.
  2. GRANDES PERIODES DE LA RENAISSANCE
  3. CHANGEMENTS SURVENUS A LA PERIODE DE LA RENAISSANCE
  4. IMPACT PHILOSOPHIQUE DE LA RENAISSANCE
  5. L’humanisme
  6. Le naturalisme
  7. Le rationalisme
  8. L’individualisme

VI.           DE NOS JOURS

  • CHANGER L’ENSEIGNEMENT

CONCLUSION

INTRODUCTION

La Renaissance est une période de l’Histoire de l’Europe. Elle correspond aux XVe et xvie siècles. Elle s’accompagne d’un renouveau dans la littérature, les arts, les sciences, les échanges culturels et des bouleversements religieux avec Martin Luther qui est l’un des plus grands réformateurs de l’Eglise c’est-à-dire que Luther est contre les abus des fidèles et l’assemblé ecclésiastique.

  1. DELIMITATION TEMPORELLE DE LA PERIODE DE LA RENAISSANCE.

Elle suit le Moyen Âge et précède l’époque moderne ; mais ce découpage historique est discutable : beaucoup d’historiens ne sont pas d’accord. Le nom de cette période a été donné par le peintre italien Vasari vers 1550.

La Renaissance trouve ses origines en Italie vers le XIVe siècle, puis en Allemagne au XVe siècle et enfin dans toute l’Europe au XVIe siècle. Une date importante est 1453, la découverte des caractères mobiles utilisés dans l’imprimerie par Gutenberg. Cela a permis une meilleure diffusion du savoir en Europe : il devient possible d’imprimer plus facilement des livres en grande quantité. Un autre fait important que certains considèrent comme le début de la Renaissance est la prise de Constantinople, aujourd’hui Istanbul, par les Turcs en 1453. En effet, cet événement marque une interruption du commerce entre l’ouest et l’Asie par voie terrestre. La recherche d’une voie maritime pour atteindre l’Asie par l’ouest a conduit l’Europe à explorer le monde, d’où les grandes découvertes.

  1. GRANDES PERIODES DE LA RENAISSANCE

Il y a eu plusieurs grandes périodes de la Renaissance. Il est d’usage d’appeler les siècles de la Renaissance en Italie par le vocable « n »-cento, où « n » désigne le chiffre du siècle :

  • Années 1301 à 1400, c’est le Trecento = xive siècle (quatorzième),
  • Années 1401 à 1500, c’est le Quattrocento = xve siècle (quinzième),
  • Années 1501 à 1600, c’est le Cinquecento = xvie siècle (seizième).
  1. CHANGEMENTS SURVENUS A LA PERIODE DE LA RENAISSANCE

La Renaissance a plusieurs aspects : Tout d’abord l’humanisme  qui est un mouvement intellectuel qui remet en cause les idées scientifiques et philosophiques admises jusque-là. L’humanisme se définit d’après le dictionnaire Larousse par la philosophie qui place l’Homme et les valeurs humaines au-dessus de toutes les valeurs. Il peut aussi prendre un sens spécifique celui-ci est le mouvement culturel et littéraire qui s’épanouit surtout dansl’Europe du XVIe siècle qui tire ses méthodes et sa philosophie de l’étude des textes antiques.  Ensuite…

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Exposé complet sur la période de la renaissance

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PLAN

INTRODUCTION

  1. DELIMITATION TEMPORELLE DE LA PERIODE DE LA RENAISSANCE.
  2. GRANDES PERIODES DE LA RENAISSANCE
  3. CHANGEMENTS SURVENUS A LA PERIODE DE LA RENAISSANCE
  4. IMPACT PHILOSOPHIQUE DE LA RENAISSANCE
  5. L’humanisme
  6. Le naturalisme
  7. Le rationalisme
  8. L’individualisme

VI.  DE NOS JOURS

  • CHANGER L’ENSEIGNEMENT

CONCLUSION

INTRODUCTION

La Renaissance est une période de l’Histoire de l’Europe. Elle correspond aux XVe et xvie siècles. Elle s’accompagne d’un renouveau dans la littérature, les arts, les sciences, les échanges culturels et des bouleversements religieux avec Martin Luther qui est l’un des plus grands réformateurs de l’Eglise c’est-à-dire que Luther est contre les abus des fidèles et l’assemblé ecclésiastique.

