Exposé complet sur l’éducation (méthodes pédagogiques et enjeux)

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INTRODUCTION

  1. DEFINITION
  2. LES TYPES  DE METHODES PEDAGOGIQUES DE L’EDUCATION
  3. Construire son savoir
  4. Education formelle et non  formelle
  5. Éducation familiale
  6. Éducation parentale
  7. LES ENJEUX DE L’EDUCATION
  8. L’éthique dans l’éducation
  9. Inclusion scolaire

CONCLUSION

Sources :

INTRODUCTION

L’éducation est une action pour développer un ensemble de connaissances et de valeurs morales, physique, intellectuelles, scientifiques considérées comme essentielles pour atteindre le niveau de culture souhaitée. L’éducation permet de transmettre d’une génération à l’autre la culture nécessaire au développement de la personnalité et à l’intégration sociale de l’individu. L’éducation de l’enfant et de l’adolescent repose sur la famille, l’école, la société, mais aussi sur des lectures personnelles et sur l’usage des médias comme par exemple la télévision ou internet.

  1. DEFINITION

L’éducation est étymologiquement « guidée hors de » (du latin educere), c’est-à-dire développer, faire produire. Il signifie maintenant plus couramment l’apprentissage et le développement des facultés intellectuelles, morales et physiques, les moyens et les résultats de cette activité de développement. L’éducation humaine inclut des compétences et des éléments culturels caractéristiques du lieu géographique et de la période historique.

Chaque pays, dans le monde, dispose de son propre système éducatif, avec un rôle traditionnellement dévolu aux parents d’un enfant (ou à leur substitut) d’amener cet enfant aux mœurs de l’âge adulte, et une intervention souvent croissante des États.

  1. LES TYPES  DE METHODES PEDAGOGIQUES DE L’EDUCATION
  2. Construire son savoir

La pédagogie moderne considère que la transmission traditionnelle simple (instruction) doit laisser la place à une pédagogie où l’élève construit (et non crée) son savoir lui-même. Par exemple, selon cette conception, il semble plus important qu’un élève soit capable de construire le concept de département et d’en identifier un à partir d’une carte ou d’un dictionnaire, plutôt que de connaître par cœur tous les départements sans en savoir les attributions, le fonctionnement, etc. De même, il semble…

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Exposé complet sur le volcanisme

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INTRODUCTION

  1. LE VOLCANISME
  2. Définition
  3. Déroulement d’un volcanisme
  4. LES PRODUITS REJETES PAR UN VOLCAN
  5. Les produits Gazeux
  6. Les produits solides
  7. Les produits liquides ou lave 
  8. LES DIFFERENTS TYPES DE VOLCANS
  9. Les volcans de types Effusifs
  10. Les volcans de types explosifs
  11. Les volcans de types extrusifs
  12. LES PHENOMENES VOLCANIQUES SECONDAIRES
  13. Les signes précurseurs
  14. Les phénomènes après volcanisme
  15. LES METHODES DE PREVENTION DU VOLCANISME
  16. Les études géologiques
  17. La sismologie
  18.  La géodésie
  19. La thermométrie
  20.  La géochimie des gaz
  21. RISQUES TELLURIQUES
  22. Risques volcaniques
  23. Les risques sismiques

CONCLUSION

INTRODUCTION

Le « volcanisme » est l’ensemble des phénomènes associés aux volcans et à la présence magma. La « volcanologie » ou (beaucoup plus rarement « vulcanologie » est la science de l’étude, de l’observation et la prévention des volcans.

Le terme « volcan » tire son origine de vulcanaux, une des îles Eoliennes nommée en l’honneur de vulcain, le dieu romain du Feu dont l’équivalent dans le panthéon grec est Héphaïstos.

Un volcan est un ensemble géographique terrestre, sous-marin ou extra-terrestre qui résulte la montée d’un magma puis de l’éruption d’une partie de ce magma. Le magma provient de la fusion partielle du manteau et exceptionnellement de la croûte terrestre. L’éruption peut se manifester, de manière plus ou moins combinée, par les émissions de lave, par des émanations ou des explosions de gaz, par des projections tephras, par des phénomènes hydro magmatiques, etc. Les laves refroidies et les retombées de tephras constituent des roches éruptives qui peuvent s’accumuler et atteindre des milliers de mètres d’épaisseur formant ainsi des montagnes et des îles. Selon la nature des matériaux ; le type d’éruption, la fréquence d’éruption et l’orogenèse, les volcans prennent des formes var géologiques en avaient et de la représentation qu’ils pouvaient en donner. Les volcans sont souvent des édifices complexes qui ont été construits par une succession d’éruption et qui, dans la même période, ont été partiellement démolis par des phénomènes d’explosion, d’érosion ou d’effondrement. Il est ainsi fréquent d’observer diverses structures superposées ou emboitées. Au cours de l’histoire d’un volcan,  les types d’éruptions peuvent aussi varier. Néanmoins,…

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Exposé complet sur le terrorisme (origine,causes,proposition de solutions)

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PLAN

INTRODUCTION

  1. DEFINITION
  2. ORIGINE DU TERRORISME
  3. CAUSES DU TERRORISME
  4. EXEMPLES D’ATTAQUES TERRORISTES
  5. STRATEGIES DE LUTTE CONTRE LE TERRORISME

