Exposé complet sur les problèmes d’eau au Burkina (conséquences et solutions)

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PLAN

INTRODUCTION

  1. CAUSE DES PROBLEMES D’EAU AU BURKINA FASO
  2. Les fleuves
  3. Les barrages
  4. CONSEQUENCES DE LA PROBLEMATIQUE D’EAU AU BURKINA FASO
  5. Les maladies liées à l’eau
  6. Impact négatif sur les animaux et les champs
  7. SOLUTIONS POUR UNE GESTION EN EAU PLUS INCLUSIVE

CONCLUSION

INTRODUCTION

L’eau tient une grande place dans la vie de l’homme. Sans elle aucune vie n’est possible, sans elle, c’est le désert; les hommes, les animaux et les plantes meurent. L’eau est vitale pour tout organisme vivant.

Cependant l’un des problèmes majeurs du Burkina Faso est son déficit en eau. Ce qu’il faut savoir, c’est que les membres d’une famille vivant en zone sahélienne – et en ce qui nous concerne, le village de Tia en fait partie – disposent selon certaines statistiques de 10 à 40 litres d’eau par jour et par personne, pour boire, faire la cuisine et se laver. Alors que les Européens
et les Américains du Nord consomment 300 à 600 litres d’eau. Ce rapport résume à lui seul l’acuité de la question de l’accès à cette denrée rare et précieuse dans une zone où les précipitations annuelles moyennes varient de 300 à 750mm.

  1. CAUSE DES PROBLEMES D’EAU AU BURKINA FASO

La cause majeure de ce manque d’eau provient d’un climat capricieux marqué non seulement par la faiblesse de la pluviométrie, sa concentration sur une courte période de l’année, mais aussi par la variabilité spatiale annuelle et inter annuelle de la distribution des pluies. A cela se sont ajoutés,
depuis le début des années 1970, des dérèglements chroniques et de grande ampleur du climat, et  donc du régime des pluies, se traduisant notamment par des séries de sécheresses ponctuées par des épisodes de famine et….

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Exposé complet sur l’égalité des genres (état des lieux et solutions)

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INTRODUCTION

  1. DEFINITION DU CONCEPT
  2. LA MANIFESTATION DE L’INEGALITES DES GENRES
  3. LES FREINS A L’EGALITE DES GENRES
  4. MESURES PRISES POUR INSTAURER L’EGALITE DES GENRES
  5. REFLEXION SUR L’EGALITE DES GENRES

CONCLUSION

INTRODUCTION

L’égalité des genres est le principe selon lequel les hommes et les femmes devraient recevoir un traitement égal et ne devraient pas être victimes de discriminations basées sur leur appartenance à l’un ou l’autre genre, hormis les cas où une différence de traitement serait justifiée par une différence biologique valable (dans le cadre sportif par exemple).

L’égalité des genres est un objectif de la Déclaration universelle des droits de l’homme de l’Organisation des Nations unies, qui prévoit une égalité en droit et dans des situations sociales, comme le fait de recevoir un salaire égal pour un travail égal.

C’est la conviction que tout le monde devrait recevoir un traitement égal et ne pas être discriminé en fonction de son sexe.

  1. DEFINITION DU CONCEPT

L’égalité des genres trouvera son sens quand les femmes et les hommes jouiront des mêmes droits et auront les mêmes opportunités, notamment le droit d’accéder aux ressources naturelles dans leur milieu de vie, de les contrôler et d’en tirer parti.

