Exposé complet sur le Service National pour le Développmeent (SND)-Burkina Faso

INTRODUCTION

I – HISTORIQUE ET GRANDES DATES DU SERVICE NATIONAL DU DEVELOPPEMENT

II – L’INTERET DU SERVICE NATIONAL DU DEVELOPPEMENT POUR LE BURKINA FASO

III – PERSPECTIVES

CONCLUSION

INTRODUCTION

Le Service National a été institué au Burkina Faso en 1984 sous la dénomination de Service National Populaire (SNP).

A partir de 1990, le SNP connaît de profondes mutations aussi bien dans les orientations que dans le fonctionnement ; il s’agit maintenant de s’orienter plus vers les tâches de développement socio-économique du Burkina Faso. Avec son nouveau statut d’Etablissement Public à caractère Administratif (EPA), le SND pourrait connaître à nouveau un dynamisme et un rayonnement à la hauteur des attentes de tous.

I – HISTORIQUE ET GRANDES DATES DU SERVICE NATIONAL DU DEVELOPPEMENT

* Le Service National Populaire (SNP) a été formellement créé par le décret N° 84 272 / CNR / PRES du 18 juillet 1984 et défini comme un service civique obligatoire pour tout Burkinabé âgé de 18 à 35 ans. Il faut signaler que ce texte est venu légaliser une situation de fait sur le terrain car dès début juillet, la première promotion était déjà à pied d’œuvre au centre d’instruction de Bobo.

 * Les débuts du SNP ont été exécutés au Centre d’Instruction de Bobo Dioulasso, donc au sein des unités traditionnelles de l’Armée. Cette formule a concerné les trois (03) premières promotions de Juillet 1984 à Septembre 1985.

. * L’année 1986 a été également celle de la “nouvelle formule” et a consisté à l’intégration des volets production végétale et animale au sein du SNP ; il fallait “valoriser la production” (expression consacrée à l’époque) ; d’où la création de deux unités de production par régiment Dipeo et Boulon pour Nasso, Koury et Boron pour Badala, Zabré et Kadro pour Loumbila ; il faut signaler que le 6ème régiment PK 52 de Fada ne disposait pas d’unités de production propres. Nous étions à la 4ème promotion du SNP.

Au niveau des informations et de la communication, il faut signaler la parution de deux journaux (Leydimen et la Voix de l’appelé) qui malheureusement n’ont pas fait long feu.

*1989 : création d’une régie des recettes à la Direction du SNP en vue du recouvrement des reversements du différentiel entre salaire et pécule des appelés du secteur privé et de la vente des produits agricoles. Le texte de base de cette régie est le Raabo AN VI 413 /FP/SEFB/SG/DCP du 26 septembre 1989. *1989 : les conditions difficiles et l’enclavement entraînent la dissolution du 6ème Régiment SNP PK 52 de Fada.

*1990 : les raisons ci-dessus évoquées conduisent à la fermeture des unités de production de Zabré et de Boulon. *1990 : la phase militaire est supprimée au SNP et remplacée par une formation civique patriotique et pédagogique, concomitamment, les régiments sont transformés en centres de formation

.* Septembre 1992 : le Conseil des Ministres du 30 septembre 1992 approuve un rapport interministériel créant une nouvelle structure appelée Service National pour le Développement (SND) ; cette structure est le résultat des correctifs apportés à l’ancienne institution du SNP.

* 15 décembre 1993 : adoption de la loi 48 /93/ADP portant création d’un service national dénommé Service National pour le Développement en abrégé SND.

*30 mai 1995 : dissolution du centre de formation de Nasso. (Cf. arrêté N° 95-0058/DEF/CAB/ du 30 mai 1995) portant dissolution du centre de formation du SND basé à Nasso. Ce centre a été rétrocédé à l’Université Polytechnique de Bobo (UPB).

*10 juillet 1998 : adoption de deux décrets d’application de la loi 48 /93/ADP, l’un, le décret N° 98-291/PRES/PM/DEF portant organisation, fonctionnement et attributions du SND ; l’autre, le décret 98-292/PRES/PM/DEF portant modalités d’accomplissement du SND. En 1999, le SND est érigé en établissement public à caractère administratif par le décret n°99-445/PRES/PM du 07 décembre 1999 et placé sous la tutelle technique du Premier Ministère.

II –L’INTERET DU SERVICE NATIONAL DU DEVELOPPEMENT POUR LE BURKINA FASO

Au regard des objectifs du SND tel que amené la jeunesse à prendre conscience quant aux différents tâches de développementsocio-économique du pays il présenteplusieurs avantages non négligeable pour le pays.

D’abord, le SND contribue à la scolarisation de  nombreux enfants et à la construction des infrastructures (scolaires,sanitaire,routier …).