CONCLUSION

INTRODUCTION

Dans l’histoire du monde un grand nombre d’organisations politiques ou criminelles ont cependant recouru au terrorisme pour faire avancer leur cause ou en retirer des profits. Des partis de gauche comme de droite, des groupes nationalistes, religieux ou révolutionnaires, voire des États, ont commis des actes de terrorisme. Une constante du terrorisme est l’usage indiscriminé de la violence meurtrière à l’égard de civils dans le but de promouvoir un groupe, une cause ou un individu, ou encore de pratiquer l’extorsion à large échelle (mafias, cartels de la drogue, etc.). Le terme de terrorisme est aujourd’hui très fréquemment employé en droit international et par les institutions internationales, mais il ne donne pas lieu à une définition unique et universelle. Au cours de notre étude nous tenteront d’élucider plus en profondeur le phénomène du terrorisme dans le monde et au Burkina.

  1. DEFINITION

Le terrorisme est l’emploi de la terreur à des fins idéologiques, politiques ou religieuses .Les multiples définitions (Alex Schmidt et Berto Jongman en 1988 en listent 109 différentes4) varient sur : l’usage de la violence (certaines comprennent des groupes n’utilisant pas la violence mais ayant un discours radical), les techniques utilisées, la nature du sujet (mettant à part le terrorisme d’État), l’usage de la peur, le niveau d’organisation, l’idéologie, etc. Dans nombre de définitions intervient aussi le critère de la victime du terrorisme (civile, désarmée, innocente, attaque contre un État démocratique qui aurait permis au terroriste de s’exprimer légalement).

  1. ORIGINE DU TERRORISME

Le mot « terrorisme » est attesté pour la première fois en novembre 1794, il désigne alors la « doctrine des partisans de la Terreur », de ceux qui, quelque temps auparavant, avaient exercé le pouvoir en menant une lutte intense et violente contre les contre-révolutionnaires. Il s’agit alors d’un mode d’exercice du pouvoir, non d’un moyen d’action contre lui. Le mot a évolué au cours du xixe siècle pour désigner non plus une action de l’État mais une action contre lui. Son emploi est attesté dans un sens antigouvernemental en 1866 pour l’Irlande, en 1883 pour la Russie (mouvement nihiliste), en Inde britannique (Jugantar (en)), dans les Balkans et l’Empire ottoman (l’Organisation révolutionnaire intérieure macédonienne, ORIM, qui pratique des prises d’otages d’Européens, et…

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Exposé complet sur le sport et les pouvoirs publics

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INTRODUCTION

  1. LES POUVOIR PUBLICS ET LES STRUCTURES NATIONALES
  2. LES COMPETENCES A CARACTERE POLITIQUES
  3. L’organisation des compétitions
  4. Rapport entre sport et politique
  5. LES MANIFESTATIONS SPORTIVES ET SENSIBILISATION
  6. Comité international Olympique
  7. Jeux Olympiques
  8. LES MANIFESTIONS SPORTIVES A CARACTERE CORPORATIF
  9. Les bienfaits du sport pour le corps
  10. Les inconvénients du sport sur le corps

CONCLUSION

INTRODUCTION

Le sport est un ensemble d’exercices physiques ou mentaux se pratiquant sous forme de jeux individuels ou collectifs pouvant donner lieu à des compétitions. Le sport moderne se définit par quatre éléments indispensables. La mise en œuvre d’une ou plusieurs qualités physiques : activités d’endurance, de résistance, de force, de coordination, d’adresse, de souplesse, etc. [réf. nécessaire]. Une activité institutionnalisée, ses règles tendent à être identiques pour l’ensemble de la planète. Une pratique majoritairement orientée vers la compétition. Une pratique fédérée (sous la tutelle d’une fédération sportive). La relation entre le sport et la politique passe aussi par les différents mouvements de reconnaissance acquis par le sport. On use du sport pour des revendications politiques. Enfaîte, la reconnaissance politique peut passer par le sport. Certains petits pays ont besoin du sport pour être reconnus internationalement.

  1. LES POUVOIR PUBLICS ET LES STRUCTURES NATIONALES

Les efforts importants consentis par l’Etat burkinabè et ses partenaires, bien que beaucoup reste encore à faire pour couvrir le territoire national.

Atouts :

– l’existence de terrains de sport sur l’ensemble du territoire national;

– la création de l’Office de Gestion des Infrastructures Sportives (OGIS) qui gère les infrastructures publiques de sport.

Contraintes :

– le déséquilibre dans la couverture du territoire national;

– les difficultés à réaliser et à gérer les infrastructures;

– l’insuffisance des infrastructures sportives dans les établissements scolaires et universitaires ;

– le coût élevé du matériel et des équipements sportifs.