  1. LA MANIFESTATION DE L’INEGALITES DES GENRES
  • On estime qu’à l’heure actuelle, 750 millions de femmes et de filles dans le monde ont été mariées avant l’âge de 18 ans. Au moins 200 millions de filles et de femmes actuellement en vie ont subi des mutilations génitales féminines dans les 30 pays disposant de données représentatives.
  • Une femme sur cinq, dont 19% des femmes âgées de 15 à 49 ans, ont subi des violences physiques et/ou sexuelles de la part d’un partenaire intime ou des violences sexuelles de la part d’une autre personne. Pourtant, 49 pays ne disposent toujours pas de lois protégeant les femmes contre la violence domestique
  • Environ les deux tiers des pays des régions en développement ont atteint l’égalité des sexes dans l’enseignement primaire
  • Alors que les femmes ont beaucoup progressé dans les fonctions politiques à travers le monde, leur représentation dans les parlements nationaux (23,7%) est encore loin de la parité.
  • Seulement 52 pour cent des femmes mariées ou vivant en concubinage prennent librement leurs propres décisions concernant les rapports sexuels, l’utilisation de moyens de contraception et les soins de santé.
  1. LES FREINS A L’EGALITE DES GENRES

L’idée de complémentarité entre hommes et femmes (qui posent l’idée de l’existence de rôles naturels ou d’origine divine pour les deux sexes, rôles polarisés permettant la coexistence des hommes et…

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Exposé complet sur l’éducation des filles au Burkina (Etat des lieux, causes et solutions)

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PLAN

INTRODUCTION

I-L’ETAT DES LIEUX DE L’ÉDUCATION DES FILLES EN AFRIQUE (BURKINA FASO)

II-OBSTACLES A L’EDUCATION DES FILLES EN AFRIQUE

1-Tradition

2-Mariage précoce

III-LA NECESSITE DE SCOLARISER ET FORMER LES JEUNES FILLES

1-Au niveau individuel

2-Au niveau des ménages

3-Au niveau de la société

4-Sur le développement

IV-SOLUTIONS POUR LA SCOLARISATION DES FILLES

CONCLUSION

INTRODUCTION

Le droit à l’éducation est un droit humain. Il faut saluer les progrès réalisés dans l’accès des filles à l’enseignement primaire sur le continent africain. De nos jours, au Burkina Faso et dans le monde, l’éducation est synonyme de meilleures conditions de vie. Cette éducation n’est malheureusement pas accessible à tous, et encore moins en ce qui concerne l’éducation des jeunes filles. Les statistiques (2014) montrent que les filles sont 15 % moins nombreuses que les garçons à suivre les trois dernières classes du secondaire. Pour les formations professionnelles également les filles sont en marge.

I-L’ETAT DES LIEUX DE L’ÉDUCATION DES FILLES EN AFRIQUE (BURKINA FASO)

A la rentrée scolaire 2013-2014, sur une population scolarisable estimée à 3 125 631 enfants, seulement 2 013 678 enfants d’âge scolaire allaient à l’école primaire, soit un taux net de scolarisation (TNS) de 64,4% (64,7% pour les garçons et 64,2% pour les filles). Au cours de la même année scolaire, dans l’enseignement post-primaire, le TNS n’était que de 23,8%, 21,9% et 22,9% respectivement pour les garçons, les filles et l’ensemble des deux sexes. Le taux net se définit comme étant le rapport entre l’effectif des élèves à un niveau d’enseignement (préscolaire, primaire, post-primaire, secondaire, supérieur), ayant l’âge officiel de scolarisation à ce niveau et la population totale d’âge officiel de scolarisation à ce niveau. 
Malgré leur réduction, les inégalités relatives à la scolarisation entre garçons et filles, persistent.

II-OBSTACLES A L’EDUCATION DES FILLES EN AFRIQUE

1-Tradition Les pesanteurs socioculturelles sont toujours vivaces notamment en milieu rural. La tradition et certaines mentalités placent toujours la femme au second rang : les filles doivent être…

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Exposé complet sur l’échec scolaire (Causes, conséquences, Solutions)

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INTRODUCTION

I-Causes de l’échec scolaire

1-L’environnement

2-L’estime de soi.

3-La motivation.

4-L’attention.

5-Des causes pédagogiques.