Ensuite sa contribution à la prise de conscience de la jeunesse  est un atout favorable pour le Burkina Faso à travers l’engagement que va prendre chaque jeune  à développer le paye. En plus le SND s’engage à procurer à la jeunesse  des rudiments de formation professionnelle (secteur informel), canal en Amon de l’emploi ainsi cet éveille de la jeunesse est un cadre espèrentpour un développement meilleur.

Enfin, son coté développant l’esprit d’initiative des jeunes procure au Burkina Faso une jeunesse dynamique pour un développement durable.

III – PERSPECTIVES

Après l’ouverture du Centre de Formation et de Production de Loumbila dans la province de l’Oubritenga (octobre 2002 ) et celui de Badala dans la province du Mouhoun (octobre 2004), il a été élaboré un plan pluriannuel d’érection de centres de formation et de production dans les onze (11) régions administratives qui n’en disposent pas ainsi que la définition d’un plan de formations professionnelles adapté prenant en compte les potentialités de chacune de ces régions. Le SND envisage également de toucher le maximum de jeunes par l’accroissement des effectifs à recruter et en donnant la priorité aux jeunes issus du milieu rural et les jeunes en situation d’échec scolaire. Un autre aspect des perspectives réside dans l’amélioration des conditions de vie des appelés (pécule, santé, logement). Les populations seront sensibilisées quant au sens et aux objectifs du SND. Les appelés seront orientés vers des actions d’actualité (lutte contre la désertification, protection de l’environnement, VIH/SIDA, etc. ). Des dispositions seront prises avec les communautés locales et les autorités décentralisées pour favoriser l’installation des jeunes formés, leur insertion professionnelle et leur suivi. La Direction Générale du SND est à la recherche de partenaires au développement pour le financement de certains aspects de ses activités dans les Centres de Formation et de Production.

Enfin les initiatives seront diversifiées pour accroître les recettes du SND : cela allègera la part contributive du budget national et permettra au SND d’effectuer d’autres investissements au profit des jeunes

CONCLUSION

Le Service National pour le Développement a suscité des espoirs au sein de la jeunesse. A l’occasion de sa mise en œuvre, des difficultés somme toutes normales ont apparu et entraîné des insatisfactions. Cependant, la canalisation de la jeunesse, pourvu qu’elle trouve un environnement propice peut constituer un levain important dans la stratégie de développement d’un pays ; dès lors, loin de constater les insuffisances comme des motifs d’abandon de l’institution, il convient de les corriger en ayant toujours à l’esprit la promotion de la jeunesse.

Exposé complet sur le Royaume du Dahomey (Origine, évolution, civilisation et déclin)

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PLAN

INTRODUCTION

  1. HISTOIRE DU ROYAUME DU DAHOMEY:
  2. Origine et Evolution
  3. Déclin
  4. ORGANISATION DU ROYAUME DU DAHOMEY
  5. Organisation politique
  6.  Organisation économique
  7. Organisation sociale
  8. LA CIVILISATION DU ROYAUME DU DAHOMEY
  9. Le culte des morts
  10. Les religions du serpent (vodou)
  11. Les Amazones
  12. Résumé : Le royaume était bien organisé :

CONCLUSION

INTRODUCTION

Entre le XVIIe siècle et le XIXe siècle l’Afrique occidentale  côtière connait la domination de plusieurs royaumes parmi lesquels nous avons le royaume du Dahomey qui s’étendait dans les régions actuelles du Benin autour de la ville d’Abomey. La naissance de ce royaume et son développement furent favorisés par la traite négrière. Comme d’autres royaumes le royaume de Dahomey avait aussi, une organisation politique, économique et sociale. Il fut  origine d’une civilisation.

  1. ORGANISATION DU ROYAUME DU DAHOMEY
  2. Origine et Evolution

Selon les traditions locales, des populations d’origine Yorouba auraient quitté auraient quitté au  XVIe siècle la région de Ketou en pays Yorouba (Ouest et Sud du Nigéria est du Benin) pour s’établir à Tado près  du fleuve Mono Deux groupes s’y forment : Les Ewe (ou Ewe) qui se dirigent vers l’Ouest (actuel Togo) et les Fons (Dauma ou Dahomees) qui s’installent à l’Est. Les Ewe (ou Ehve) créent Nuatja. Mais l’avenement d’un pouvoir autoritaire pousse vers 1700-1750 l’ethnie à se diviser en trois groupes : les Anlos (ou Anglo) l’Est de la Volta (fleuve vers le golfe de Guinée) et les Ouatchis. Ils s’installent dans les régions où ils vivent aujourd’hui et forment des chefferies ou république dirigées par des conseils de sages.

Les forts eux fondent trois royaumes. Vers 1600, ils fondent Allada (royaume des Ardres ou d’Adra). Puis des guerres de succession conduisent à la formation de deux autres royaumes Abomey et Adjatche (Porto Novo)

Le royaume d’Abomey, rebaptise plus tard Dahomey probablement par mauvaise retranscription européenne, prend vite le dessus lors de guerres de conquête contre ses voisins et les Yorouba. Le royaume  de Dahomey, est ainsi crée en 1625 par le peuple fon, établi depuis peu de temps dans la région en provenance d’un royaume Yorouba voisin (cf. ci-dessus) ou qui résulte de mariages entre le peuple Aja (ou Ada) et….