  1. LES COMPETENCES A CARACTERE POLITIQUES
  2. L’organisation des compétitions
  3. Définir le lieu en fonction de la discipline

Du choix de la discipline va dépendre le lieu, qui lui va définir les autorisations à demander. En effet, organiser un tournoi de volley-ball ne demandera pas les mêmes contraintes qu’organiser une compétition sportive qui inclut des véhicules motorisés. À titre d’exemple, vous allez organiser…

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Exposé complet sur le socialisme

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Introduction

  1.  Définitions
    1. Le socialisme au plan social
    1. Le socialisme au plan économique
    1. Le socialisme au plan politique
  2.  Origines
    1. Origine étymologique
    1. Origine idéologique

III.  Différentes forme de socialisme

  1.  La social-démocratie scandinave
    1.  Autres formes de socialisme     

IV.  Évolutions et divisions du socialisme européen

  1. Diffusion des idées et naissance des partis politiques

2)  Diffusion du socialisme hors d’Europe

 Les idées socialistes se diffusent par ailleurs hors d’Europe : 

Conclusion

Introduction

Socialisme et socialiste sont des termes qui, en raison de leur connotation, ont été revendiqués et diffusés depuis leur création dans de nombreux contextes, et ont acquis une mosaïque de significations différentes, bien que des lignes directrices communes s’en dégagent. Le socialisme naît d’une philosophie de l’histoire occidentale, qui repose sur l’idée de progrès, c’est-à-dire de la transformation du monde dans un sens positif3 : dans son acception la plus large, il condamne les inégalités sociales et l’exploitation de l’homme par l’homme9 et défend le progrès social

I) Définitions

  • Le socialisme au plan social

Le mot socialisme recouvre un ensemble très divers de courants de pensée et de mouvements politiques1, dont le point commun est de rechercher une organisation sociale et économique plus juste. Le but originel du socialisme est d’obtenir l’égalité sociale, ou du moins une réduction des inégalités2, et notamment pour les courants d’inspiration marxiste, d’établir une société sans classes sociales. Le but originel du socialisme est d’obtenir l’égalité sociale, ou du moins une réduction des inégalités2, et notamment pour les courants d’inspiration marxiste, d’établir une société sans classes sociales. Plus largement, le socialisme peut être défini comme une tendance politique, historiquement marquée à gauche, dont le principe de base est l’aspiration à un monde meilleur, fondé sur une organisation sociale harmonieuse et sur la lutte contre les injustices.

  • Le socialisme au plan économique

Sur le plan économique, le mot socialisme désigne à l’origine un ensemble de doctrines fondées sur la propriété collective ou « propriété sociale » des moyens de production, ou du moins la critique de la propriété privée de ceux-ci ; par opposition à la vision capitaliste. Élie Halévy résume le socialisme par la possibilité de « remplacer la libre initiative des individus par l’action concertée de la collectivité dans la production et la répartition des richesses » : ainsi défini, le socialisme est vu comme un système de valeurs opposées à celles du libéralisme.

  • Le socialisme au plan politique

Sur le plan politique, le socialisme s’affirme en Europe au XIXe siècle, en même temps que le libéralisme et l’aspiration démocratique. Si le socialisme se veut porteur d’une démocratie universelle, socialisme et démocratie ne sont cependant pas synonymes sur les plans politique, économique et social. En effet, de par ses contraintes particulières, le socialisme peut se trouver en contradiction avec la démocratie. Plus largement, le socialisme peut être défini comme une tendance politique, historiquement marquée à gauche, dont le principe de base est l’aspiration à un monde meilleur, fondé sur une organisation sociale harmonieuse et sur la lutte contre les injustices.

  1.  Origines
    1. Origine étymologique

Le mot socialisme apparaît dans la langue française à la même époque, sans rentrer pour autant immédiatement dans le langage commun. Étymologiquement, le terme dérive du mot latinsocius, nom commun signifiant compagnon, camarade, associé, allié, confédéré et adjectif signifiant joint, uni, associé, allié, mis en commun, partagé. Le mot socius dérive du verbe sequi : suivre. Sa première utilisation remonte à l’abbé Sieyès qui dans les années 1780 évoque un « traité du socialisme » devant parler « du but que se propose l’homme en société et des moyens qu’il a d’y parvenir ». Dans cette utilisation éphémère, le mot signifie alors « science de la société ».

  • Origine idéologique

L’idée d’une organisation harmonieuse de la société remonte à la haute Antiquité, bien avant l’apparition du mot « socialisme » lui-même. Des ancêtres lointains et indirects du socialisme bien que l’emploi du mot soit très anachronique  comme du communisme dans son sens premier de société sans propriété privée se trouvent sur plusieurs continents : en Grèce chez Platon, qui imagine dans La République et Les Lois des modes idéaux d’organisation de la cité; en Asie dans certains courants de pensée du confucianisme et de l’islam qui…

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Exposé complet sur le soleil des indépendances d’Ahmadou Kourouma

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PLAN

INTRODUCTION

  1. ETUDE DE L’AUTEUR ET DE L’ŒUVRE
  2. L’auteur :
  3. Biographie
  4. Bibliographie
  5. Etude de l’œuvre
  6. Résumé de l’œuvre
  7. Structure de l’œuvre

II- ETUDE DES PERSONNAGES

1.      Personnage principal

2.      Personnages secondaires

III-ETUDE THEMATIQUE DE L’ŒUVRE

  • Thème principal :
  • Thèmes secondaires

IV-     STYLE DE L’AUTEUR

1.      Le registre de langue

2.      Les tonalités

V-      ESPACE ET TEMPS

1.      Espace

2.      Temps

CONCLUSION

INTRODUCTION

Les soleils des indépendances est une l’une des œuvres d’Ahmadou Kourouma. C’est un roman de 195 pages et 3 parties. Chaque partie contient des chapitres titrés. L’œuvre est publiée par les éditions Points. Le texte intégral émane des Editions du Seuil en janvier 1970. Cette œuvre relate la vie d’un Malinké au prénom Fama. Les soleils des Indépendances ne représentent que les maux que les Indépendances ont engendrés en Afrique. Le thème principal ne serait dès lors que le lendemain des indépendances en Afrique. Dans la suite de ce travail de recherche, il s’agira d’étudier plus en profondeur ce roman.

