Exposé complet sur le Royaume d’Ethiophie

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Plan

INTRODUCTION

  1. L’histoire d’Ethiopie
  2. Quelques souverainetés éthiopiennes
  3. Langue parlée et littérature
  4. Peuple éthiopien
  5. Les monnaies de royautés
  6. Religions éthiopiennes
  7. Le christianisme
  8. L’Islam
  9. Judaïsme
  10. Art et culture

Conclusion

Introduction

Le nom d’Ethiopie fut donné par les anciens Grecs aux pays du Sud, c’est-à-dire. De façon assez vague à tous ceux de l’Afrique; le mot d’Ethiopiens signifiait en grec quelque chose comme hommes brûlés par le soleil (aithô = brûler, ops = visage). Il se localisa pour désigner spécialement les populations du Sud de l’Egypte, du bassin supérieur du Nil, habitant entre le Sahara(Libye) et la mer Rouge (golfe Arabique). Tandis qu’Homère appelle les Ethiopiens les plus éloignés des habitants de la Terre, résidant depuis l’extrême Orient jusqu’aux régions du couchant, Hérodote applique ce nom aux gens du haut Nil. Mais quelles sont les civilisations du royaume d’Ethiopie ?

  1. L’histoire d’Ethiopie
  2. Quelques souverainetés éthiopiennes

De 1855 au début du XXe siècle, trois souverains importants se succèdent. Le premier est Téwodros II dont le couronnement en 1855 marque la fin du ZemeneMesafent et le début de l’histoire moderne du pays. Premier véritable modernisateur, il lance un processus d’expansion, d’unification et de centralisation. Néanmoins, les résistances des notables régionaux devant les mesures adoptées et un conflit avec la Grande-Bretagne conduisent à son suicide en 1868 à Maqdala.Après le bref règne de TekleGiyorgis (de 1868 à 1871), KassaMercha arrive au pouvoir en janvier 1872 sous le nom de Yohannes IV. Moins centralisateur que Téwodros II, il assure néanmoins la suprématie du negussenegest et fait progresser la construction nationale.

  • Langue parlée et littérature

Les trois premières branches appartiennent à la famille des langues afro-asiatiques tandis que la quatrième fait partie des langues nilo-sahariennes.

Représentation schématique de la répartition des quatre principales langues éthiopiennes.

Les langues sémitiques sont principalement parlées dans les régions des hauts plateaux, dans le centre et le Nord du pays. Ce sont des langues cousines du ge’ez, langue du royaume d’Aksoum

Les langues sémitiques d’Éthiopie utilisent le système d’écriture ge’ez, un alpha syllabaire dit « éthiopique » et appelé fidel . L’Éthiopie et l’Érythrée sont les seuls pays au monde utilisant ce système d’écriture qui comprend 182 caractères basiques auxquels il faut ajouter des caractères spéciaux, totalisant plus de 200 signes.

Les langues couchitiques sont essentiellement parlées dans une partie du Sud-ouest et du Centre ainsi que dans l’Est du pays, dans la vallée de l’Awash et le triangle Afar

Les langues omotiques sont propres à l’Éthiopie où elles sont parlées par les populations vivant dans le bassin de l’Omo, dans le Sud-ouest du pays. Durant l’Antiquité éthiopienne, le…

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Exposé complet sur le Royaume d’Oyo (origine, évolution, civilisation, déclin)

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PLAN

INTRODUCTION GENERALE

  1. ORIGINE, SITUATION, NAISSANCE ET RELIGION
  2. EVOLUTION
  3. Historique
  4. Politique
  5. Société
  6. ECONOMIE
  7. CIVILISATION
  8. DECLIN DU ROYAUME D’OYO