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Exposé complet sur les techniques de raccordement d’un Batiment

Plan

Introduction

  1. Raccordements circulaires
  1. Raccordements circulaires simples
  2. Raccordements circulaires composés
  1. Le raccordement parabolique
  1. Clothoïde
  1. Le tracé

Conclusion

Introduction

Un bâtiment au sens commun est une construction immobilière, réalisée par intervention humaine, destinée d’une part à servir d’abri, c’est-à-dire à protéger des intempéries des personnes, des biens et des activités, d’autre part à manifester leur permanence comme fonction sociale, politique ou culturelle. Un bâtiment est un ouvrage d’un seul tenant composé de corps de bâtiments couvrant des espaces habitables lorsqu’il est d’une taille importante. Le terme « édifice » désigne tout ce qui est édifié : un ensemble architectural ou industriel, un ou plusieurs bâtiments jointifs ou non ayant la même destination, une construction bâtie pour aménagement d’un terrain, un signale compressif

Juridiquement, le terme de « bâtiment » désigne en général la construction bâtie, alors que l’adjectif « immeuble » désigne plutôt des biens ne pouvant pas être déplacés, qu’il s’agisse de bâtiment ou de terrain1.

Le bâtiment au sens commun est aussi le secteur d’activité professionnel de la construction des édifices et des voies et routes ; un secteur économique souvent dénommé bâtiment et travaux publics

  1. Raccordements circulaires

 Après avoir présenté l’action de la force centrifuge sur des tracés courbes de routes, M. DurandClaye, dans ses cours professés à l’Ecole des Ponts et Chaussées avant 1895, en déduit qu’il y a intérêt à faire les rayons de courbes aussi grands que possible pour en atténuer l’effet. Mais pour des raisons économiques, lorsque le tracé est courbe comme pour contourner un obstacle, on doit faire les rayons aussi petits que possible pour diminuer la longueur de ce tracé. En se basant sur les voitures tractées par des chevaux, il indique que
… la pratique a démontré que, pour les vitesses ordinaires des voitures
rapides, que l’on peut évaluer à 12 kilomètres à l’heure en moyenne, un
rayon de 30 mètres était suffisant. Pour des vitesses plus grandes, allant
jusqu’à 15 ou 16 kilomètres, il faudrait avoir 50 mètres.
Il faut donc porter les rayons à 50 mètres au moins, et, en tout cas, ne
jamais admettre de moins de 30 mètres.
Dans quelques contrées très accidentées, où les terrassements coûtent cher,
on descend quelquefois au-dessous de cette limite, et on admet des rayons
de 25 et même de 20 mètres. Mais dans ces contrées, les vitesses ne sont
jamais bien grandes, par suite de la succession de fréquentes rampes de
pentes qui s’y rencontrent.

  1. Raccordements circulaires simples

C’est la solution la plus simple pour le raccordement de deux axes rectilignes. On choisit le rayon R en fonction du type de route (cfpage 16 de l’annexe) et on en déduit la position des points de tangence T et T’.
S est construit à l’intersection des deux alignements droits.
T et T’ sont alors définis par :
ST = ST’ = R tan et on a
SO = R sin  15 On procède ensuite au piquetage de plusieurs points de l’arc. Il suffit d’utiliser un appareil permettant de mesurer les angles. On cale l’angle en T (angle entre la tangente au cercle et T‘) puis l’arc décrit avec le même angle est l’arc de cercle recherché. De plus cette méthode est intéressante lorsque le point
O est inaccessible. Le schéma ci-contre illustre un raccordement circulaire simple sur l’avant projet de raccordement entre le pont Flaubert et la sud III. L’arc de cercle employé ici est celui d’un cercle de rayon 400 m. Pour construire un raccordement circulaire, on peut aussi pratiquer la méthode suivante reposant également sur la mesure d’angles. Les angles ^STT’ et ^ST’T du triangle isocèle STT’ sont égaux. On les partage en n angles égaux. Les demi-droites ainsi définies, d’origines TetT’, rencontrent les segments [ST] et [ST’] en des points A0 = T,