  1. ETUDE DE L’AUTEUR ET DE L’ŒUVRE
  2. L’auteur :
  3. Biographie

Ahmadou Kourouma est né en côte d’Ivoire à Boundiali en 1927 dans une famille princière musulmane de l’ethnie malinké. Il a passé une partie de son enfance en Guinée. A l’âge de 7 ans, il est pris en charge par son oncle qui le fait entrer à l’école primaire rurale. En 1947, il est reçu au concours d’entrée à l’école technique supérieure de Bamako. En 1949, il est arrêté comme meneur de grève et envoyé en Côte d’Ivoire. On lui supprime son sursis et il est enrôlé dans le corps des tirailleurs pour un service de trois ans. Il est dégradé quelques mois plus tard, et il se rend en France pour continuer ses études en 1955. C’est à Lyon que son intérêt pour la littérature et l’art d’écrire se précise. Dès son retour en Côte d’Ivoire, il entreprend…

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Exposé complet sur le Service National pour le Développmeent (SND)-Burkina Faso

INTRODUCTION

I – HISTORIQUE ET GRANDES DATES DU SERVICE NATIONAL DU DEVELOPPEMENT

II – L’INTERET DU SERVICE NATIONAL DU DEVELOPPEMENT POUR LE BURKINA FASO

III – PERSPECTIVES

CONCLUSION

INTRODUCTION

Le Service National a été institué au Burkina Faso en 1984 sous la dénomination de Service National Populaire (SNP).

A partir de 1990, le SNP connaît de profondes mutations aussi bien dans les orientations que dans le fonctionnement ; il s’agit maintenant de s’orienter plus vers les tâches de développement socio-économique du Burkina Faso. Avec son nouveau statut d’Etablissement Public à caractère Administratif (EPA), le SND pourrait connaître à nouveau un dynamisme et un rayonnement à la hauteur des attentes de tous.

I – HISTORIQUE ET GRANDES DATES DU SERVICE NATIONAL DU DEVELOPPEMENT

* Le Service National Populaire (SNP) a été formellement créé par le décret N° 84 272 / CNR / PRES du 18 juillet 1984 et défini comme un service civique obligatoire pour tout Burkinabé âgé de 18 à 35 ans. Il faut signaler que ce texte est venu légaliser une situation de fait sur le terrain car dès début juillet, la première promotion était déjà à pied d’œuvre au centre d’instruction de Bobo.

 * Les débuts du SNP ont été exécutés au Centre d’Instruction de Bobo Dioulasso, donc au sein des unités traditionnelles de l’Armée. Cette formule a concerné les trois (03) premières promotions de Juillet 1984 à Septembre 1985.

. * L’année 1986 a été également celle de la “nouvelle formule” et a consisté à l’intégration des volets production végétale et animale au sein du SNP ; il fallait “valoriser la production” (expression consacrée à l’époque) ; d’où la création de deux unités de production par régiment Dipeo et Boulon pour Nasso, Koury et Boron pour Badala, Zabré et Kadro pour Loumbila ; il faut signaler que le 6ème régiment PK 52 de Fada ne disposait pas d’unités de production propres. Nous étions à la 4ème promotion du SNP.

Au niveau des informations et de la communication, il faut signaler la parution de deux journaux (Leydimen et la Voix de l’appelé) qui malheureusement n’ont pas fait long feu.

*1989 : création d’une régie des recettes à la Direction du SNP en vue du recouvrement des reversements du différentiel entre salaire et pécule des appelés du secteur privé et de la vente des produits agricoles. Le texte de base de cette régie est le Raabo AN VI 413 /FP/SEFB/SG/DCP du 26 septembre 1989. *1989 : les conditions difficiles et l’enclavement entraînent la dissolution du 6ème Régiment SNP PK 52 de Fada.

*1990 : les raisons ci-dessus évoquées conduisent à la fermeture des unités de production de Zabré et de Boulon. *1990 : la phase militaire est supprimée au SNP et remplacée par une formation civique patriotique et pédagogique, concomitamment, les régiments sont transformés en centres de formation

.* Septembre 1992 : le Conseil des Ministres du 30 septembre 1992 approuve un rapport interministériel créant une nouvelle structure appelée Service National pour le Développement (SND) ; cette structure est le résultat des correctifs apportés à l’ancienne institution du SNP.

* 15 décembre 1993 : adoption de la loi 48 /93/ADP portant création d’un service national dénommé Service National pour le Développement en abrégé SND.