CONCLUSION

INTRODUCTION GENERALE

Le golfe de Guinée est une grande région de l’Afrique occidentale qui s’étend sur le littoral de l’Atlantique. Ne correspondant ni à une zone physique distincte, ni à un domaine ethnographique particulier, il est difficile de lui assigner des limites qui ne soient pas quelque peu arbitraires. La région qui borde le golfe de Guinée est principalement forestière, l’habitat y est représenté par de petits villages, souvent autonomes. Cependant à partir du 10 siècle, certains villages se sont regroupés pour constituer des structures politiques plus larges. Ces Etats parfois confédérés sont apparus, des monarchies héréditaires se sont installés chez les Ifé, les Ibo et les Yorubas, royaumes d’Oyo celui dont l’existence a été la plus longue est le royaume d’Abomey (Benin). Nous allons toute fois au cours de cet exposé vous entretenir spécialement sur les évolutions sociales politiques du Royaume d’Oyo.

  1. ORIGINE, SITUATION, NAISSANCE ET RELIGION

Le royaume d’Oyo est un ancien Etat africain fondé au XVe siècle par les Yorubas dans l’actuel Nigéria. Ce royaume était limité à l’Ouest par le royaume du Dahomey, au nord par le Noupé et à l’est par le fleuve Niger. Si nous retrouvons les yorubas dans les rivages des caraïbes, c’est vers le Nil qu’il nous faut en rechercher les origines. Selon Olumide Lucas, l’ethnie yoruba serait originaire d’Egypte. En fait l’origine pure et dure du peuple yoruba est la ville d’Ié-Ifé (actuel Nigéria). Selon l’Histoire, le royaume d’Oyo a été créé par Shango le premier roi Oyo. L’Etat d’Oyo fut…

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Exposé complet sur le Royaume de KONG

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INTRODUCTION 

  1. LES FONDEMENTS NATURELS ET LES ORIGINES DU ROYAUME DE KONG
  2. Le cadre géographique
  3. Le cadre humain
  4. Les origines du royaume de Kong et l’acquisition du pouvoir pas Sékou Ouattara
  5. L’EMPIRE DE KONG
  6. fortification du pouvoir
  7. L’extension du royaume de Kong
  8. Zan Bakari soumet le pays lobi
  9. La soumission de nombreuses régions
  10. Le pouvoir étendu du souverain et sa cour factieuse
  11. Des pouvoirs étendus
  12. Une cour fastueuse
  13. Le gouvernement de Sékou Ouattara et le déclin de l’empire

  CONCLUSION

BIBLIOGRAPHIE

ANNEXE

                INTRODUCTION 

L’histoire de la Cote d’ivoire part de la préhistoire jusqu’au contact avec l’occident au XIXème siècle. Avant la colonisation, la Cote d’Ivoire en tant qu’entité n’existait pas. Mais au plan politique on note l’existence de nombreux Etats. La Cote d’Ivoire précoloniale avait donc connue plusieurs organisations qui se regroupaient en trois (03) régimes ou systèmes notamment la monarchie.  Ce système politique qui aussi le fait des populations malinké instaure un Etat centralisé avec un pouvoir fort. C’est le cas des monarchies islamisées qui, en s’installant dans le Nord-est de l’actuelle Cote d’Ivoire remplace les communautés autonomes par le règne de la royauté. Le roi est ainsi le seul détenteur du pouvoir politique militaire et judiciaire. Le royaume de Kong est l’un des deux royaumes les plus importants qu’avaient fondé les Malinkés. C’est sous le règne de Sékou Ouattara au XVIIIème siècle que ce royaume atteint son apogée et était resté puissant jusqu’au début du XIXème siècle. Que doit-on alors retenir de l’histoire du royaume de Kong ?

Il s’agit ici, d’exposer sur l’empire de Kong sous   Sékou Ouattara. Mais bien avant nous montrerons les fondements naturels et les origines de ce royaume.

