Exposé complet de philosophie sur la gestion des désirs

Introduction :

  1. Les désirs : sources et nature
  2. Les origines des désirs : biologiques, sociaux, culturels
  3. Les différentes formes de désirs : besoins fondamentaux, désirs matérialistes, aspirations spirituelles

 

  1. La maîtrise de soi : la voie de la sagesse.
  2. La philosophie stoïcienne et l’ataraxie.
  3. L’ascèse et la volonté de puissance chez Nietzsche.
  4. L’éthique du devoir chez Kant.

 

III. La quête du bonheur.

  1. L’utilitarisme de John Stuart Mill.
  2. L’épicurisme.
  3. La conception aristotélicienne du bonheur.

 

  1. Les défis de la gestion des désirs.
  2. Les désirs illimités et la société de consommation.
  3. Les désirs contradictoires.
  4. Les désirs et la morale.

 

Conclusion :

Sources : 

 

Introduction :

La gestion des désirs est une préoccupation centrale dans la vie humaine, et les philosophes ont depuis longtemps exploré les différentes approches de ce défi. Les désirs et les aspirations font partie intégrante de notre nature en tant qu’êtres humains, et trouver un équilibre entre ces désirs et une vie épanouissante est une quête universelle.

Depuis l’Antiquité, les philosophes ont cherché à comprendre la nature des désirs et comment les gérer de manière à atteindre le bonheur et la satisfaction. Leurs réflexions ont donné naissance à différentes perspectives philosophiques qui offrent des approches variées pour aborder la gestion des désirs.

Dans cet exposé, nous examinerons les principales perspectives philosophiques sur la gestion des désirs, en mettant l’accent sur deux idées clés : la maîtrise de soi et la recherche du bonheur. Nous explorerons comment ces perspectives, telles que l’utilitarisme, l’épicurisme et la conception aristotélicienne du bonheur, peuvent nous aider à mieux comprendre et gérer nos désirs dans notre quête d’une vie épanouissante. En examinant les différentes perspectives, nous serons mieux équipés pour comprendre nos propres désirs, trouver un équilibre entre nos aspirations et une vie épanouissante, et poursuivre le bonheur d’une manière qui soit en accord avec nos valeurs et notre éthique personnelle.

 

  1. Les désirs : sources et nature
  2. Les origines des désirs : biologiques, sociaux, culturels

Les désirs humains trouvent leur origine dans diverses sources, combinant des aspects biologiques, sociaux et….

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Dissertation sur la citation « Quand dire c’est faire » de Langshaw Austin

 

Introduction:
L’assertion de John Langshaw Austin, célèbre philosophe anglais, selon laquelle « Quand dire, c’est faire », soulève une question fondamentale sur le pouvoir du langage. Cette phrase énigmatique suggère que l’acte de parler peut constituer une forme d’action en soi. Dans cette discussion, nous examinerons les arguments en faveur et en opposition à cette thèse, avant de proposer une synthèse qui tente de concilier ces deux perspectives divergentes.

I. Thèse: Le langage est une forme d’action

Argument 1: Les promesses et les engagements
Le langage permet de formuler des promesses et des engagements, qui ont un impact direct sur les relations humaines et les interactions sociales. Lorsqu’une personne promet de faire quelque chose, elle s’engage à agir de manière spécifique, et cette parole a le pouvoir d’influencer les attentes et les comportements des autres. Ainsi, dire quelque chose revient à s’engager dans une certaine mesure. Selon Austin, les énoncés linguistiques peuvent avoir des effets performatifs, c’est-à-dire qu’ils peuvent accomplir des actions ou des actes en eux-mêmes. Par exemple, lorsque quelqu’un dit « Je te promets de le faire », cette déclaration crée une obligation morale pour la personne de tenir sa promesse. Ainsi, dire quelque chose peut effectivement entraîner des conséquences tangibles.

Argument 2: Les actes de langage performatifs
Austin a développé le concept d’actes de langage performatifs pour soutenir sa thèse. Selon lui, certains énoncés accomplissent l’action qu’ils décrivent. Par exemple, dire « Je vous déclare mari et femme » lors d’une cérémonie de mariage a un effet juridique réel. Le langage peut donc être considéré comme une forme d’action qui provoque des conséquences tangibles. Il identifie des actes de langage tels que les actes assertifs (faire une déclaration), les actes directifs (donner un ordre) et les actes expressifs (exprimer des émotions). Selon Searle, ces actes de langage ne sont pas simplement des descriptions de la réalité, mais des actions qui ont un impact sur le monde.