*30 mai 1995 : dissolution du centre de formation de Nasso. (Cf. arrêté N° 95-0058/DEF/CAB/ du 30 mai 1995) portant dissolution du centre de formation du SND basé à Nasso. Ce centre a été rétrocédé à l’Université Polytechnique de Bobo (UPB).

*10 juillet 1998 : adoption de deux décrets d’application de la loi 48 /93/ADP, l’un, le décret N° 98-291/PRES/PM/DEF portant organisation, fonctionnement et attributions du SND ; l’autre, le décret 98-292/PRES/PM/DEF portant modalités d’accomplissement du SND. En 1999, le SND est érigé en établissement public à caractère administratif par le décret n°99-445/PRES/PM du 07 décembre 1999 et placé sous la tutelle technique du Premier Ministère.

II –L’INTERET DU SERVICE NATIONAL DU DEVELOPPEMENT POUR LE BURKINA FASO

Au regard des objectifs du SND tel que amené la jeunesse à prendre conscience quant aux différents tâches de développementsocio-économique du pays il présenteplusieurs avantages non négligeable pour le pays.

D’abord, le SND contribue à la scolarisation de  nombreux enfants et à la construction des infrastructures (scolaires,sanitaire,routier …).

Ensuite sa contribution à la prise de conscience de la jeunesse  est un atout favorable pour le Burkina Faso à travers l’engagement que va prendre chaque jeune  à développer le paye. En plus le SND s’engage à procurer à la jeunesse  des rudiments de formation professionnelle (secteur informel), canal en Amon de l’emploi ainsi cet éveille de la jeunesse est un cadre espèrentpour un développement meilleur.

Enfin, son coté développant l’esprit d’initiative des jeunes procure au Burkina Faso une jeunesse dynamique pour un développement durable.

III – PERSPECTIVES

Après l’ouverture du Centre de Formation et de Production de Loumbila dans la province de l’Oubritenga (octobre 2002 ) et celui de Badala dans la province du Mouhoun (octobre 2004), il a été élaboré un plan pluriannuel d’érection de centres de formation et de production dans les onze (11) régions administratives qui n’en disposent pas ainsi que la définition d’un plan de formations professionnelles adapté prenant en compte les potentialités de chacune de ces régions. Le SND envisage également de toucher le maximum de jeunes par l’accroissement des effectifs à recruter et en donnant la priorité aux jeunes issus du milieu rural et les jeunes en situation d’échec scolaire. Un autre aspect des perspectives réside dans l’amélioration des conditions de vie des appelés (pécule, santé, logement). Les populations seront sensibilisées quant au sens et aux objectifs du SND. Les appelés seront orientés vers des actions d’actualité (lutte contre la désertification, protection de l’environnement, VIH/SIDA, etc. ). Des dispositions seront prises avec les communautés locales et les autorités décentralisées pour favoriser l’installation des jeunes formés, leur insertion professionnelle et leur suivi. La Direction Générale du SND est à la recherche de partenaires au développement pour le financement de certains aspects de ses activités dans les Centres de Formation et de Production.

Enfin les initiatives seront diversifiées pour accroître les recettes du SND : cela allègera la part contributive du budget national et permettra au SND d’effectuer d’autres investissements au profit des jeunes

CONCLUSION

Le Service National pour le Développement a suscité des espoirs au sein de la jeunesse. A l’occasion de sa mise en œuvre, des difficultés somme toutes normales ont apparu et entraîné des insatisfactions. Cependant, la canalisation de la jeunesse, pourvu qu’elle trouve un environnement propice peut constituer un levain important dans la stratégie de développement d’un pays ; dès lors, loin de constater les insuffisances comme des motifs d’abandon de l’institution, il convient de les corriger en ayant toujours à l’esprit la promotion de la jeunesse.

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Exposé complet sur le Royaume du Dahomey (Origine, évolution, civilisation et déclin)

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PLAN

INTRODUCTION

  1. HISTOIRE DU ROYAUME DU DAHOMEY:
  2. Origine et Evolution
  3. Déclin
  4. ORGANISATION DU ROYAUME DU DAHOMEY
  5. Organisation politique
  6.  Organisation économique
  7. Organisation sociale
  8. LA CIVILISATION DU ROYAUME DU DAHOMEY
  9. Le culte des morts
  10. Les religions du serpent (vodou)
  11. Les Amazones
  12. Résumé : Le royaume était bien organisé :

CONCLUSION

INTRODUCTION

Entre le XVIIe siècle et le XIXe siècle l’Afrique occidentale  côtière connait la domination de plusieurs royaumes parmi lesquels nous avons le royaume du Dahomey qui s’étendait dans les régions actuelles du Benin autour de la ville d’Abomey. La naissance de ce royaume et son développement furent favorisés par la traite négrière. Comme d’autres royaumes le royaume de Dahomey avait aussi, une organisation politique, économique et sociale. Il fut  origine d’une civilisation.