II-Conséquences de l’échec scolaire

1-stress, anxiété et dépression

2-troubles du comportement et estime de soi

III-Solutions pour lutter contre ce phénomène

CONCLUSION

INTRODUCTION

L’échec scolaire peut désigner un retard dans la scolarité, sous toutes ses formes, il concerne davantage les enfants issus de milieux défavorisés. L’échec scolaire est l’un des motifs de consultation les plus fréquents en pédopsychiatrie. L’échec scolaire peut être en relation avec des troubles tels que la dyslexie, les troubles de l’attention ou la précocité intellectuelle lorsqu’elle n’est pas correctement prise en charge. Le dépistage précoce de ces troubles est essentiel pour lutter contre l’échec scolaire. Les premiers signes peuvent apparaître dès les premières années de scolarité de l’enfant.

L’échec scolaire fait l’objet de nombreux débats qui entraînent des choix politiques différents en matière de réformes de l’enseignement.

I-CAUSESDEL’ECHEC SCOLAIRE

Différentes raisons peuvent amener un enfant à obtenir de mauvaises notes:

1-L’environnement Il est essentiel que les jeunes grandissent dans un environnement qui les stimule. La famille joue donc un rôle très important car ce sont les valeurs et…

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Exposé complet sur l’éducation (méthodes pédagogiques et enjeux)

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INTRODUCTION

  1. DEFINITION
  2. LES TYPES  DE METHODES PEDAGOGIQUES DE L’EDUCATION
  3. Construire son savoir
  4. Education formelle et non  formelle
  5. Éducation familiale
  6. Éducation parentale
  7. LES ENJEUX DE L’EDUCATION
  8. L’éthique dans l’éducation
  9. Inclusion scolaire

CONCLUSION

Sources :

INTRODUCTION

L’éducation est une action pour développer un ensemble de connaissances et de valeurs morales, physique, intellectuelles, scientifiques considérées comme essentielles pour atteindre le niveau de culture souhaitée. L’éducation permet de transmettre d’une génération à l’autre la culture nécessaire au développement de la personnalité et à l’intégration sociale de l’individu. L’éducation de l’enfant et de l’adolescent repose sur la famille, l’école, la société, mais aussi sur des lectures personnelles et sur l’usage des médias comme par exemple la télévision ou internet.

  1. DEFINITION

L’éducation est étymologiquement « guidée hors de » (du latin educere), c’est-à-dire développer, faire produire. Il signifie maintenant plus couramment l’apprentissage et le développement des facultés intellectuelles, morales et physiques, les moyens et les résultats de cette activité de développement. L’éducation humaine inclut des compétences et des éléments culturels caractéristiques du lieu géographique et de la période historique.

Chaque pays, dans le monde, dispose de son propre système éducatif, avec un rôle traditionnellement dévolu aux parents d’un enfant (ou à leur substitut) d’amener cet enfant aux mœurs de l’âge adulte, et une intervention souvent croissante des États.

  1. LES TYPES  DE METHODES PEDAGOGIQUES DE L’EDUCATION
  2. Construire son savoir

La pédagogie moderne considère que la transmission traditionnelle simple (instruction) doit laisser la place à une pédagogie où l’élève construit (et non crée) son savoir lui-même. Par exemple, selon cette conception, il semble plus important qu’un élève soit capable de construire le concept de département et d’en identifier un à partir d’une carte ou d’un dictionnaire, plutôt que de connaître par cœur tous les départements sans en savoir les attributions, le fonctionnement, etc. De même, il semble…

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Exposé complet sur le terrorisme (origine,causes,proposition de solutions)

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PLAN

INTRODUCTION

  1. DEFINITION
  2. ORIGINE DU TERRORISME
  3. CAUSES DU TERRORISME
  4. EXEMPLES D’ATTAQUES TERRORISTES
  5. STRATEGIES DE LUTTE CONTRE LE TERRORISME