II. Antithèse: Le langage est distinct de l’action

Argument 1: La nécessité de l’action physique
Bien que le langage puisse avoir des répercussions sur le monde, il ne peut pas remplacer directement l’action physique. Par exemple, dire « Je vais te donner de l’argent » n’équivaut pas à donner réellement de l’argent. L’acte de donner implique une action concrète distincte de la simple énonciation. Jacques Derrida remet également en question la notion selon laquelle « dire, c’est faire » en soulignant l’existence de la différence, c’est-à-dire la séparation entre le signifiant (le mot) et le signifié (la signification). Selon Derrida, le langage est fondamentalement instable et ouvert à l’interprétation, ce qui rend difficile la réalisation d’une action précise par le simple fait de dire quelque chose.

Argument 2: Les limites du langage
Le langage est un outil de communication puissant, mais il a ses limites. Il peut exprimer des intentions et des désirs, mais il ne peut pas nécessairement les réaliser par lui-même. Par exemple, dire « Je veux devenir un grand artiste » ne garantit pas automatiquement la réalisation de cet objectif. Des actions concrètes et un effort supplémentaire sont nécessaires pour le concrétiser. Michel Foucault propose une critique de l’idée que « dire, c’est faire » en soulignant que le langage peut également être utilisé comme un outil de domination et de contrôle. Selon lui, le discours peut être utilisé pour établir des normes, des hiérarchies et des systèmes de pouvoir.

 

III. Synthèse: Le langage est une forme d’action conditionnelle

Argument 1: Le pouvoir de l’influence
Bien que le langage ne puisse pas toujours se substituer à l’action physique, il a le pouvoir d’influencer les pensées, les émotions et les comportements des autres. Les mots peuvent susciter des réactions émotionnelles et motiver les individus à agir. Ainsi, le langage peut être considéré comme une forme d’action conditionnelle, qui crée un contexte propice à l’action concrète. Judith Butler soutient que le langage est à la fois performatif et normatif. Les énoncés linguistiques ont le pouvoir d’accomplir des actes, mais ces actes sont également façonnés par les normes et les conventions sociales. Ainsi, dire quelque chose peut être à la fois une action et une répétition de normes existantes.

Argument 2: Le langage comme catalyseur de l’action
Le langage joue souvent le rôle de catalyseur pour l’action. Les discussions, les instructions, les négociations et les délibérations verbales peuvent préparer le terrain et faciliter la mise en œuvre d’actions ultérieures. Le langage peut donc être considéré comme un moyen de préparer, de coordonner et de guider les actions, les rendant ainsi plus efficaces et significatives.

Conclusion:
En conclusion, bien que le langage ne puisse pas se substituer directement à l’action physique, il possède un pouvoir d’influence considérable et peut agir comme un catalyseur pour les actions concrètes. L’assertion d’Austin, « Quand dire, c’est faire », suggère que le langage peut être considéré comme une forme d’action conditionnelle, qui crée des conditions favorables à l’action effective. Reconnaître le potentiel du langage en tant que force motrice de l’action nous aide à mieux comprendre son rôle dans la communication humaine et son impact sur notre monde.

 

 

Source :
1. [Quand dire, c’est vraiment faire, de Barbara Cassin](https://www.en-attendant-nadeau.fr/2018/12/19/homere-trump-verites-mensonges-cassin/)
2. [Quand dire, c’est faire… écrire – Persée](https://www.persee.fr/doc/reper_1157-1330_1991_num_3_1_2017)
3. [Quand dire, c’est faire 2020125692, 2020027380 – DOKUMEN.PUB](https://dokumen.pub/quand-dire-cest-faire-2020125692-2020027380.html)

 

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Exposé complet sur la vie et la philosophie de Sigmund Freud

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Introduction

  1. BIOGRAPHIE
  1. BIBLIOGRAPHIE
  1. CONCEPTS CLE
  2. Concepts (psychanalyse)
  3. Conscient (inconscient, préconscient)
  4. Le moi, ça, surmoi
  5. Le refoulement
  6. Les névroses
  7. Transfert
  8. Rêve

Conclusion

Introduction

Sigmund Freud est un philosophe allemand qui a vécu de 1856-1939 soit 83 ans.

Sa philosophie est influencée sur le psychisme de l’Homme. Dans sa psychanalyse, il démontre les actes psychismes de l’homme et leurs causes. Pour ce fait, sa philosophie est analytique et expérimentale. Ses œuvres sont en ampleur surtout celui de la psychanalyse qui fera l’ossature de notre travail.

  1. BIOGRAPHIE

Né en 1856 en Moravie (République Tchèque), Sigmund Freud s’installe avec sa famille à vienne en 1860.