  1. ORGANISATION DU ROYAUME DU DAHOMEY
  2. Origine et Evolution

Selon les traditions locales, des populations d’origine Yorouba auraient quitté auraient quitté au  XVIe siècle la région de Ketou en pays Yorouba (Ouest et Sud du Nigéria est du Benin) pour s’établir à Tado près  du fleuve Mono Deux groupes s’y forment : Les Ewe (ou Ewe) qui se dirigent vers l’Ouest (actuel Togo) et les Fons (Dauma ou Dahomees) qui s’installent à l’Est. Les Ewe (ou Ehve) créent Nuatja. Mais l’avenement d’un pouvoir autoritaire pousse vers 1700-1750 l’ethnie à se diviser en trois groupes : les Anlos (ou Anglo) l’Est de la Volta (fleuve vers le golfe de Guinée) et les Ouatchis. Ils s’installent dans les régions où ils vivent aujourd’hui et forment des chefferies ou république dirigées par des conseils de sages.

Les forts eux fondent trois royaumes. Vers 1600, ils fondent Allada (royaume des Ardres ou d’Adra). Puis des guerres de succession conduisent à la formation de deux autres royaumes Abomey et Adjatche (Porto Novo)

Le royaume d’Abomey, rebaptise plus tard Dahomey probablement par mauvaise retranscription européenne, prend vite le dessus lors de guerres de conquête contre ses voisins et les Yorouba. Le royaume  de Dahomey, est ainsi crée en 1625 par le peuple fon, établi depuis peu de temps dans la région en provenance d’un royaume Yorouba voisin (cf. ci-dessus) ou qui résulte de mariages entre le peuple Aja (ou Ada) et….

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Exposé complet sur les techniques de raccordement d’un Batiment

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Plan

Introduction

  1. Raccordements circulaires
  1. Raccordements circulaires simples
  2. Raccordements circulaires composés
  1. Le raccordement parabolique
  1. Clothoïde
  1. Le tracé

Conclusion

Introduction

Un bâtiment au sens commun est une construction immobilière, réalisée par intervention humaine, destinée d’une part à servir d’abri, c’est-à-dire à protéger des intempéries des personnes, des biens et des activités, d’autre part à manifester leur permanence comme fonction sociale, politique ou culturelle. Un bâtiment est un ouvrage d’un seul tenant composé de corps de bâtiments couvrant des espaces habitables lorsqu’il est d’une taille importante. Le terme « édifice » désigne tout ce qui est édifié : un ensemble architectural ou industriel, un ou plusieurs bâtiments jointifs ou non ayant la même destination, une construction bâtie pour aménagement d’un terrain, un signale compressif

Juridiquement, le terme de « bâtiment » désigne en général la construction bâtie, alors que l’adjectif « immeuble » désigne plutôt des biens ne pouvant pas être déplacés, qu’il s’agisse de bâtiment ou de terrain1.

Le bâtiment au sens commun est aussi le secteur d’activité professionnel de la construction des édifices et des voies et routes ; un secteur économique souvent dénommé bâtiment et travaux publics

  1. Raccordements circulaires

 Après avoir présenté l’action de la force centrifuge sur des tracés courbes de routes, M. DurandClaye, dans ses cours professés à l’Ecole des Ponts et Chaussées avant 1895, en déduit qu’il y a intérêt à faire les rayons de courbes aussi grands que possible pour en atténuer l’effet. Mais pour des raisons économiques, lorsque le tracé est courbe comme pour contourner un obstacle, on doit faire les rayons aussi petits que possible pour diminuer la longueur de ce tracé. En se basant sur les voitures tractées par des chevaux, il indique que
… la pratique a démontré que, pour les vitesses ordinaires des voitures
rapides, que l’on peut évaluer à 12 kilomètres à l’heure en moyenne, un
rayon de 30 mètres était suffisant. Pour des vitesses plus grandes, allant
jusqu’à 15 ou 16 kilomètres, il faudrait avoir 50 mètres.
Il faut donc porter les rayons à 50 mètres au moins, et, en tout cas, ne
jamais admettre de moins de 30 mètres.
Dans quelques contrées très accidentées, où les terrassements coûtent cher,
on descend quelquefois au-dessous de cette limite, et on admet des rayons
de 25 et même de 20 mètres. Mais dans ces contrées, les vitesses ne sont
jamais bien grandes, par suite de la succession de fréquentes rampes de
pentes qui s’y rencontrent.

  1. Raccordements circulaires simples

C’est la solution la plus simple pour le raccordement de deux axes rectilignes. On choisit le rayon R en fonction du type de route (cfpage 16 de l’annexe) et on en déduit la position des points de tangence T et T’.
S est construit à l’intersection des deux alignements droits.
T et T’ sont alors définis par :
ST = ST’ = R tan et on a
SO = R sin  15 On procède ensuite au piquetage de plusieurs points de l’arc. Il suffit d’utiliser un appareil permettant de mesurer les angles. On cale l’angle en T (angle entre la tangente au cercle et T‘) puis l’arc décrit avec le même angle est l’arc de cercle recherché. De plus cette méthode est intéressante lorsque le point
O est inaccessible. Le schéma ci-contre illustre un raccordement circulaire simple sur l’avant projet de raccordement entre le pont Flaubert et la sud III. L’arc de cercle employé ici est celui d’un cercle de rayon 400 m. Pour construire un raccordement circulaire, on peut aussi pratiquer la méthode suivante reposant également sur la mesure d’angles. Les angles ^STT’ et ^ST’T du triangle isocèle STT’ sont égaux. On les partage en n angles égaux. Les demi-droites ainsi définies, d’origines TetT’, rencontrent les segments [ST] et [ST’] en des points A0 = T,