CONCLUSION

INTRODUCTION

Dans l’histoire du monde un grand nombre d’organisations politiques ou criminelles ont cependant recouru au terrorisme pour faire avancer leur cause ou en retirer des profits. Des partis de gauche comme de droite, des groupes nationalistes, religieux ou révolutionnaires, voire des États, ont commis des actes de terrorisme. Une constante du terrorisme est l’usage indiscriminé de la violence meurtrière à l’égard de civils dans le but de promouvoir un groupe, une cause ou un individu, ou encore de pratiquer l’extorsion à large échelle (mafias, cartels de la drogue, etc.). Le terme de terrorisme est aujourd’hui très fréquemment employé en droit international et par les institutions internationales, mais il ne donne pas lieu à une définition unique et universelle. Au cours de notre étude nous tenteront d’élucider plus en profondeur le phénomène du terrorisme dans le monde et au Burkina.

  1. DEFINITION

Le terrorisme est l’emploi de la terreur à des fins idéologiques, politiques ou religieuses .Les multiples définitions (Alex Schmidt et Berto Jongman en 1988 en listent 109 différentes4) varient sur : l’usage de la violence (certaines comprennent des groupes n’utilisant pas la violence mais ayant un discours radical), les techniques utilisées, la nature du sujet (mettant à part le terrorisme d’État), l’usage de la peur, le niveau d’organisation, l’idéologie, etc. Dans nombre de définitions intervient aussi le critère de la victime du terrorisme (civile, désarmée, innocente, attaque contre un État démocratique qui aurait permis au terroriste de s’exprimer légalement).

  1. ORIGINE DU TERRORISME

Le mot « terrorisme » est attesté pour la première fois en novembre 1794, il désigne alors la « doctrine des partisans de la Terreur », de ceux qui, quelque temps auparavant, avaient exercé le pouvoir en menant une lutte intense et violente contre les contre-révolutionnaires. Il s’agit alors d’un mode d’exercice du pouvoir, non d’un moyen d’action contre lui. Le mot a évolué au cours du xixe siècle pour désigner non plus une action de l’État mais une action contre lui. Son emploi est attesté dans un sens antigouvernemental en 1866 pour l’Irlande, en 1883 pour la Russie (mouvement nihiliste), en Inde britannique (Jugantar (en)), dans les Balkans et l’Empire ottoman (l’Organisation révolutionnaire intérieure macédonienne, ORIM, qui pratique des prises d’otages d’Européens, et…

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Exposé complet sur le Service National pour le Développmeent (SND)-Burkina Faso

INTRODUCTION

I – HISTORIQUE ET GRANDES DATES DU SERVICE NATIONAL DU DEVELOPPEMENT

II – L’INTERET DU SERVICE NATIONAL DU DEVELOPPEMENT POUR LE BURKINA FASO

III – PERSPECTIVES

CONCLUSION

INTRODUCTION

Le Service National a été institué au Burkina Faso en 1984 sous la dénomination de Service National Populaire (SNP).

A partir de 1990, le SNP connaît de profondes mutations aussi bien dans les orientations que dans le fonctionnement ; il s’agit maintenant de s’orienter plus vers les tâches de développement socio-économique du Burkina Faso. Avec son nouveau statut d’Etablissement Public à caractère Administratif (EPA), le SND pourrait connaître à nouveau un dynamisme et un rayonnement à la hauteur des attentes de tous.

I – HISTORIQUE ET GRANDES DATES DU SERVICE NATIONAL DU DEVELOPPEMENT

* Le Service National Populaire (SNP) a été formellement créé par le décret N° 84 272 / CNR / PRES du 18 juillet 1984 et défini comme un service civique obligatoire pour tout Burkinabé âgé de 18 à 35 ans. Il faut signaler que ce texte est venu légaliser une situation de fait sur le terrain car dès début juillet, la première promotion était déjà à pied d’œuvre au centre d’instruction de Bobo.

 * Les débuts du SNP ont été exécutés au Centre d’Instruction de Bobo Dioulasso, donc au sein des unités traditionnelles de l’Armée. Cette formule a concerné les trois (03) premières promotions de Juillet 1984 à Septembre 1985.