Après des études de médecine à l’université de vienne, Freud accomplit un stage à Paris, dans le Service de Charcot, spécialiste des maladies nerveuses.

Freud quittera l’Autriche au moment de l’Anschluss en 1938 pour aller s’installer en Angleterre. Il meurt à Londres le 23 septembre 1939 d’un cancer de la mâchoire dont il souffrait depuis longtemps.

  1. BIBLIOGRAPHIE

Sigmund Freud est un philosophe qui a publié beaucoup d’œuvres parmi lesquelles on peut citer :

  • 1er : Etude sur l’Hystérie publiée en 18695
  • 2ème : l’interprétation des rêves publiée en 1999
  • 3ème : Totem et tabou en 1913
  • 4ème : la psychanalyse en 1917. Celui-ci est son œuvre la plus importante. Il a publié bien d’autres œuvres.
  1. CONCEPTS CLE
  1. Définition

Selon le petit Robert, c’est l’ensemble des théories de Freud et de ces disciples concernant la vie psychique consciente dt inconsciente.

Freud a donné plusieurs définitions de la psychanalyse dont un est particulièrement explicité. Psychanalyse est le nom d’un procédé pour l’investigation de processus  mentaux à peu près inaccessibles autrement.

  • D’une méthode Bondée sur cette investigation pour le traitement de désordrenévrotique.
  • D’une série de conceptions psychologues acquises par ce moyen et qui s’accroissent ensemble pour former progressivement une nouvelle discipline scientifique.
  • Concepts (psychanalyse)
  1. Conscient (inconscient, préconscient)
  • Conscience

Capacité de se décrire, de se définir et de choisir. La conscience est la capacité de se percevoir, s’identifier, de penser et de se comporter de manière adaptée. Elle est ce que l’on sent et…

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Liste des exposés et documents disponibles

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Sièges sociaux à Ouagadougou (Zone 1) ;

Liste de nos documentations (des exposés et de recherches) disponibles :

–          Exposé sur L’Afrique Septentrional ;

–          Exposé sur Les paysages agraires en zone tempéré (cas de l’Italie) ;

–          Exposé sur l’Afrique Australe ;

–          Exposé sur L’Afrique Centrale ;

–          Exposé sur le Bilan et conséquences de la colonisation ;

–          Exposé sur astuces pour bien apprendre ses leçons ;

–          Exposé sur la conquête coloniale en Afrique ;

–          Exposé sur l’Empire du Gwiriko ;

–          Exposé sur la philosophie des lumières et leurs acteurs ;

–          Exposé sur comment réaliser un barrage ;

–          Exposé sur la pollution au Burkina Faso ;

–          Exposé sur le royaume Mossi, Gulmantchéma, et des émirats peuhls ;

–          Exposé sur la grève dans les Bouts de Bois de Dieu ;

–          Exposé sur l’indifférence dans l’Etranger d’Albert Camus ;

–          Exposé sur la corruption au Burkina Faso ;

–          Exposé sur la pénétration de l’Islam en Afrique Noire ;

–          Exposé sur l’Afrique dans la Mondialisation ;

–          Exposé sur le royaume d’Abomey ;

–          Exposé sur la gestion des ressources en eau au Burkina Faso, problème, conséquences, solutions.

–          Exposé sur les mines et carrières du Burkina Faso ;

–          Exposé sur les paysages agraires en pays côtier (cas de la côte d’ivoire) ;

–          Exposé sur les royaumes d’Afrique Centrale ;

–          Exposé sur la misère dans les bouts de bois de Dieu ;

–          Exposé sur le thème : notions de cartographie ;

–          Exposé sur l’organisation culturelle et sociale dans le Monde s’Effondre de Chinua Achiebé ;

–          Exposé sur la résistance du Burkina Faso face à la colonisation ;

–          Exposé sur le Royaume d’Abomey ;

–          Exposé sur la sexualité juvénile ;

–          Exposé sur une vie de boy de Ferdinand Oyono ;

–          Exposé sur Ville Cruelle d’Eza Boto ;

–          Exposé sur la géologie dans le monde ;

–          Exposé sur la démocratie dans les sociétés Africaines traditionnelles ;

–          Exposé sur L’Exploitation coloniale française et Anglaise en Afrique ;

–          Exposé sur la révolution anglaise du 17ème siècle ;

–          Exposé complet sur les Sept Douleurs du Capitaine William Aristide Nassidia ;

–          Exposé sur les temps géologiques ;

–          Exposé sur la géologie du Burkina ;

–          Exposé sur l’Afrique et le Burkina sur la première guerre mondiale ;