  1. LES FONDEMENTS NATURELS ET LES ORIGINES DU ROYAUME DE KONG

Le royaume de Kong est l’un des plus anciens royaumes que l’Afrique de l’Ouest a connu. De par sa position entre le haut Bandama et la Comoé, Kong bénéficie du drainage des deux grands fleuves de la Côte d’ivoire. L’histoire de cette région étant étroitement liée à la migration des Mandés les vallées de ces cours d’eaux constituaient non seulement des passages obligés, des courants migratoires qui ont peuplé une grande partie de l’actuelle Côte d’ivoire. Cette zone constituera un brasage de divers peuples et de civilisations. La générosité de la nature été un atout majeur du peuplement ancien du nord et au nord-est de la Côte d’ivoire. Le développement de Kong voit le jour à l’aube du XIème siècle grâce à son site et …

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Exposé complet sur le Royaume Ashanti (Orinigne et Evolution)

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  1. ORIGINES ET EVOLUTION DU ROYAUME
  2. Origine
  3. Evolution
  4. ORGANISATION POLITICO-ECONOMIQUE DU ROYAUME ASHANTI
  5. Organisation politique
  6. Organisation économique du Royaume Ashanti
  7. ECHANGES AVEC LES AUTRES ROYAUMES
  8. Commerce des esclaves
  9. Commerce des produits agricoles

CONCLUSION

INTRODUCTION

La vocation guerrière du royaume Ashanti se manifeste immédiatement. Au cours du règne d’Osei Tutu, plusieurs expéditions victorieuses sont menées contre les royaumes de Doma, de Denkyéra et des Akim. À la mort du fondateur, en 1712 ou 1717, un conflit de succession entre deux de ses neveux faillit mettre en cause l’œuvre accomplie. Finalement, les partisans du prétendant vaincu émigrèrent vers l’ouest où ils fondèrent le royaume Baoulé, et le jeune État ashanti survécut, poursuivant, sous le règne d’Opoku Ware, son action militaire, en particulier contre les Akim et les Akwapim. L’apogée de la puissance ashanti se situe dans la première moitié du XIXe siècle, en particulier sous le règne d’Osei Bonsu ou Osei Kwamina (1804-1823). Celui-ci accentue l’expansion vers la côte, soumettant une grande partie du pays Fanti, et s’attaque aux peuples du Nord, conquérant le royaume de Gonja et imposant aux Dagomba vaincus un tribut en esclaves. À l’est, il entre en contact avec le royaume du Dahomey, avec lequel il entretiendra pendant un certain temps des relations diplomatiques.

  1. ORIGINES ET EVOLUTION DU ROYAUME
  2. Origine

Les Ashantis sont l’un des principaux groupes ethniques de ce qui constitue l’actuel Ghana. Ils ont hérité leur tradition militaire, leur cérémonial de cour, leurs mœurs extrêmement disciplinées ainsi que des aspects linguistiques de l’ancien Empire du Ghana (Aujourd’hui situé au…

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Exposé complet sur le Burkina Faso sous domination coloniale

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PLAN

INTRODUCTION

I- ETAPES DE LA DOMINATION

II- LA CONQUETE ARMEE

III- LE BURKINA SOUS DOMINATION COLONIALE

IV- LA HAUTE-VOLTA DE 1919 A 1958

LES NANAMSE, AGENTS DE LA MISE EN VALEUR DES COLONIES FRANÇAISES.

II- LES CHEFFERIES

CONCLUSION

INTRODUCTION

A la fin de la saison des pluies de l’année 1915, les représentants d’une ligue d’une douzaine de villages de la boucle de la Volta (Burkina-Faso) se rassemblèrent autour de l’autel du culte de la terre du village de Bona, où ils prêtèrent serment de prendre les armes contre le pouvoir colonial et de ne les déposer qu’après son départ définitif. Ainsi débuta l’une des dernières et des plus meurtrières guerres coloniales de l’Afrique de l’Ouest. Après avoir mis en déroute les premières expéditions punitives, les combattants anticoloniaux repoussèrent, en décembre 1915, une colonne militaire qui comprenait des bataillons provenant de différentes colonies de l’Afrique occidentale française (AOF) renforcée par une unité d’artillerie.