  • Raccordements circulaires composés

 Première Méthode Si les circonstances locales obligent à limiter certains alignements rectilignes ou s’il s’agit de raccorder deux points A et B, on peut employer une succession d’arcs de cercles de rayons différents. Analysons la figure ainsi constituée : Notons S le point d’intersection des deux droites définies par les deux segments. Nous ne supposerons ici que SA > SB.
AM⌒ et BM⌒ sont les deux arcs de cercles de centres respectifs a et b. On notera ces deux cercles (Γa) et (Γb). (CD) est la tangente commune à ces deux arcs en M. On construit alors le cercle (Γ) de centre O et tangent aux trois droites (AC), (CD) et (BD). On note A1, M1 et B1 les points de tangence respectivement aux droites tangentes citées. (CA) et (CM) sont deux tangentes au cercle (Γa) donc CA = CM. Ces deux droites sont aussi tangentes à (Γ) d’où CA1 = CM1. Par soustraction, ces deux dernières égalités permettent d’obtenir AA1 = MM1. De même, en considérant le point D, point de rencontre des deux tangentes (DM) et (DB) aux deux cercles (Γ) et (Γb), on trouve
MM1 = BB1. 17
O est le centre du cercle (Γ) dont (SA) et (SB) sont deux tangentes donc O se trouve sur la bissectrice de ces deux droites. Comme A1, M1 et B1 sont trois points du cercle (Γ), OA1 = OM1 = OB1, nous avons montré que
AA1 = MM1 = BB1 et nous avons également que OA^1A = OM^1M = OB^1B = π 2 donc les trois triangles
OA1A, OM1M et OB1B sont isométriques ce qui permet d’écrire OA = OM = OB. Les trois points A, M et B sont sur un même cercle de centre O. Nous avons trouvé AA1 = BB1, et SA1 = SB1 puisque (SA) et (SB) sont deux tangentes au cercle (Γ). Nous avons donc :
SA1 = SA – AA1 = SA – BB1 = SA – (SB1 – SB) = SA – (SA1 – SB) Donc 2SA1 = SA + SB Soit
SA1 = SA + SB 2 Ce qui permet de placer le point A1 connaissant Les points S, A et B. Conclusion : Se donner la tangente (CD) du raccordement à construire permet de construire les deux arcs. En effet, les données de A, S et B permettent de construire A1 puis donc le cercle (Γ). Le point M est alors le point d’intersection de ce cercle avec la tangente (CD). Il est alors aisé de construire les centre a et b des deux arcs de cercle. Remarque : Les droites (bB) et (aA) se coupent en P. Notons H, H1 et H2 les projetés orthogonaux respectifs de O sur la droite des centres des arcs (ab), la droite (PB) et la droite (PA). Le quadrilatère OM1MH est un rectangle et MM1 est constante (égale à
AA1) donc la distance de cette droite (ab) au point O est constante. Notons (γ) le cercle de centre O passant par
H. On a OH = MM1 = BB1 et (OB1)//(PB) donc la droite (PB) est aussi tangente au cercle (γ). De même la droite (PA) est tangente à (γ). Dans un souci de diminuer la variation de courbure au point M du raccordement de routes, il doit être envisagé d’obtenir une construction avec une variation de rayons minimale. Cette différence est la longueur ab. Elle est 18 définie par les deux droites (PA) et (PB) tangentes à (γ) et fixes comme perpendiculaires en A et en
B. Cette longueur sera minimale lorsque (ab) sera perpendiculaire à la bissectrice de l’angle ^APB, la droite (PO). Soit x une mesure de la moitié de l’angle formé par les deux droites (SA) et (SB) : x = 1 2

OB = H^2OA conduit à montrer que la perpendiculaire à (OP) est la droite (SO). La différence des rayons des deux arcs de cercle du raccordement sera donc minimale lorsque la droite des centres (ab) sera parallèle à la bissectrice de l’angle formé par les deux droites (SA) et (SB)