–          Exposé la dépigmentation : causes, conséquences, solutions ;

–          Exposé sur la problématique du chômage au Burkina Faso ;

–          Exposé sur le sport et le dopage ;

–          Exposé sur les agressions fascistes ;

–          Exposé sur les classes sociales dans Germinal d’Emile Zola ;

–          Exposé sur les formations géologiques du Burkina Faso ;

–          Exposé sur le Royaume Ashanti ;

–          Exposé sur l’Empire du Mali ;

–          Exposé sur les actions conservatrices des êtres vivants sur le sol ;

–          Exposé sur les avantages du clonage ;

–          Exposé sur les avantages et inconvénients des OGM ;

–          Exposé sur les Bouleversements socio-politiques en Amérique ;

–          Exposé sur les éléments du Climat ;

–          Exposé sur les facteurs du sous-développement ;

–          Exposé sur les grands produits agricoles et les OGM ;

–          Exposé sur les grands produits agricoles ;

–          Exposé sur l’évolution des états et des peuples du Burkina avant la colonisation ;

–          Exposé sur l’hygiène des organes génitaux chez l’homme et la femme ;

–          EXPOSE sur REPERTOIRE DES CAUSES ET CONSEQUENCES DE LA FAIBLESSE DES TAUX DE SCOLARISATION AU BURKINA FASO ;

–          Exposé sur les séismes, le volcanisme, les risques telluriques ;

–          Exposé sur VOLTAIRE ;

–          Exposé sur L’ETRANGE DESTIN DE WANGRIN de Hamadou Hampate Ba ;

–          Exposé sur la tectonique des plaques ;

–          Exposé sur l’impact des êtres vivants sur le sol ;

–          Exposé sur la grève des battus d’Aminata SOW ;

–          Exposé sur l’Urbanisation : causes, conséquences, solutions ;

–          Exposé sur le Japon impérialiste ;

–          Exposé sur les bouleversements politiques en Amérique ;

–          Exposé sur les Mains Salles de Jean Paul Sartre ;

–          Exposé sur les causes et les conséquences de la migration intellectuelle des Africains ;

–          Exposé sur Etude des personnages dans les bouts de bois de Dieu de Sembene Ousmane ;

–          Exposé sur l’œuvre MR TOGO-GNINI de Bernard B. Dadié ;

–          Exposé sur l’Empire SONGHAI ou SONRHAI ;

–          Exposé sur les techniques de négociations ;

–          Exposé sur la psychothérapie ;

–          Exposé sur complet sur L’EMPIRE DU GWIRIKO ;

–          Exposé sur CONFLIT DES CULTURES dans l’Aventure Ambigue de Cheikh Amidou Kané ;

–          Exposé sur le crépuscule des temps anciens de Nazi Boni ;

–          Exposé complet sur FRIEDRICH WILHELM ;

–          Exposé sur la géographie régionale de l’Afrique ;

–          EXPOSE sur KONG, GUIRIKO, LES CHEFFERIES ET LES SOCIETES DE L’AFRIQUE DU SUD ET DU SUD-OUEST

–          Exposé sur l’Afrique Orientale ;

–          Exposé sur l’Erosion (forme et conséquences) ;

–          Exposé sur l’excision de la femme : causes, conséquences et solutions ;

–          Exposé sur L’Optimisme de Voltaire ;

–          Exposé sur la crise économique de 1929, causes et conséquences ;

–          Exposé sur la discipline à l’école primaire ;

–          Exposé sur la formation du sol en climat tropical ;

–          Exposé sur la métallurgie en Afrique ;

–          Exposé sur la pollution au Burkina Faso ;

–          Exposé sur la pollution au Burkina Faso (en Anglais) ;

–          Exposé sur la répartition des volcans et des séismes à la surface du globe ;

–          Exposé sur la révolution anglaise ;

–          Exposé sur la révolution française ;

–          Exposé sur la révolution industrielle du 19 siècle ou l’essor et l’évolution ;

–          Exposé sur la tradition dans le Crépuscule des Temps Anciens ;

–          Exposé sur la traite négrière ;

–          Exposé sur la vision platonicienne de Platon ;

–          Exposé sur l’Afrique su 17ème siècle ;

–          Exposé sur le Crépuscule des Temps Anciens ;

–          Exposé sur Antigone (le Hero Mythe et réalité)

–          Exposé sur le mariage forcé : cause, conséquences solutions ;

–          Exposé sur le parachutage de Norbert Zongo ;

–          Exposé sur le royaume d’Oyo, du Bénin et d’Ifé.