  • Raccordements circulaires composés

 Première Méthode Si les circonstances locales obligent à limiter certains alignements rectilignes ou s’il s’agit de raccorder deux points A et B, on peut employer une succession d’arcs de cercles de rayons différents. Analysons la figure ainsi constituée : Notons S le point d’intersection des deux droites définies par les deux segments. Nous ne supposerons ici que SA > SB.
AM⌒ et BM⌒ sont les deux arcs de cercles de centres respectifs a et b. On notera ces deux cercles (Γa) et (Γb). (CD) est la tangente commune à ces deux arcs en M. On construit alors le cercle (Γ) de centre O et tangent aux trois droites (AC), (CD) et (BD). On note A1, M1 et B1 les points de tangence respectivement aux droites tangentes citées. (CA) et (CM) sont deux tangentes au cercle (Γa) donc CA = CM. Ces deux droites sont aussi tangentes à (Γ) d’où CA1 = CM1. Par soustraction, ces deux dernières égalités permettent d’obtenir AA1 = MM1. De même, en considérant le point D, point de rencontre des deux tangentes (DM) et (DB) aux deux cercles (Γ) et (Γb), on trouve
MM1 = BB1. 17
O est le centre du cercle (Γ) dont (SA) et (SB) sont deux tangentes donc O se trouve sur la bissectrice de ces deux droites. Comme A1, M1 et B1 sont trois points du cercle (Γ), OA1 = OM1 = OB1, nous avons montré que
AA1 = MM1 = BB1 et nous avons également que OA^1A = OM^1M = OB^1B = π 2 donc les trois triangles
OA1A, OM1M et OB1B sont isométriques ce qui permet d’écrire OA = OM = OB. Les trois points A, M et B sont sur un même cercle de centre O. Nous avons trouvé AA1 = BB1, et SA1 = SB1 puisque (SA) et (SB) sont deux tangentes au cercle (Γ). Nous avons donc :
SA1 = SA – AA1 = SA – BB1 = SA – (SB1 – SB) = SA – (SA1 – SB) Donc 2SA1 = SA + SB Soit
SA1 = SA + SB 2 Ce qui permet de placer le point A1 connaissant Les points S, A et B. Conclusion : Se donner la tangente (CD) du raccordement à construire permet de construire les deux arcs. En effet, les données de A, S et B permettent de construire A1 puis donc le cercle (Γ). Le point M est alors le point d’intersection de ce cercle avec la tangente (CD). Il est alors aisé de construire les centre a et b des deux arcs de cercle. Remarque : Les droites (bB) et (aA) se coupent en P. Notons H, H1 et H2 les projetés orthogonaux respectifs de O sur la droite des centres des arcs (ab), la droite (PB) et la droite (PA). Le quadrilatère OM1MH est un rectangle et MM1 est constante (égale à
AA1) donc la distance de cette droite (ab) au point O est constante. Notons (γ) le cercle de centre O passant par
H. On a OH = MM1 = BB1 et (OB1)//(PB) donc la droite (PB) est aussi tangente au cercle (γ). De même la droite (PA) est tangente à (γ). Dans un souci de diminuer la variation de courbure au point M du raccordement de routes, il doit être envisagé d’obtenir une construction avec une variation de rayons minimale. Cette différence est la longueur ab. Elle est 18 définie par les deux droites (PA) et (PB) tangentes à (γ) et fixes comme perpendiculaires en A et en
B. Cette longueur sera minimale lorsque (ab) sera perpendiculaire à la bissectrice de l’angle ^APB, la droite (PO). Soit x une mesure de la moitié de l’angle formé par les deux droites (SA) et (SB) : x = 1 2

OB = H^2OA conduit à montrer que la perpendiculaire à (OP) est la droite (SO). La différence des rayons des deux arcs de cercle du raccordement sera donc minimale lorsque la droite des centres (ab) sera parallèle à la bissectrice de l’angle formé par les deux droites (SA) et (SB)