. * L’année 1986 a été également celle de la “nouvelle formule” et a consisté à l’intégration des volets production végétale et animale au sein du SNP ; il fallait “valoriser la production” (expression consacrée à l’époque) ; d’où la création de deux unités de production par régiment Dipeo et Boulon pour Nasso, Koury et Boron pour Badala, Zabré et Kadro pour Loumbila ; il faut signaler que le 6ème régiment PK 52 de Fada ne disposait pas d’unités de production propres. Nous étions à la 4ème promotion du SNP.

Au niveau des informations et de la communication, il faut signaler la parution de deux journaux (Leydimen et la Voix de l’appelé) qui malheureusement n’ont pas fait long feu.

*1989 : création d’une régie des recettes à la Direction du SNP en vue du recouvrement des reversements du différentiel entre salaire et pécule des appelés du secteur privé et de la vente des produits agricoles. Le texte de base de cette régie est le Raabo AN VI 413 /FP/SEFB/SG/DCP du 26 septembre 1989. *1989 : les conditions difficiles et l’enclavement entraînent la dissolution du 6ème Régiment SNP PK 52 de Fada.

*1990 : les raisons ci-dessus évoquées conduisent à la fermeture des unités de production de Zabré et de Boulon. *1990 : la phase militaire est supprimée au SNP et remplacée par une formation civique patriotique et pédagogique, concomitamment, les régiments sont transformés en centres de formation

.* Septembre 1992 : le Conseil des Ministres du 30 septembre 1992 approuve un rapport interministériel créant une nouvelle structure appelée Service National pour le Développement (SND) ; cette structure est le résultat des correctifs apportés à l’ancienne institution du SNP.

* 15 décembre 1993 : adoption de la loi 48 /93/ADP portant création d’un service national dénommé Service National pour le Développement en abrégé SND.

*30 mai 1995 : dissolution du centre de formation de Nasso. (Cf. arrêté N° 95-0058/DEF/CAB/ du 30 mai 1995) portant dissolution du centre de formation du SND basé à Nasso. Ce centre a été rétrocédé à l’Université Polytechnique de Bobo (UPB).

*10 juillet 1998 : adoption de deux décrets d’application de la loi 48 /93/ADP, l’un, le décret N° 98-291/PRES/PM/DEF portant organisation, fonctionnement et attributions du SND ; l’autre, le décret 98-292/PRES/PM/DEF portant modalités d’accomplissement du SND. En 1999, le SND est érigé en établissement public à caractère administratif par le décret n°99-445/PRES/PM du 07 décembre 1999 et placé sous la tutelle technique du Premier Ministère.

II –L’INTERET DU SERVICE NATIONAL DU DEVELOPPEMENT POUR LE BURKINA FASO

Au regard des objectifs du SND tel que amené la jeunesse à prendre conscience quant aux différents tâches de développementsocio-économique du pays il présenteplusieurs avantages non négligeable pour le pays.

D’abord, le SND contribue à la scolarisation de  nombreux enfants et à la construction des infrastructures (scolaires,sanitaire,routier …).

Ensuite sa contribution à la prise de conscience de la jeunesse  est un atout favorable pour le Burkina Faso à travers l’engagement que va prendre chaque jeune  à développer le paye. En plus le SND s’engage à procurer à la jeunesse  des rudiments de formation professionnelle (secteur informel), canal en Amon de l’emploi ainsi cet éveille de la jeunesse est un cadre espèrentpour un développement meilleur.

Enfin, son coté développant l’esprit d’initiative des jeunes procure au Burkina Faso une jeunesse dynamique pour un développement durable.