II-  Le raccordement parabolique
 Si nous ne tenons pas compte de la force centripète agissant sur le mobile parcourant la route étudiée et si on ne recherche que la courbe dont la variation de pente est constante, nous montrerons plus loin que la courbe solution entre deux raccordements rectilignes donnés ou bien deux points donnés dont on connaît les pentes est une courbe parabolique. Cette courbe peut-être envisagée dans le cas d’une portion de route dont la vitesse est faible ce qui occasionne ainsi une faible force centripète agissant sur le mobile. Le raccordement parabolique était également utilisé sur le terrain car sa mise en pratique était parfois plus simple que le raccordement circulaire. Nous aurons besoin au préalable de quelques propriétés sur la parabole démontrée analytiquement en faisant appel aux équations de paraboles dans un repère donné. Un exercice plus difficile pour des élèves du lycée serait de démontrer ces propriétés géométriquement. Considérons une parabole dans un repère ortho normal centré en son sommet O. Une équation est alors de la forme y = ax2. Soient M(xM;axM2) et N(xN;axN2) deux points de cette parabole, (TM) et (TN) les tangentes respectives à la parabole en M et N. Déterminons le point d’intersection S entre ces deux tangentes (ce point existe si xNxM) : Elles ont pour équations : (TM) : y = axM2 + 2axM(x – xM) et (TN) : y = axN2 + 2axN(x – xN) Le point d’intersection S a pour coordonnées, par la résolution du système formé par les deux équations .a(xN+ xM) qui est la pente de la tangente à la parabole en le point d’abscisse xM + xN 2 . (En utilisant le nombre dérivé, cette pente est égale, au point d’abscisse x, à 2ax.) En faisant tendre h vers 0, la tangente en J à la parabole est également parallèle à (MN). 22 Conclusions : – Si on joint le point de concours S de deux tangentes en M et N à une parabole, alors la droite définie par S et le milieu de [MN], I, est parallèle à l’axe de la parabole. – Toutes les cordes de la parabole parallèles à (MN) ont leur milieu sur la droite (SI). Si on note J le point de la parabole situé sur (SI), alors J est le milieu de [SI] et la tangente en J à la parabole est également parallèle à (MN). Tracé d’un raccordement parabolique par la détermination de sommets d’arcs : Nous avons démontré ci-dessus que si l’on joint le milieu E de la corde [BC] de deux tangentes à la parabole recherchée, et si l’on note encore
S le point d’intersection de ces deux tangentes, le milieu F du segment [ES] appartient à la parabole. Pour obtenir d’autres points de la parabole, on trace la tangente en F à la parabole comme étant parallèle à la corde [BC]. On recommence le procédé avec la tangente en B et la tangente en F, d’une part, ainsi qu’avec la tangente en F et la tangente en C, d’autre part. Avec les nouvelles tangentes en I et en J comme sur la figure ci-contre (provenant du livre de topométrie de M. Eyrolles), on peut réitérer le procédé pour construire de nouveaux points de la parabole. Tracé par les droites enveloppes : Le raccordement parabolique peut aussi être tracé en le considérant comme enveloppe d’une droite qui se meut en s’appuyant sur les tangentes (SB) et (SC) et de telle sorte que ces tangentes soient constamment coupées par la droite en partie inversement proportionnelles : on a divisé pour cela [SB] et [SC] en un même nombre de parties qui sont jointes comme sur la figure ci-dessous. Si les subdivisions sont suffisamment nombreuses, on peut considérer les intersections entre deux droites successives comme proches des points en lesquels elles sont tangentes.

                                      III- Clothoïde
Le raccordement direct de deux alignements droits par un arc de cercle. On peut raccorder des segments de droites et des arcs de clothoïdes entre eux de sorte que la courbure varie continûment (ce qui correspond aussi à la force centrifuge subie par un observateur suivant ce mouvement). Là encore, le lecteur retrouvera dans le chapitre étudiant le profil en travers les conditions sur la longueur des courbes de transition à employer ; celle-ci devant être limitée afin de faciliter l’appréciation de la courbe finale par l’usager du bâtiment. Cette forme est également adoptée pour les tracés de courbes pour les chemins de fer parce qu’un véhicule suivant ce tracé à une vitesse constante et subit une accélération angulaire constante.

IV- Le tracé

Le tracé en plan d’un bâtiment est constitué d’une succession de courbes et d’alignements droits séparés ou non par des raccordements progressifs. Le tracé de la ligne dans le bâtiment peut être choisi
librement. Jusqu’à deux raccordements, Swisscom a
besoin de:
un tube d’installation de minimum M32 et pour plus de deux raccordements de: un tube d’installation de minimum M40

Conclusion

Le raccordement est beaucoup observé dans les constructions telles que les bâtiments et les routes ect….

Il intervient également dans les montages électriques dans les bâtiments.

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Exposé complet sur le mythe de Tantale

NB: Les documents mis à disposition sur ce site sont des documents à exploiter, autrement dit des compléments pour parfaire votre travail. Ils ne sont pas faits pour être présentés à l’état.

Plan

Introduction

  1.  Mythe
  2.  Interprétation
  3. Bibliographie

Conclusion

Introduction

Dans la mythologie grecque, Tantale (en grec ancienΤάνταλος / Tántalos, le rapprochement avec τάλας / tálas, « malheureux », est une étymologie populaire) est un mortel, fils de Zeus et de la nymphe Plouto, et roi de Phrygie ou de Lydie. Il est l’époux de Dioné, fille d’Atlas, et le père de Pélops, de Niobé, et de Brotéas.

 

  1. I-                  Mythe.

Les dieux honorèrent son amitié et ils le reçurent à leur table divine où il put devenir immortel en mangeant leur nourriture. Selon Pindare, il aurait volé l’ambroisie pour donner ce mets divin aux mortels.

Selon Pausanias, lorsque le voleur Pandaréos vint lui remettre le chien d’or sacré volé dans le temple de Zeus en Crète, Tantale nia le posséder puis refusa de le rendre à Hermès. Selon Ovide, il sert aux dieux son propre fils Pélops pour le simple plaisir de tester leur omniscience. Selon les versions plus anciennes, une ou deux divinités, notamment Déméter, tourmentée par l’enlèvement de sa fille Perséphone, auraient quand même consommé une des épaules. Zeus aurait ordonné à Hermès de ramener l’enfant à la vie pour prendre la place de son père et de remplacer…

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