II-  Le raccordement parabolique
 Si nous ne tenons pas compte de la force centripète agissant sur le mobile parcourant la route étudiée et si on ne recherche que la courbe dont la variation de pente est constante, nous montrerons plus loin que la courbe solution entre deux raccordements rectilignes donnés ou bien deux points donnés dont on connaît les pentes est une courbe parabolique. Cette courbe peut-être envisagée dans le cas d’une portion de route dont la vitesse est faible ce qui occasionne ainsi une faible force centripète agissant sur le mobile. Le raccordement parabolique était également utilisé sur le terrain car sa mise en pratique était parfois plus simple que le raccordement circulaire. Nous aurons besoin au préalable de quelques propriétés sur la parabole démontrée analytiquement en faisant appel aux équations de paraboles dans un repère donné. Un exercice plus difficile pour des élèves du lycée serait de démontrer ces propriétés géométriquement. Considérons une parabole dans un repère ortho normal centré en son sommet O. Une équation est alors de la forme y = ax2. Soient M(xM;axM2) et N(xN;axN2) deux points de cette parabole, (TM) et (TN) les tangentes respectives à la parabole en M et N. Déterminons le point d’intersection S entre ces deux tangentes (ce point existe si xNxM) : Elles ont pour équations : (TM) : y = axM2 + 2axM(x – xM) et (TN) : y = axN2 + 2axN(x – xN) Le point d’intersection S a pour coordonnées, par la résolution du système formé par les deux équations .a(xN+ xM) qui est la pente de la tangente à la parabole en le point d’abscisse xM + xN 2 . (En utilisant le nombre dérivé, cette pente est égale, au point d’abscisse x, à 2ax.) En faisant tendre h vers 0, la tangente en J à la parabole est également parallèle à (MN). 22 Conclusions : – Si on joint le point de concours S de deux tangentes en M et N à une parabole, alors la droite définie par S et le milieu de [MN], I, est parallèle à l’axe de la parabole. – Toutes les cordes de la parabole parallèles à (MN) ont leur milieu sur la droite (SI). Si on note J le point de la parabole situé sur (SI), alors J est le milieu de [SI] et la tangente en J à la parabole est également parallèle à (MN). Tracé d’un raccordement parabolique par la détermination de sommets d’arcs : Nous avons démontré ci-dessus que si l’on joint le milieu E de la corde [BC] de deux tangentes à la parabole recherchée, et si l’on note encore
S le point d’intersection de ces deux tangentes, le milieu F du segment [ES] appartient à la parabole. Pour obtenir d’autres points de la parabole, on trace la tangente en F à la parabole comme étant parallèle à la corde [BC]. On recommence le procédé avec la tangente en B et la tangente en F, d’une part, ainsi qu’avec la tangente en F et la tangente en C, d’autre part. Avec les nouvelles tangentes en I et en J comme sur la figure ci-contre (provenant du livre de topométrie de M. Eyrolles), on peut réitérer le procédé pour construire de nouveaux points de la parabole. Tracé par les droites enveloppes : Le raccordement parabolique peut aussi être tracé en le considérant comme enveloppe d’une droite qui se meut en s’appuyant sur les tangentes (SB) et (SC) et de telle sorte que ces tangentes soient constamment coupées par la droite en partie inversement proportionnelles : on a divisé pour cela [SB] et [SC] en un même nombre de parties qui sont jointes comme sur la figure ci-dessous. Si les subdivisions sont suffisamment nombreuses, on peut considérer les intersections entre deux droites successives comme proches des points en lesquels elles sont tangentes.

                                      III- Clothoïde
Le raccordement direct de deux alignements droits par un arc de cercle. On peut raccorder des segments de droites et des arcs de clothoïdes entre eux de sorte que la courbure varie continûment (ce qui correspond aussi à la force centrifuge subie par un observateur suivant ce mouvement). Là encore, le lecteur retrouvera dans le chapitre étudiant le profil en travers les conditions sur la longueur des courbes de transition à employer ; celle-ci devant être limitée afin de faciliter l’appréciation de la courbe finale par l’usager du bâtiment. Cette forme est également adoptée pour les tracés de courbes pour les chemins de fer parce qu’un véhicule suivant ce tracé à une vitesse constante et subit une accélération angulaire constante.

IV- Le tracé

Le tracé en plan d’un bâtiment est constitué d’une succession de courbes et d’alignements droits séparés ou non par des raccordements progressifs. Le tracé de la ligne dans le bâtiment peut être choisi
librement. Jusqu’à deux raccordements, Swisscom a
besoin de:
un tube d’installation de minimum M32 et pour plus de deux raccordements de: un tube d’installation de minimum M40

Conclusion

Le raccordement est beaucoup observé dans les constructions telles que les bâtiments et les routes ect….

Il intervient également dans les montages électriques dans les bâtiments.

Exposé complet sur le mythe de Tantale

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Plan

Introduction

  1.  Mythe
  2.  Interprétation
  3. Bibliographie

Conclusion

Introduction

Dans la mythologie grecque, Tantale (en grec ancienΤάνταλος / Tántalos, le rapprochement avec τάλας / tálas, « malheureux », est une étymologie populaire) est un mortel, fils de Zeus et de la nymphe Plouto, et roi de Phrygie ou de Lydie. Il est l’époux de Dioné, fille d’Atlas, et le père de Pélops, de Niobé, et de Brotéas.

 

  1. I-                  Mythe.

Les dieux honorèrent son amitié et ils le reçurent à leur table divine où il put devenir immortel en mangeant leur nourriture. Selon Pindare, il aurait volé l’ambroisie pour donner ce mets divin aux mortels.

Selon Pausanias, lorsque le voleur Pandaréos vint lui remettre le chien d’or sacré volé dans le temple de Zeus en Crète, Tantale nia le posséder puis refusa de le rendre à Hermès. Selon Ovide, il sert aux dieux son propre fils Pélops pour le simple plaisir de tester leur omniscience. Selon les versions plus anciennes, une ou deux divinités, notamment Déméter, tourmentée par l’enlèvement de sa fille Perséphone, auraient quand même consommé une des épaules. Zeus aurait ordonné à Hermès de ramener l’enfant à la vie pour prendre la place de son père et de remplacer…

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Exposé complet sur le secteur secondaire du Burkina

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INTRODUCTION

  1. L’ARTISANAT
  2. Les Forces
  3. Les Faiblesses
  4. LES MINES
  5. Les Forces
  6. Les Faiblesses
  7. L’INDUSTRIE
  8. Les Forces
  9. Les Faiblesses

CONCLUSION

INTRODUCTION

Le secteur secondaire contribue pour 22,2% à la formation de la valeur ajoutée du PIB réel du Burkina Faso. Ce secteur possède de nombreux atouts dont la valorisation pourrait conduire à relever sa contribution à la richesse nationale. Les stratégies élaborées en vue de développer le secteur primaire devraient entraîner les autres secteurs de l’économie notamment le secondaire.