I- ETAPES DE LA DOMINATION

La France, depuis ses bases du Soudan français et de la Côte-d’Ivoire, lance plusieurs missions destinées à relier ces territoires au Dahomey et à faire barrage aux prétentions britanniques et allemandes. L’expédition du docteur Crozat (août-novembre 1890) se solde par un échec politique : il obtient des promesses d’amitié du Mogho Naba mais ne parvient à faire signer aucun traité. Quant à la mission du capitaine Monteil, qui le mène de Saint-Louis (décembre 1890) à Tripoli (décembre 1892), elle n’a guère plus de…

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Exposé complet sur Les relations entre l’Afrique, l’Asie et l’Océan Indien du VII ème au XVI ème siècle

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PLAN

INTRODUCTION

  1. Les relations entre l’Afrique et l’Asie
  2. Les relations économiques

2) Les relations politiques

3) Les relations commerciales

4) Les relations esclavagistes

  1. Les relations entre l’Afrique et l’Océan Indien
  2. Les relations économiques
  3. Les relations politiques
  4. Les relations commerciales

III – Indiens et Islamisés sur la côte africaine : La culture swahilie

CONCLUSION

Biographie

Introduction

La question de la relative inertie des trajectoires de développement en Afrique a longtemps été analysée, d’une part, dans le cadre des théories de la dépendance (échange inégal, domination, néocolonialisme), d’autre part, à travers une approche privilégiant les dynamiques internes (corruption, institutions biaisées, formes spécifiques d’exercice du pouvoir étatique). Et ces explications ont adopté une démarche économique, politique et commerciale entre l’Afrique, l’Asie et l’Océan indien. Cependant ces relations explicatives de trajectoires n’analysent pas un essor important pour ses trois continents ?

                        I- La relation entre l’Afrique et l’Asie      

                        1)  Les relations économiques

Des marchands sassanides viennent de fait, au VIe siècle, s’approvisionner en esclaves sur la côte. Mais c’est avec la montée de l’islam, au VIIe siècle, que le commerce swahili va prendre toute sa dimension, dans le cadre de la phase d’expansion du deuxième cycle systémique, sous l’influence de l’empire musulman initial. Le premier califat omeyyade, centré sur la Syrie et la Méditerranée, laissait une certaine liberté à des groupes musulmans dissidents pour développer le commerce de l’océan Indien. Ce sont les Kharidjites de Bassora et leurs alliés Ibadites d’Oman qui allaient saisir l’opportunité, en développant d’abord le commerce des esclaves destinés à assainir les marais du sud de l’Irak, à partir des ports négriers de Pemba et de Zanzibar. Sous le califat abbasside après 750, l’ivoire allait devenir une denrée de plus en plus importante, réexportée par les Arabes vers l’Inde, et surtout la Chine tandis que la demande d’esclaves devait faiblir suite à la révolte de ces derniers en Irak (868). À côté de ces deux produits, c’est aussi le bois de construction qui était exporté (bois dur et poteaux extraits de la mangrove), la corne de rhinocéros, l’ambre gris utilisé dans la parfumerie, enfin les carapaces de tortue. Au total, le commerce entre le golfe Persique et l’Afrique de l’Est était devenu régulier, voire routinier, dès les IXe et Xe siècles.

La liaison avec la mer Rouge allait cependant reprendre aux Xe et XIe siècles sous l’impulsion de la dynastie égyptienne des Fatimides. Ces derniers viennent d’abord en Afrique de l’Est pour l’or (exploité dans les régions du Limpopo et du Zimbabwe) qu’ils fondent ensuite pour obtenir le dinar, monnaie de référence de l’époque. Ils y créent aussi, en partie pour répondre à des besoins byzantins et européens, une forte demande pour l’ivoire.