III – PERSPECTIVES

Après l’ouverture du Centre de Formation et de Production de Loumbila dans la province de l’Oubritenga (octobre 2002 ) et celui de Badala dans la province du Mouhoun (octobre 2004), il a été élaboré un plan pluriannuel d’érection de centres de formation et de production dans les onze (11) régions administratives qui n’en disposent pas ainsi que la définition d’un plan de formations professionnelles adapté prenant en compte les potentialités de chacune de ces régions. Le SND envisage également de toucher le maximum de jeunes par l’accroissement des effectifs à recruter et en donnant la priorité aux jeunes issus du milieu rural et les jeunes en situation d’échec scolaire. Un autre aspect des perspectives réside dans l’amélioration des conditions de vie des appelés (pécule, santé, logement). Les populations seront sensibilisées quant au sens et aux objectifs du SND. Les appelés seront orientés vers des actions d’actualité (lutte contre la désertification, protection de l’environnement, VIH/SIDA, etc. ). Des dispositions seront prises avec les communautés locales et les autorités décentralisées pour favoriser l’installation des jeunes formés, leur insertion professionnelle et leur suivi. La Direction Générale du SND est à la recherche de partenaires au développement pour le financement de certains aspects de ses activités dans les Centres de Formation et de Production.

Enfin les initiatives seront diversifiées pour accroître les recettes du SND : cela allègera la part contributive du budget national et permettra au SND d’effectuer d’autres investissements au profit des jeunes

CONCLUSION

Le Service National pour le Développement a suscité des espoirs au sein de la jeunesse. A l’occasion de sa mise en œuvre, des difficultés somme toutes normales ont apparu et entraîné des insatisfactions. Cependant, la canalisation de la jeunesse, pourvu qu’elle trouve un environnement propice peut constituer un levain important dans la stratégie de développement d’un pays ; dès lors, loin de constater les insuffisances comme des motifs d’abandon de l’institution, il convient de les corriger en ayant toujours à l’esprit la promotion de la jeunesse.

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Exposé complet sur le secteur secondaire du Burkina

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INTRODUCTION

  1. L’ARTISANAT
  2. Les Forces
  3. Les Faiblesses
  4. LES MINES
  5. Les Forces
  6. Les Faiblesses
  7. L’INDUSTRIE
  8. Les Forces
  9. Les Faiblesses

CONCLUSION

INTRODUCTION

Le secteur secondaire contribue pour 22,2% à la formation de la valeur ajoutée du PIB réel du Burkina Faso. Ce secteur possède de nombreux atouts dont la valorisation pourrait conduire à relever sa contribution à la richesse nationale. Les stratégies élaborées en vue de développer le secteur primaire devraient entraîner les autres secteurs de l’économie notamment le secondaire.

  1. L’ARTISANAT
  2. Les Forces

On estime à plus de 900 000 le nombre des artisans dont 500 000 femmes. 85 % de ces artisans exercent leurs activités dans les deux principaux centres urbains de Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso (capitale économique). L’artisanat contribue ainsi pour environ 30 % du produit intérieur brut (PIB). Le secteur, en pleine croissance depuis la dévaluation du F CFA intervenue en janvier 1994, est…

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Exposé complet sur la femme (importance, rôle et place dans la société)

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PLAN

INTRODUCTION

  1. LA FEMME DANS L’ECONOMIE
  2. LA FEMME DANS LA SPHERE PUBLIQUE
  3. L’IMPORTANCE DE L’EDUCATION
  4. SOLUTION POUR L’IMPLICATION PLUS IMPLIQUEE DES FEMMES DANS LA SOCIETE

CONCLUSION

INTRODUCTION

Le modèle patriarcal domine l’organisation de nos sociétés depuis de nombreuses années, dans les pays développés et en développement. Les problèmes de discrimination que connaissent les femmes et qui sont liés à ce modèle se retrouvent donc aux différents coins de la planète. Cette perspective mondiale des problèmes vécus par les femmes au quotidien a été reconnue au niveau de la politique internationale dès la fin des années ’40 avec la mise en place d’une sous-commission (de la commission sur les droits de l’homme) sur le statut de la femme au sein du Conseil économique et social des Nations unies. Ensuite, en 1975 une première conférence internationale.