  1. L’ARTISANAT
  2. Les Forces

On estime à plus de 900 000 le nombre des artisans dont 500 000 femmes. 85 % de ces artisans exercent leurs activités dans les deux principaux centres urbains de Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso (capitale économique). L’artisanat contribue ainsi pour environ 30 % du produit intérieur brut (PIB). Le secteur, en pleine croissance depuis la dévaluation du F CFA intervenue en janvier 1994, est…

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Exposé complet sur le Royaume Zulu de Chaka

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INTRODUCTION

  1. ORIGINE ET EVOLUTION DU ZOULOU
  2. Naissance du royaume
  3. Ascension de Dingane
  4. Affrontement avec les Voortrekkers et ascension de Mpande
  5. Déclin du royaume Zoulou
  6. CIVILISATION ZOULOU
  7. Organisation politique
  8. Langue
  9. Religion et Croyance

CONCLUSION

INTRODUCTION

Le royaume zoulou, parfois désigné sous le terme d’empire zoulou (ou assez imprécisément Zoulouland) est un ancien territoire d’Afrique australe dominé par les Zoulous, situé originellement le long de la côte de l’océan Indien entre la rivière Tugela au sud et la rivière Pongola au nord, au nord-est de l’actuelle province du KwaZulu-Natal en Afrique du Sud.

En 1970 est créé, dans le cadre de l’apartheid, le bantoustan KwaZulu. La région est réintégrée dans l’Afrique du Sud en 1994 et compose aujourd’hui la province du KwaZulu-Natal.

  1. ORIGINE ET EVOLUTION DU ZOULOU
  2. Naissance du royaume

Chaka est à l’initiative de diverses réformes militaires, sociales, culturelles et politiques, en centralisant les pouvoirs au sein de l’État zoulou et en y pratiquant une véritable hiérarchie. Ses réformes les plus importantes sont celles de son armée, avec des tactiques innovantes ainsi que des nouvelles armes qu’il conçoit lui-même, et de son bras de fer avec les chefs spirituels. En coupant les ailes et les griffes des sorciers-guérisseurs, il assure efficacement la soumission de l’« Église Zulu » à l’État. Chaka est le fils illégitime de Senzangakona, alors chef des Zoulous. Il naît en 1787. Lui et sa mère, Nandi, sont bannis par Senzangakona et…

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Exposé complet sur le Royaume Mossi (Origine,Evolution,Civilisation)

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PLAN

INTRODUCTION

  1. HISTOIRE ET EVOLUTION
  2. CIVILISATION : L’ORGANISATION SOCIALE ET POLITIQUE DES MOSSI
  3. LA RELIGION CHEZ LES MOSSES

CONCLUSION

INTRODUCTION

Une fois les espaces  occupés, les différents peuples s’organisèrent en sociétés et en royaumes. Elles sont qualifiées de sociétés sans pouvoir centralisé. Ce sont pour la plupart les populations de l’Ouest et du Sud-Ouest à l’exception des gants. Elles se composent donc des bobos, des sénoufo, des lobi, les birifor, les dagara, les bissa, les gourounsi, les gourmantche, les dogons, les kurumba. Mais ces royaumes présentaient une remarquable cohésion sociale et religieuse et une stabilité politique exceptionnelle : ils se maintinrent jusqu’à la conquête française, à la fin du XIXe siècle. Dans notre exposé nous allons nous appesantir sur le royaume mossi et ses caractéristiques.

  1. HISTOIRE ET EVOLUTION

Le territoire du Burkina Faso actuel a été parcouru par de nombreuses migrations. À partir du XIe ou au XIIe siècle, les premiers royaumes mossis se sont constitués : le Gourma, le Mamprousi, le Dagomba, le Yatenga, le Royaume de Boussouma et le royaume de Ouagadougou. Ce dernier devint rapidement le plus influent. Il était dirigé par le Moro Naba, descendant de la princesse Yennenga, mère du peuple mossi. Selon la tradition ,Ouidiraogo(Ouédraogo)est l’ancêtre de l’aristocratie moaga(singulier de Mossi).il est le fruit de l’union de la princesse guerrière Yenenga fille de Nedega roi du royaume Mampursi capitale Gambaga dans le Nord du Ghana et de Rialé , un chasseur d’éléphant. A l’âge adulte ,Ouidiraogo quitte Gambaga et s’installe plus au Nord à Tenkodogo(vieille terre) où il fonde…

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Exposé complet sur le Royaume Mossi et Gulmantché