                2) Les relations politiques Les Portugais avaient eux aussi remarqué une différence entre les Africains du continent et les gens de la côte, qu’ils assimilaient à des Maures ou des Cafres par référence à leur religion et à leurs coutumes. C’est au début XIXe qu’apparaissent les premières utilisations du mot « swahili » comme reconnaissance d’une population ; les colons ayant besoin de classifier et de différencier les populations africaines. Les Swahilis se reconnaissent comme tels depuis…

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Exposé complet sur l’Afrique face a la colonisation

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  Thème : Les Africains face à la colonisation                                   
Plan                      
Introduction
 La résistance et les révoltes.
Les résistances
Les révoltes
Les révoltes armées
Les révoltes culturelles
Les révoltes populaires
La naissance des mouvements nationalistes.
Les mouvements nationalistes en Afrique du Nord
Les mouvements nationalistes en Afrique noire    
Conclusion      

Introduction

    Au début du XX siècle, la quasi-totalité des territoires Africains étaient sous domination coloniale Européenne. Chaque puissance Européenne a établi son système colonial.

De ce fait plusieurs Africains étaient réfractaires à la domination étrangère  d’où des résistances et des révoltes. Ces attitudes face à la colonisation seront les moteurs de l’essor des mouvements nationalistes en Afrique.

Le présent exposé se propose d’analyser d’une part les résistances et les révoltes Africaine face à la  colonisation et d’autre part nous analyserons l’essor des mouvements nationalistes.

  1. Les résistances et les révoltes
  2. Les résistances

       Les résistances face à la domination étrangère ont prix deux formes : les résistances passives et les résistances actives

  •  Les résistances passives : ce sont des résistances non violentes. Les populations africaines refusaient tout simplement les volontés des puissances coloniales. On peut citer :
  • Le refus de payer les impôts
  • Le refus des peuples d’envoyer leurs enfants à l’école du blanc
  • Le refus de se faire enrôler dans l’armé colonial
  • Les résistances actives : Dans ces types de résistances les africains recouvraient à la force militaires. Ils utilisaient les flèches.

Exemples :

  • La guérilla c’est-à-dire des attaques à petits groupes.
  • Les embuscades : elles consistaient à attaquer les colons par surprise souvent pendant la nuit.
  • Les révoltes

La révolte est un mouvement d’autodéfense pour garder…

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Exposé complet sur la démocratie dans les sociétés traditionnelles africaines

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INTRODUCTION

  1. LES DIFFÉRENTSSYSTÈMES POLITIQUES DES SOCIETES TRADITIONNELLESAFRICAINES

1) les sociétés « anarchiques » :

2) les « chefferies » :

3) Les « Etats » :

II- POUVOIR DANS LES SOCIÉTÉS TRADITIONNELLES AFRICAINES :

III-DÉMOCRATIE DANS LES SOCIÉTÉS TRADITIONNELLES AFRICAINES

  1. Afrique, mère de la démocratie
  2. Les parlementaires africaines

IV-LA DÉMOCRATIE EN AFRIQUE PRÉCOLONIALE

V-LADÉMOCRATIE AFRICAINE CONTEMPORAINE

V-SOLUTION POUR UNE AFRIQUE PLUS DEMOCRATIQUE

CONCLUSION

INTRODUCTION

« La démocratie est le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple. » L’actualité de cette assertion de l’ancien président américain Abraham Lincoln (1809-1865) n’est plus à démontrer, tant elle transparaît dans la plupart des discours politiques en Afrique et dans les récents évén­e­ments en Côte d’Ivoire, en Tunisie, en Égypte, en Libye… Nombreux sont ces pays africains qui ont été épinglés et mis au ban de la communauté internationale pour déficit démocratique né d’intermi­nables crises politiques. En effet, la communauté internationale qui était originellement permissive sur la gestion politique des États a fait désor­mais de la légitimité démocratique une condition de reconnaissance des gouvernements. De nombreuses crises d’ordre politique, social, économi­que et institutionnel ont abouti à des révolutions ou soulèvements popu­laires, à des rébellions et, pire encore, à des coups d’État militaires

« L’Afrique ne serait pas prête pour la démocratie ! ». Ce propos prêté à l’ancien président français Jacques Chirac (1995-2007), choquant pour plus d’un Africain sur deux, mérite qu’on s’y intéresse pour analyser les arguments qui militent en faveur de cette croyance et en faire une contre-analyse en démontrant que l’Afrique est déjà en marche vers la démocratie.