Trois conférences ont ensuite eu lieu : la conférence tenue à… sur les femmes fut organisée à Mexico. Elle donna lieu à l’adoption en 1979 de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discriminations contre les femmes. Une responsabilité commune de la Communauté internationale sur ces questions fut aussi reconnue.

  1. LA FEMME DANS L’ECONOMIE

Les tâches de la femme et de l’homme se rapportent aux rôles différents qu’ils jouent pour de la subsistance de la famille. En plus de son rôle de mère et d’épouse, la femme joue un rôle important dans la production agricole. D’ailleurs, les études sur le rôle de la femme dans l’agriculture tirent toutes les mêmes conclusions : l’Africaine contribue beaucoup plus à l’économie dans la production alimentaire, agricole et dans bien d’autres domaines qu’on ne l’admet généralement (Mushita 2014).

Dans les sociétés vivant à un niveau de subsistance, il revient généralement à la femme de trouver, de cueillir et de préparer des aliments pour sa famille, d’aller chercher du combustible ainsi que de l’eau et de vendre ou d’échanger par le troc les produits excédentaires au marché local. Ce sont les tâches dites domestiques qui peuvent généralement être exercées non loin de la maison.

  1. LA FEMME DANS LA SPHERE PUBLIQUE

Il ne faut pas exagérer outre mesure le pouvoir silencieux des femmes, car contrairement à l’opinion commune, la femme dans la société précoloniale n’était pas tenue à l’écart de la vie publique. Elle pouvait même…

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Exposé complet sur le phénomène de l’émigration des africains

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INTRODUCTION

  1. CAUSES DE L’EMIGRATION DES AFRICAINS
  2. L’économie
  3. La politique
  4. Et tous les autres maux dont souffre l’Afrique sub-saharienne
  1. CONSEQUENCES DE L’EMIGRATION DES AFRICAINS
  2. Conséquences positives
  3. Conséquences négatives
  1. PROPOSITIONS DE SOLUTIONS

CONCLUSION

INTRODUCTION

Parfois, pendant de longs mois, de jeunes Africains, hommes et femmes, risquent tout, y compris leur vie, pour entreprendre un périlleux périple qui leur fait traverser des dizaines de frontières et les dangereux courants de la Méditerranée à la recherche d’une vie meilleure dans le Nord. Certains y laissent leur vie, d’autres sont renvoyés chez eux et d’autres encore, qui atteignent leur destination, comprennent que leur existence n’y sera pas forcément plus facile. De nombreuses raisons expliquent ce phénomène alarmant De tels déplacements de populations posent de sérieux problèmes à de nombreux gouvernements et à la communauté internationale.

  1. CAUSES DE L’EMIGRATION DES AFRICAINS
  2. L’économie

Depuis la décolonisation, on voit l’accentuation du sous-développement. L’Afrique subsaharienne doit importer la majorité des produits industriels et de consommation dont elle a besoin. Ceux-ci ont des coûts de plus en plus élevés, en raison de la forte dévaluation de la plupart des monnaies. Aussi la dette extérieure augmente dangereusement. De plus, les cultures vivrières qui doivent alimenter les populations sont sacrifiées au bénéfice de cultures d’exportation, au nom de l’impératif du développement. Or, les pays du Sud n’ont aucune prise sur la fluctuation des cours de ces cultures qui sont fixés unilatéralement par les pays industriels occidentaux. Devant faire face à la faim, la population doit chercher un endroit où le manger ne fera pas partie de la préoccupation quotidienne. Une sorte de terre promise, pays du salut. Et cet endroit, c’est l’Occident.

  • La politique

La seconde cause de migration est bien sûr l’injustice sociale et la grande précarité. Depuis la fin de la guerre froide, les aides se sont effondrées à des niveaux jamais connus. L’Afrique ne…

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