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INTRODUCTION

  1. LE ROYAUME MOSSIS
  2. Evolution
  3. Civilisation
  4. L’organisation sociale et politique des Mossi.
  5. LE ROYAUME GULMANTCHE
  6. Géographie
  7. Evolution
  8. Civilisation

CONCLUSION

INTRODUCTION

Une fois les espaces occupés, les différents peuples s’organisèrent en sociétés et en royaumes.Elles sont qualifiées de sociétés sans pouvoir centralisé. Ce sont pour la plupart les populations de l’Ouest et du Sud-Ouest à l’exception des gants. Elles se composent donc des bobos,des sénoufo, des lobi, les birifor, les dagara,les bissa, les gourounsi, les gourmantche, les dogons, les kurumba.Mais ces royaumes présentaient une remarquable cohésion sociale et religieuse et une stabilité politique exceptionnelle : ils se maintinrent jusqu’à la conquête française, à la fin du XIXe siècle.

  1. LE ROYAUME MOSSIS

  1. Evolution

Le territoire du Burkina Faso actuel a été parcouru par de nombreuses migrations. À partir du XIe ou au XIIe siècle, les premiers royaumes mossis se sont constitués : le Gourma, le Mamprousi, le Dagomba, le Yatenga, le Royaume de Boussouma et le royaume de Ouagadougou. Ce dernier devint rapidement le plus influent. Il était dirigé par le Moro Naba, descendant de la princesse Yennenga, mère du peuple mossi. Selon la tradition ,Ouidiraogo (Ouédraogo)est l’ancêtre de l’aristocratie moaga (singulier de Mossi).il est le fruit de l’union de la princesse guerrière Yenenga fille de Nedega roi du royaume Mampursi capitale Gambaga dans le Nord du Ghana et de Rialé , un chasseur d’éléphant. A l’âge adulte ,Ouidiraogo quitte Gambaga et s’installe plus au Nord à Tenkodogo(vieille terre) où il fonde une nouvelle dynastie vers le XII s , au XV s selon Michel Izard. Son fils Zoungrana lui succède sur le trône de Tenkodogo. Un autre Fils Rawa, partit dans le Nord et fonda le royaume du Zondoma. DiabaLompo ,fils ou cousin de Ouédraogo s’installe à Pama à l’Est et fonde le royaume du Gourma. Oubri , fils de Zoungrana conquit l’Ouest de Tenkodogo et fonda l’Oubritenga(terre d’Oubri) occupé par les Yonyoosé et les Gourounsi. Les Yonyoosé sont intégrés au…

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Exposé complet sur le royaume Mossi, Gulmantché et les Emirats Peulhs

NB: Les documents mis à disposition sur ce site sont des documents à exploiter, autrement dit des compléments pour parfaire votre travail. Ils ne sont pas faits pour être présentés à l’état.

 INTRODUCTION

  1. LE ROYAUME MOSSIS
  2. Evolution
  3. Civilisation
  4. L’organisation sociale et politique des Mossi.
  5. LE ROYAUME GULMANTCHE
  6. Géographie
  7. Evolution
  8. Civilisation
  9. LES EMIRATS PEUHLS
  10. Evolution
  11. La civilisation peuhle
  12. Les hommes :
  13. Les femmes :

CONCLUSION

INTRODUCTION

Une fois les espaces occupés, les différents peuples s’organisèrent en sociétés et en royaumes.Elles sont qualifiées de sociétés sans pouvoir centralisé. Ce sont pour la plupart les populations de l’Ouest et du Sud-Ouest à l’exception des gants. Elles se composent donc des bobos,des sénoufo, des lobi, les birifor, les dagara,les bissa, les gourounsi, les gourmantche, les dogons, les kurumba.Mais ces royaumes présentaient une remarquable cohésion sociale et religieuse et une stabilité politique exceptionnelle : ils se maintinrent jusqu’à la conquête française, à la fin du XIXe siècle.

  1. LE ROYAUME MOSSIS
  1. Evolution

Le territoire du Burkina Faso actuel a été parcouru par de nombreuses migrations. À partir du XIe ou au XIIe siècle, les premiers royaumes mossis se sont constitués : le Gourma, le Mamprousi, le Dagomba, le Yatenga, le Royaume de Boussouma et le royaume de Ouagadougou. Ce dernier devint rapidement le plus influent. Il était dirigé par le Moro Naba, descendant de la princesse Yennenga, mère du peuple mossi.