–          Exposé sur la problématique du Téléphone portable et de l’Education ;

–          Exposé sur le thème : Etude de la Colonisation ;

–          Exposé sur le voyage dans Candide de Voltaire ;

–          Exposé sur l’Engagement dans l’Etranger d’Albert Camus ;

–          Exposé sur L’Avortement (causes et conséquences) ;

–          Exposé sur la prostitution (causes, conséquences et solutions) ;

–          Exposé sur Les Frasques d’Ebinto ;

–          Exposé sur l’Union Européenne ;

–          Exposé sur Platon ;

–          Exposé sur Sigmund Freud ;

–          Exposé sur la problématique de l’Education des filles en Afrique ;

–          Exposé sur la problématique de l’Education des filles en Afrique (en Anglais) ;

–          Exposé sur la problématique du Sous-développement ;

–          Exposé sur la problématique du sous-développement (en Anglais) ;

–          Exposé sur le mariage forcé (en Anglais) ;

–          Exposé sur les doctrines impérialistes ;

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Exposé de philosophie sur le travail

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Introduction

  1. Définition
  2. Le travail comme malédiction et comme servitude
  3. La tradition gréco-romaine
  4. La tradition judéo-chrétienne
  5. Le travail, une activité humaine par excellence
  6. La division sociale du travail
  7.  La fonction humanisante de la division sociale du travail
  8. Le travail déshumanisant et aliénant.
  9. Travail et Loisir
  10. Opposition entre travail et loisir
  11. Complémentarité entre travail et loisir

Conclusion

Introduction

Le travail est considéré comme nécessaire dans les sociétés humaines, il est ce qui permet notamment de gagner un salaire et donc d’être indépendant nancièrement parlant. Le travail a des effets sur l’homme : s’il est parfois vécu comme une contrainte ou une dépendance, le travail permet de former l’homme d’un point de vue moral et de lui apprendre à vivre avec les autres. C’est par son travail et sa maîtrise de la technique que l’être humain a été capable de transformer la nature. Le travail se pense souvent par rapport à la question de la liberté : permet-il de libérer l’homme, ou au contraire est-il une entrave à sa liberté ?

  1. Définition

Dans la plupart des sociétés humaines actuelles, le travail est une nécessité pour beaucoup d’êtres humains, puisqu’il est le seul à permettre une rémunération nancière. Il existe toutefois d’autres formes de travail que le travail rémunérateur : le travail domestique ou le travail dans les études. En philosophie, on considère que le travail est ce qui transforme la nature pour satisfaire les besoins de l’être humain.

  1. Le travail comme malédiction et comme servitude

Si aujourd’hui on parle moins facilement de travail lorsqu’il n’y a pas de rémunération en échange, le travail en tant que travail salarié est pourtant récent dans l’histoire de l’humanité. D’un point de vue étymologique, lorsqu’on parle du travail, on l’associe souvent à l’idée de contrainte. En effet, on dit souvent qu’étymologiquement, « travail » signie « contrainte » ou même « moyen de torture » (tripalium en latin). Pourtant, cette étymologie a plusieurs fois été remise en cause. Le travail ne serait donc pas uniquement synonyme de souffrance, labeur et fatigue.

  1. La tradition gréco-romaine

Dans la pensée occidentale antique, les termes labor en latin et ponos en grec désignent la peine. … Le travail est également associé à la nature et à la vie, qui sont en quelque sorte la contrepartie de la peine éprouvée en travaillant.

  • La tradition judéo-chrétienne

Selon la conception judéo-chrétienne, le travail n’avait donc pas de valeur en soi, mais devait être effectué pour le prochain et…

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Exposé de philosophie sur la mort

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INTRODUCTION

  1. LA MORT, UN FAIT NATUREL ? –ESSAI DE DEFINITION

A- LA MORT, UNE LOI NATURELLE ?

1) La mort un événement nécessaire… mais contingent !

2) La mort, une loi naturelle pas comme les autres : « la » mort, « ta » mort, et « ma » mort

a) ma mort

b) la mort de nos proches

  1. LA MORT COMME L’IMPENSABLE ET L’INIMAGINABLE
  2. LA MORT COMME RENCONTRE DIFFICILE

CONCLUSION

INTRODUCTION

L’idée que nous pouvons nous faire de la mort est à première vue purement négative : biologiquement, la mort est l’état définitif d’un organisme qui a cessé de vivre ; pour l’individu, c’est la fin de son existence. Il n’y a rien au-delà de ce terme définitif dont nous puissions faire l’expérience, car, pour nous, avoir une expérience, sentir, penser, supposent toujours la vie. La mort n’est donc pas l’objet d’une intuition, et, si elle est quelque chose, nous ne pouvons-nous la représenter autrement que comme un état de non-vie ou de non-conscience.