  1. LES DIFFERENTS SYSTEMES POLITIQUES DES SOCIETES TRADITIONNELLESAFRICAINES

On retrouve dans plusieurs ouvrages d’ethnologie une classification des systèmes politiques africains. Je citerai ces classifications sans m’y attarder préférant m’attacher à l’étude de cas concrets.

1) les sociétés « anarchiques » :

L’anarchie, suivant l’étymologie grecque, c’est l’absence de commandement. Ce système politique se rencontre en Afrique noire chez des peuples ou n’existe pas d’organisation étendue, mais seulement des groupements sociaux ayant pour base les lignages, la religion, les associations. Dans chaque unité territoriale, on constate un équilibre entre ces divers éléments et aussi l’homogénéité des conditions matérielles. Il n’est pas besoin de commandement ni de force publique : les conflits sont réduits au minimum par l’absence de différences sociales, par l’impossibilité pour le l’un des éléments de prendre le pas sur l’autre, et surtout par l’obéissance naturelle de tous à la coutume ancestrale. Les sanctions de la désobéissance sont seulement morales (mépris général) ou religieuses (châtiment mythique sous forme de maladie, mort, calamités diverses frappera le coupable) ; dans des cas très graves seulement, la collectivité rejette l’individu coupable, désormais condamné à adhérer, privé de protection, retranché de son monde et de ses dieux. Quelques exemples :

2) les « chefferies » : La chefferie est un groupement de lignages ou de familles etendues autour d’un chef qui est en soi un membre de la famille la plus anciennement établie dans le pays, soit un personnage religieux. Les lignages et les associations subsistent et contrebalancent plus ou moins le pouvoir du chef. Parfois le chef profite des circonstances pour accroître son pouvoir ; parfois une évolution se produit dans le sens contraire, vers…

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Exposé complet sur la conception de l’amour dans la société Bwamu

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PLAN

INTRODUCTION

  1. LES MANIFESTATIONS DE L’AMOUR BWAMU
  2. Les formes d’union dans le peuple bwamu
  3. Le mariage régulier :
  4. Le mariage par enlèvement :
  5. La culture bwamu
  6. L’amour bwamu
  7. La vie relationnelle entre Terhé et hakanini
  8. Le portrait de Terké
  9. Le protrait de hakani
  10. Le pacte amoureux entre Terké et hakanini
  11. Les conséquences de Terké et hakanini
  12. La morale de cette forme d’amour dans la civilisation bwamu

CONCLUSION

INTRODUCTION

La littérature négro-africaine née du besoin de l’homme noir de se faire entendre a pris de l’ampleur après les indépendances. C’est ainsi que de nombreux élites africains se sont engagés à dénoncer les méfaits de la colonisation tout en valorisant leur culture. Parmi ces écrivains, nous pouvons citer Nazi Boni avec son ouvrage crépuscule des temps anciens qui est le premier roman Burkinabé.

Si œuvre constitue un tableau attachant de la Haute-Volta du temps jadis. Elle est aussi le miroir de sa civilisation Bwamu et de la vie de cette société sous toutes ses facettes. C’est l’occasion pour l’auteur de montrer à la fois l’originalité et la richesse des anciennes civilisations africaines fondées sur des valeurs d’honneur, et comment l’amour qui était vécu chez les Bwan.

Notre tâche s’articulera autour des réalités socioculturelles qui conditionnent l’amour au sein de la société bwa.

  1. LES MANIFESTATIONS DE L’AMOUR BWAMU
  2. Les formes d’union dans le peuple bwamu
  3. Le mariage régulier :

Dans le bwamu, le mariage ne se faisait pas comme on le connait à l’état actuel dans la société moderne. Les fiançailles remontent généralement à la naissance des jeunes gens. C’est le jeune garçon qui exprime son intention dès la naissance de la fille. Mais cette première intention du garçon n’est pas suffisante. Il reviendra à la jeune fille de confirmer ces fiançailles antérieures dès qu’elle peut exprimer son consentement. ( Voy. Paul GUEBHARD, VIe notes contributives à l’étude de la religion, des mœurs et des coutumes des Bobo du cercle de Koury). La procédure étant assez souple, il ne s’agit pas de ce point de vue d’un mariage forcé puisque ces fiançailles ne sont pas irrévocables. La fiancée pourra toujours manifester un avis contraire. Dans l’hypothèse où elle accepte, les divers protocoles et usages traditionnels s’en suivront.