Selon la tradition ,Ouidiraogo (Ouédraogo)est l’ancêtre de l’aristocratie moaga (singulier de Mossi).il est le fruit de l’union de la princesse guerrière Yenenga fille de Nedega roi du royaume Mampursi capitale Gambaga dans le Nord du Ghana et de Rialé , un chasseur d’éléphant. A l’âge adulte ,Ouidiraogo quitte Gambaga et s’installe plus au Nord à Tenkodogo(vieille terre) où il fonde une nouvelle dynastie vers le XII s , au XV s selon Michel Izard. Son fils Zoungrana lui succède sur le trône de Tenkodogo. Un autre Fils Rawa, partit dans le Nord et fonda le royaume du Zondoma. DiabaLompo ,fils ou cousin de Ouédraogo s’installe à Pama à l’Est et fonde le royaume du Gourma. Oubri , fils de Zoungrana conquit l’Ouest de Tenkodogo et fonda l’Oubritenga(terre d’Oubri) occupé par les Yonyoosé et les Gourounsi. Les Yonyoosé sont intégrés au nouveau royaume et à la culture Mossi. Leur capitale, Kombentinga(la terre des guerriers)devient « Wogdgo »(venez m’honorer!)qui par déformation devient Ouagadougou, capitale du Burkina actuel. Ce royaume eut la prééminence sur tous les autres royaumes Mossi est souverains portaient le titre de MoghoNaba. Au XVI s naît dans le Nord du Burkina le royaume du Yatenga(terre de Yadega). Yadega serait le frère jumeau de Koumdoumyé(petit fils d’Oubri)qui l’a évincé du trône d’Oubritenga.Yadega aidé de sa sœur Pabré qui avait dérobé à Koumdoumyé les insignes du pouvoir de la dynastie d’Oubri partit vers le Nord et après des conquêtes fonda le nouveau royaume. La capitale de ce royaume est Ouahigouya(venez-vous prosterner devant moi.)

  • Civilisation

Au sommet de la société on trouvait le MoghoNaba, les nabas vassaux, les ministres et les grands fonctionnaires, les seigneurs (aristocratie de cavaliers), les paysans, les artisans libres et les esclaves qui cultivent pour les nobles. Dans la société Mossi on distingue…

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Exposé complet sur le Royaume d’Ethiophie

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Plan

INTRODUCTION

  1. L’histoire d’Ethiopie
  2. Quelques souverainetés éthiopiennes
  3. Langue parlée et littérature
  4. Peuple éthiopien
  5. Les monnaies de royautés
  6. Religions éthiopiennes
  7. Le christianisme
  8. L’Islam
  9. Judaïsme
  10. Art et culture

Conclusion

Introduction

Le nom d’Ethiopie fut donné par les anciens Grecs aux pays du Sud, c’est-à-dire. De façon assez vague à tous ceux de l’Afrique; le mot d’Ethiopiens signifiait en grec quelque chose comme hommes brûlés par le soleil (aithô = brûler, ops = visage). Il se localisa pour désigner spécialement les populations du Sud de l’Egypte, du bassin supérieur du Nil, habitant entre le Sahara(Libye) et la mer Rouge (golfe Arabique). Tandis qu’Homère appelle les Ethiopiens les plus éloignés des habitants de la Terre, résidant depuis l’extrême Orient jusqu’aux régions du couchant, Hérodote applique ce nom aux gens du haut Nil. Mais quelles sont les civilisations du royaume d’Ethiopie ?

  1. L’histoire d’Ethiopie
  2. Quelques souverainetés éthiopiennes

De 1855 au début du XXe siècle, trois souverains importants se succèdent. Le premier est Téwodros II dont le couronnement en 1855 marque la fin du ZemeneMesafent et le début de l’histoire moderne du pays. Premier véritable modernisateur, il lance un processus d’expansion, d’unification et de centralisation. Néanmoins, les résistances des notables régionaux devant les mesures adoptées et un conflit avec la Grande-Bretagne conduisent à son suicide en 1868 à Maqdala.Après le bref règne de TekleGiyorgis (de 1868 à 1871), KassaMercha arrive au pouvoir en janvier 1872 sous le nom de Yohannes IV. Moins centralisateur que Téwodros II, il assure néanmoins la suprématie du negussenegest et fait progresser la construction nationale.

  • Langue parlée et littérature

Les trois premières branches appartiennent à la famille des langues afro-asiatiques tandis que la quatrième fait partie des langues nilo-sahariennes.

Représentation schématique de la répartition des quatre principales langues éthiopiennes.

Les langues sémitiques sont principalement parlées dans les régions des hauts plateaux, dans le centre et le Nord du pays. Ce sont des langues cousines du ge’ez, langue du royaume d’Aksoum

Les langues sémitiques d’Éthiopie utilisent le système d’écriture ge’ez, un alpha syllabaire dit « éthiopique » et appelé fidel . L’Éthiopie et l’Érythrée sont les seuls pays au monde utilisant ce système d’écriture qui comprend 182 caractères basiques auxquels il faut ajouter des caractères spéciaux, totalisant plus de 200 signes.

Les langues couchitiques sont essentiellement parlées dans une partie du Sud-ouest et du Centre ainsi que dans l’Est du pays, dans la vallée de l’Awash et le triangle Afar

Les langues omotiques sont propres à l’Éthiopie où elles sont parlées par les populations vivant dans le bassin de l’Omo, dans le Sud-ouest du pays. Durant l’Antiquité éthiopienne, le…

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