  1. LA MORT, UN FAIT NATUREL ? –ESSAI DE DEFINITION


Nous voulons savoir si la mort est quelque chose que nous pouvons penser de façon claire. Il nous faut donc essayer de dégager un concept de la mort, l’ensemble des caractéristiques de cette notion. Qu’est-ce que la mort ?

A- LA MORT, UNE LOI NATURELLE ?

1) La mort un événement nécessaire… mais contingent !

La mort est d’abord un événement nécessaire. Nécessaire : qui ne peut pas être autrement. C’est une loi du vivant/ de la nature. Nul ne vit éternellement.

Qui dit nécessaire, ne dit pas non contingent : la contingence désigne ce qui peut arriver par hasard, ce qu’on ne saurait prévoir (ou bien, mais ici ce n’est pas en ce sens là : ce qui peut être autrement qu’il n’est). Ce que l’on ne saurait déduire d’aucune loi.

Tout comme il est nécessaire que tout corps obéit à la loi de la chute des corps, on ne peut déduire de cette loi le moment où la pierre va quitter son lieu, va être déplacée, ou bouger, et donc, obéir effectivement à la chute des corps. De même, on ne peut déduire de la nécessité de la mort le moment où Pierre va mourir. Pierre mourra un jour ou l’autre, mais ce moment est indéterminé. C’est un événement. La mort est donc quelque chose qui…

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Exposé de philosophie sur la foi et la raison

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PLAN

INTRODUCTION

  1. DEFINITION
  2. MISE EN CONTEXTE
  3. REFLEXIONS SUR LA FOI
  4. Selon Kant
  5. Selon Kiekegaard
  6. Paradoxe de la foi
  7. REFLEXIONS SUR LA RAISON
  8. Différence entre la raison et la foi
  9. La raison et le rationnel
  10. Différence entre rationnel et raisonnable
  11. PEUT-ON RECONCILIER RAISON ET FOI ?

CONCLUSION

INTRODUCTION

La nature de la foi et de la raison et le conflit éventuel entre les deux sont des sujets de réflexion sur la religion et même en dehors du champ dit « religieux ». Les premiers textes cherchant à les concilier ou à en expliquer l’opposition datent de la pensée médiévale latine des xiie et xiiie siècles1. Les développements ultérieurs peuvent être trouvés, par exemple, dans l’affaire Galilée, ou chez Luther, Descartes, Spinoza et Kant. Sur un plan épistémologique contemporain, pour certains auteurs un auteur comme Jacques Derrida, dans Foi et savoir  ou Jacques Bouveresse, dans Peut-on ne pas croire ? il est question de déterminer si l’on peut se dispenser de croire pour savoir, s’il est légitime de croire au savoir, ou encore s’il est légitime de croire ce que l’on affirme par ailleurs ne pas pouvoir savoir.

  1. DEFINITION

La foi, écrit le Vocabulaire technique et critique de la philosophie d’André Lalande est un acte de la volonté par lequel on adopte comme vraie une vision du monde « qui n’est ni rationnellement démontrable ni évidente ». Mais le même dictionnaire ajoute une note du philosophe Maurice Blondel où celui-ci plaide pour son caractère raisonnable. Le terme peut recouvrir d’autres significations que la foi religieuse (avoir foi en quelqu’un, en l’avenir, au monde comme le dit Maurice Merleau-Ponty.

La foi n’est pas une conviction rationnelle, elle est une conviction intime. La foi religieuse est, dans les mots de Pascal « un pari » sur Dieu. Pari par lequel l’homme aurait tout « à gagner », la vie éternelle, le paradis, et bien peu à perdre : sa misérable existence. Le pari implique cependant qu’il est toujours possible de perdre dans la mesure où l’objet de la foi n’est pas perceptible, en tous cas pas accessible à la raison.

Le temps de la foi sans la raison était fondé sur la conviction que « La raison était alors impuissante à penser le mystère de Dieu »7. Le mystique tentera de se rapprocher de ce mystère par des voies qui ne sont pas celles de la raison.