  1. DELIMITATION TEMPORELLE DE LA PERIODE DE LA RENAISSANCE.

Elle suit le Moyen Âge et précède l’époque moderne ; mais ce découpage historique est discutable : beaucoup d’historiens ne sont pas d’accord. Le nom de cette période a été donné par le peintre italien Vasari vers 1550. La Renaissance trouve ses origines en Italie vers le XIVe siècle, puis en Allemagne au XVe siècle et enfin dans toute l’Europe au XVIe siècle. Une date importante est 1453, la découverte des caractères mobiles utilisés dans l’imprimerie par Gutenberg. Cela a permis une meilleure diffusion du savoir en Europe : il devient possible d’imprimer plus facilement des livres en grande quantité. Un autre fait important que certains considèrent comme le début de la Renaissance est la prise de Constantinople, aujourd’hui Istanbul, par les Turcs en 1453. En effet…

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Exposé complet sur Avérroes et son Oeuvre

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Plan

INTRODUCTION

II- BIBLIOGRAPHIE ET PRESENTATION

  1. Présentation
  2. Bibliographie

III- LA PENSEE DE L’AUTEUR :

IV- CE QUE NOUS AVONS RETENU DE SA PHILOSOPHIE

CONCLUSION

INTRODUCTION

Pour le citoyen moyen qui regarde la télévision, lit les journaux et/ou écoute la radio, la question de l’existence, passée ou future, d’un islam des Lumières, d’une religion musulmane éclairée, se pose avec acuité. La réponse à cette question brûlante est nécessaire, voire urgente, si l’on veut barrer la route à la diffusion de rumeurs qui déclarent cette religion ennemie de la paix et incompatible avec une spéculation philosophique normale.

Ibn Rushd, Averroès de son nom latin, reste l’incarnation même de l’esprit philosophique en islam. Mort en 1198, il prolongea toute une lignée de falasifa, c’est-à-dire d’authentiques penseurs rationalistes qui assurèrent le développement d’un legs spirituel gréco-musulman. Nous verrons plus en détail ce personnage mythique au cours de cet exposé.

  1. BIBLIOGRAPHIE ET PRESENTATION
  2. Présentation

Ibn Rochd de Cordoue, plus connu en Occident sous son nom latinisé d’Averroès, est un philosophe, théologien, juriste et médecin musulman andalou de langue arabe du xiie siècle, né le 14 avril 1126 à Cordoue en Andalousie et mort le 10 décembre 1198 à Marrakech au Maroc. Il exerce les fonctions de grand cadi (juge suprême) à Séville et à Cordoue, et de médecin privé des sultans almohades, à Marrakech à une époque charnière où le pouvoir passe des Almoravides aux Almohades. L’intérêt d’Averroès pour la spéculation philosophique hellénique, donc païenne et polythéiste, ne s’est jamais démenti, même si ce grand inspirateur du legs intellectuel gréco-musulman a dû…

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Exposé complet sur Aristote (Vie et Philosophie)

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INTRODUCTION

  1. BIOGRAPHIES
  2. BIBLIOGRAPHIE
  3. PHILOSOPHIE

CONCLUSION

INTRODUCTION

Il est appelé le « Prince des philosophes » et demeure l’une des grandes figures de la philosophie grecque, avec Platon dont il fut l’élève.

D’une intelligence encyclopédique, son œuvre influencera toute la pensée occidentale, mais aussi le monde arabo-islamique ainsi que la vision thomiste.

On se consacrera ici, en marge de ses études sur la physique et les sciences naturelles, à ses traités de morale (Ethique à Nicomaque ; Ethique à Eudème), de politique et d’économie (La Politique principalement).

  1. BIOGRAPHIE

384 avant J.-C : naissance d’Aristote, fils du médecin Nicomaque, en Macédoine (située au nord-ouest de la Grèce et de la mer Egée).

– 367 à 347: il suit l’enseignement de Platon à l’Académie d’Athènes. À la mort de son maître, Aristote s’éloigne d’Athènes et fonde une école à Assos. Il rencontre Théophraste et se lie d’amitié avec le naturaliste qui travaillera plus de vingt ans à ses côtés.

– 342 : Philippe, roi de Macédoine, le fait venir à Pella pour être précepteur de son fils Alexandre. – 335 : Alexandre le Grand accède au trône ; Aristote revient à Athènes et y fonde le Lycée. Il y enseigne en marchant…

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