  • Le mariage par enlèvement :

Selon Paul GUEBHARD, « dès qu’un homme désire une femme d’un autre village, il ne peut procéder que par enlèvement ». Nous avions annoncé plus tôt que les fiançailles remontent généralement à la naissance des jeunes gens. Alors le mariage par enlèvement apparait ici comme une exception au mariage régulier. Il est vrai que la jeune fille est toujours promise dès sa naissance mais cette promesse demeure très précaire. On sait que des jeunes d’autres villages peuvent venir enlever la promise de façon inattendue. Mais ces pratiques concernant le mariage par enlèvement est sources de querelles entre les jeunes auteurs « du forfait » et les jeunes du village originaire de la fille enlevée. Ilfaut dire que…

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Exposé compler sur l’Empire du Gwiriko

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Introduction

  1. Origine
  2. Situation géographique
  3. Organisation
  4. Organisation économique
  5. Organisation sociale
  6. Organisation religieux
  7. Evolution
  8. Apogée- Déclin
  9. L’apogée
  10. Le déclin

Conclusion

Introduction

L’empire Gwiriko est créé vers 18èsiècle dans la partie Ouest du Burkina Faso par un prince Dioula du nom de Famangan OUATTARA petit frère de Sékou OUATTARA fondateur du royaume de Kong en pays Senoufos dans le Nord de la côte d’Ivoire. Le Gwiriko était un royaume vassal de Kong. LE royaume avait pour objectifle contrôle des routes commerciales qui reliaient Kong au site du fleuve Niger.

  1. Origine

Les gens s’interrogent de plus en plus aujourd’hui sur la signification réelle du nom « Gwiriko »  Quelle est son origine ? Etait-ce vraiment le nom d’un royaume comme l’avait fait croire Dominique Traoré ? Quelle était l’étendue de ce royaume ? Ou s’agit-il simplement d’un mythe ?

Pour comprendre l’origine du nom Gwiriko, il faut remonter à l’expansion commerciale et politique de Kong au début du XVIIe siècle. Cetteexpansion commerciale est le fait des Jula dont les ancêtres, les Wangara, étaient en activité dans les savanes Ivoiriennes et Ghanéennes depuis au moins le XVe siècle et avaient fondé les cités marchandes de Boron (Côte d’Ivoire) et de Bégho (ghana). A la faveur du commerce atlantique, ces cités tombent en déclin, et leurs populations se dirigent vers Kong qu’elles transforment, avec d’autres marchands venus d’horizons divers, en une métropole commerciale.

  1. Situation géographique

Le « Gwiriko » vaste empire ensemble qui s’étend de la Comoé au Niger, passe, vers 1714, sous lautorité de Famanga Ouattara, conquérant venu du Kong, qui réalisa son unité.Banfora, Gaoua, Ouagaye et Safané étaient des marchés internationaux Bobo était la plus grande métropole de la boucle du Mouhoun.

  1. Organisation
  2. Organisation économique

L’utilisation de la terre guiri pour designer ces pays ne s’explique pas autrement. Au-delà de cedésert sur la route en direction de Dlenné se trouve à L’ouest de la falaise dans une région relativement populaire. Sya, la future Bobo-Dioulasso, d’où le nom de guiriko, qu’ils appliquèrent a cette contrée ou ils pouvaient vendre leurs marchandes  et acheter des produits. La construction du gwiriko, un espace commerciale est l’œuvre des marchandes. Cette construction est marquée par une considérable implantation des lignages Dioulas. Ces lignatures sont particulièrement nombreux à Syaqu’ils ont transformé en un…

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