  1. MISE EN CONTEXTE

Le problème de la foi et de la raison (c’est-à-dire de la nature de leur relation : sont-elles compatibles ou incompatibles ? Doivent-elles nécessairement agir de concert ? Laquelle doit commander à l’autre ?) est le problème central de la philosophie du bas Moyen Âge. Alors que les siècles ayant précédé la scolastique ont été surtout le siège d’un important mysticisme d’influence néoplatonicienne qui se passait de la raison (inspiré notamment de Boèce et de Denys l’Aréopagite), la redécouverte d’Aristote dans le cadre des traductions latines du XIIe siècle, la rencontre de deux traditions monastiques émergentes (celle des Franciscains passionnés et celle des…

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Exposé complet sur la vie et la philosophie de Sophocle

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PLAN

INTRODUCTION

  1. BIOGRAPHIE DE SOPHOCLE
  2. BIBLIOGRAPHIE DE SOPHOCLE
  3. Antigone, une pièce importante dans l’œuvre de Sophocle
  4. Les autres œuvres de Sophocle
  5. PHILOSOPHIE DE SOPHOCLE : LE DRAME

CONCLUSION

INTRODUCTION

Sophocle, né à Colone en -495 et mort en -406, est l’un des trois grands dramaturges grecs dont l’œuvre nous est partiellement parvenue, avec Eschyle et Euripide. Il est principalement l’auteur de cent vingt-trois pièces (dont une centaine de tragédies), mais dont seules huit nous sont parvenues. Cité comme paradigme de la tragédie par Aristote, notamment pour l’usage qu’il fait du chœur et pour sa pièce Œdipe roi, il remporte également le nombre le plus élevé de victoires au concours tragique des grandes Dionysies (dix-neuf), et n’y figure jamais dernier.

Son théâtre rompt avec la trilogie « liée » et approfondit les aspects psychologiques des personnages. Ses pièces mettent en scène des héros, souvent solitaires et même rejetés (AjaxAntigoneŒdipeÉlectre) et confrontés à des problèmes moraux desquels naît la situation tragique. Comparé à Eschyle, Sophocle ne met pas ou peu en scène les dieux, qui n’interviennent que par des oracles dont le caractère obscur trompe souvent les hommes, sur le mode de l’ironie tragique.

  1. BIOGRAPHIE DE SOPHOCLE

Les détails de la vie de Sophocle sont connus, bien qu’assez mal, grâce à une compilation anonyme1, la Souda2 et aux mentions d’auteurs comme Plutarque de Chéronée ou Athénée3. Il est le fils d’un certain Sophilos et naît en 496 av. J.-C. selon la chronique de Paros4, ou en 495 av. J.-C. selon son biographe anonyme1, à Colone, village proche d’Athènes, où il situera sa dernière pièce Œdipe à Colone. Il reçoit une éducation très soignée, notamment en musique, où il profite des leçons du célèbre Lampros, et en gymnastique : à seize ans, il lui revient de conduire le chœur du triomphe de Salamine5,1.

Exact contemporain de Périclès, Sophocle connaît l’apogée athénienne, et participe à la vie politique : il est désigné parmi les hellénotames (trésoriers de la ligue de Délos) vers 443-442 av. J.-C., et parmi les stratèges à deux reprises, notamment en 440 av. J.-C. lors de l’expédition contre Samos1. À quatre-vingt-trois ans, il fait également partie des dix conseillers désignés après le désastre de Sicile. Sophocle meurt en 406 ou 405 av. J.-C.. Il est le père de Iophon, fils de l’athénienne Nicostrata, et d’Ariston, fils de la sicyonienne Thoris1. Suidas mentionne trois autres fils : Léosthénès, Stéphanos et Ménécléidès2. Ariston est le père de Sophocle le Jeune, également doué pour la tragédie, sous les soins de qui est représentée la dernière pièce de son grand-père, Œdipe à…

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Exposé complet sur la vie et la philosophie de Saint Augustin

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PLAN

Introduction

I-Biographie de l’auteur

II-Bibliographie de l’auteur

III-La philosophie de l’auteur

Quelques citations

IV-Les auteurs qui l’ont influencé

V-Les auteurs qu’il a influencés

VI- Les œuvres les plus célèbres

Conclusion

Introduction

Saint AUGUSTIN (354-430 av JC) est un philosophe penseur exigeant dans tous les sens du terme. Homme clé de l’émergence du moi en occident, il a également joué un rôle de premier plan dans l’évolution de la notion de Justice. Etant le père de l’église Augustin était un de foi et vérité et ce qui faisait lui charismatique.Quels sont les idéologies lui ont-elles valu cette popularité ?

I – Biographie de saint Augustin


Saint Augustin Hipone naît le 13 novembre 354 à Thagaste en Numidie (aujourd’hui Souk Ahras en Algérie). C’est un romain d’Afrique, issu d’une famille assez modeste : son père, Patricius, est un petit propriétaire foncier. L’éducation à donner au jeune Augustin cause de la tension entre les parents car le père reste attaché à la religion du paganisme romain alors que sa mère, Monique, est une fervente chrétienne (l’Eglise la fera Sainte Monique). Augustin sera élevé dans la religion maternelle. Augustin reçoit une formation intellectuelle solide et envisage un temps de devenir avocat mais, en réalité, devient professeur dans sa ville natale, puis à Carthage, où il fonde une école de rhétorique, et enfin à Rome et Milan. Pendant cette période, au désespoir de sa mère, il s’éloigne de la religion de son enfance, menant une vie intense, une vie de débauche, dira-t-il dans les Confessions, une vie tourmentée, divisée entre son amour pour la femme avec laquelle il est lié depuis l’âge de 17 ans (et dont il a, en 372, un fils, Adéodat), sa passion pour la littérature et le théâtre et ses inquiétudes métaphysiques. Il découvre la philosophie vers 15 ans, en lisant Cicéron, mais c’est d’abord au manichéisme qu’il se convertit. Cette religion connaît à cette époque une grande expansion. Elle enseigne une vision dualiste et tragique du monde (le conflit entre le Bien et le Mal) et préconise une morale ascétique par laquelle l’âme ferait son salut en s’arrachant au monde mauvais. Augustin, déchiré par ses conflits internes, est séduit par cette doctrine et y adhère pendant 9 ans. A son arrivée à Milan, il s’éloigne déjà du manichéisme. Il subit alors l’influence du grand théologien chrétien Ambroise (plus tard Saint Ambroise) qui lui fait découvrir le néo-platonisme. Il se tourne alors vers le christianisme, mais cette adhésion intellectuelle n’est pas encore décisive. C’est dans un jardin de Milan que lui vient-la révélation. Il entend une voix qu’il…

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Exposé complet sur la philosophie antique: Les socratiques

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INTRODUCTION

  1. LES DIFFÉRENTS COURANTS PHILOSOPHIQUES SOCRATIQUES
  2. Le stoïcisme
  3. Épicurisme.
  4. LES PHILOSOPHES DE LA PHILOSOPHIE ANTIQUE
  5. Platon
  6. Diogène de Sinope
  7. Aristippe de Cyrène
  8. Hégésias
  9. QUELQUES CONCEPTS FORTS DE LA PHILOSOPHIE SOCRATIQUE :
  10. La philosophie antique comme art de vivre
  11. La conscience de soi : Connais-toi toi-même !

CONCLUSION

INTRODUCTION

Le terme de philosophie antique désigne en général la philosophie hellénistique, qui naît au viie siècle av. J.-C., avec Socrate et Platon, et ses successeurs dans l’empire romain ainsi que dans le monde arabo-musulman. Il s’applique ainsi à une philosophie dite « occidentale », qui correspond grosso modo à l’Antiquité gréco-romaine — les sagesses ou philosophies d’autres civilisations (Chine, Inde, etc.) ne sont en général pas comprises sous ce terme. On inclut aussi sous ce terme ce qu’une partie importante de l’histoire de la philosophie considère comme les origines de la philosophie, à savoir les penseurs présocratiques, dont les premiers datent du milieu du viie siècle avant notre ère.

Les « socratiques » désignent les penseurs des courants du stoïcisme, de l’épicurisme, du scepticisme. Cette appellation confirme le statut de Socrate penseur fondateur de l’Occident. Toutefois, « socratique » définit aussi une rupture avec Socrate, Platon et Aristote. Ces philosophes grecs classiques mettent la Cité au premier plan de leurs réflexions, en affirmant la nécessité d ‘une société juste pour que l’homme puisse lui aussi être juste ; de leur point de vue, l’homme est d’abord un animal social. Les socratiques défendent une conception de l’homme très différente.

  1. LES DIFFÉRENTS COURANTS PHILOSOPHIQUES SOCRATIQUES

  1. Le stoïcisme

L’école stoïcienne fut créée par Zénon de Κition au ive siècle avant notre ère parce que l’école se situait près du portique Pécile, dans l’Agora d’Athènes. Elle est aussi nommée l’école du Portique.

C’est une philosophie rationaliste qui se rattache notamment à Héraclite (idée d’un logos universel) et au cynisme (Zénon de Κition fut élève de Cratès de Thèbes) ; il reprend certains aspects de la pensée d’Aristote. On peut résumer cette doctrine à l’idée qu’il faut vivre en accord avec la nature et la raison pour atteindre la sagesse et le bonheur. La philosophie stoïcienne est un tout cohérent : c’est une philosophie de la totalité qui se veut consciemment systématique, ce qui est l’un des traits caractéristiques des systèmes de pensées antique. Cette doctrine procède à…

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